9 septembre 2006
Evohés dévoyés
Marre d’une vie stagnante de gratin fatigué, marre de se figer là en trop-cuit pathétique, las des regards odieux tout aussi fuyants qu’un spaghetti trop mou par la bonde de l’évier… Las de devoir redire que je m’en fous pas mal alors que tout m’atteint, je suis parti un jour…
Adieu la vie cogne-dur qui s’esclaffe en binaire, bousilleuses toute en tôles et en chardons puants !
Et sur la route j’ai vu qu’avec les carrefours, on peut aller partout du moment qu’on s’en fout ! Evohés dévoyés de circonstances hilares ! Et Youpis amusés comme s’il en pleuvait
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