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orlando de rudder
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24 août 2006

LE "corps inaliénable"! (work in progress) Première partie

IL y a quelque chose d'étonnant dans cette expression: on ne voit pas ce qui pourait "aliéner " le corps, le rendre autres, étranger sinon une forme ou une autre de confiscation.encore faut-il pnser ,à ce qu'est el corps, à ce que représente le corps dans la société et quelle est son histoire. De quel corps s'agit-il. Ce qui m'évoque l 'ouvrage fondmental de JEan Claude Bologne, "histoire de la pudeur" (voir liens) qui montre, par les vriations de la notion de pudeur comme de sa pratique, que el corps a changé de statut et a été l'objet de représenttiosn mentales diférentes au cours des âges. A quel moment assiste t-on à la "naissance" du corps en tant que fait social?P eut-être avec on utilisation. Ce serait la naissance du travail: l'acte contre nature, la révolte humaine: planter, semer, puis élever des animaux... Voir à ce propos l'ouvrage "LEs gests" deVilem Flusser... Ainsi, en prenant cette hypothèse de départ, en situant à ce moment la "naissance du corps" le voyaon-nous, en efft, acteur de l'histoire individuelle et collective d'une façon autre que par la chasse et la cueillette: le corps "état de fait" devient aussi "chose à penser"... et à exploiter! L'esclavage,la servitude, le travail sont l'utilisation de la force du corps de l'autre, du vaincu par exemple et constituerait la première aliénation. Et le corps devient mentalment "l'être en lui-même" d'un point de vue social puiisqu'il est acteur social et représente la personne (je n'ai pas dit: l'individu!)... LE "corpus" et le "soma" prenent alors leur place.LEpremier est aussi objet de droit:Rome, d'une façon fort fifférente de la Grèce, investit le corps, si j'ose dire, en tant que "lieu judiciaire" avec le droit. Certes, on punissait corporallement d'une façon judiciaire bien avant.MAis le Droit Romain a systématisé ce propos. L'arsenal de la punition judiciaire, tâchant tant bien que mal de mêler justice au sens courant et tranquillité publique a disposé de l'arsenal répressif classique: amendes, enfermement... et mise à mort, torture ou mutilation; formes archaïques qui ont perduré au Tibet et en Inde,en terre d'Islam par exemple jusqu'à nos jours... LA justice punissait le corps par les flagellations, la torture, la mutilation. On coupait la mai du voleur, oi fouettaitd 'autrs coupable,etc...ou on tuait d'una façon directe, en agissant spectaculairemetn sur el corps (maintenant, c'est le gaz dan scertains pays: aucun contact tandis que la seringue est le contact minimal tout en singeant le geste qui soigne: l'injection "soigne" le corps social en tuant l'élément qui lui nuit.. . en général un innocent ou quelqu'un qui n'a pas eu un procès équitable aux Etats-Uis et dont la peu est généralement noire) Autant dire que la justice punissait le CORPS du coupable et, comme le travail, le réifiait plus ou moins (je veux dire de diveres façons aussi). Ce furent les premières dépossession, aliénation du corps soumis à l'autre, à l'autorité qui se l'accapapara. A cette aliénation s'en ajouta une autre particulière au corps féminin, considéré par le pouvoir comem moyen de production. Une gande partie de nos représentations, come j'ai voulu le montrr dans une de mes ouvrages,procède du mythe de "l'enlèvement des Sabines", lorsqu'il y a eu rapt, c'est à dire "vol" du corps des femmes à des fins de survie organique et économique.Rapt, c'est le "raptus" latin qui, en anglais est "rape" et signifie "viol".C'est ausi le "raptus" de l'extase religieuse, un "ravissement" chez les saints mysqtiques comme Thérèsed'Avila et d'autes qui en parlent en ces mots... L'enlèvement des femmes, le "vol" de femmes fonde un ordre social dans lequel le corps féminin est aliéné d'une façon utilitariste aussi importante que le travail. En tant que "moyen de production" qui a pu inciter une société inégalitaire de manières multiples avec ségrégations sociales et sexuelles n'gissant pas exactemetn sur les mêmes domaines et différant sensiblement l'une de l'autre, quoique on ait voulu ls confondre. DEf ait il a "fallu" contrôler el corps des femmes afin d'assurer la perennité de la lignée (le fil de lin, le fil de l'Un, la ligne!) t, de ce fait, contrôler la sexualité. Ce qui amena à l'interdiction de toute cotraception considérée comme contre-productive.Contriremetn aux idées reçus, l'église catholique ne s'opposait pas au plaisir dans l a"fornication", qu'elle estimait voulue parDieu dns el bur dencourgr les humains à poliférer pour accomplir lapromesse à Abraham... et pour constituer des armées qui défendraient la société chrétienne et convertir lmes païen! L'église pensait une fonction "utilitair" de la sexualité et luttait, comme elle lutte toujours, contre le contrôle des naissances. Ainsi, les femmes sont elles devenue aliénées parleurfonction de (re) productrices et sumises par la loi. Certes, elles assurèrent des contre pouvoir, inventèrent des contraceptions clandestines (voir, encore de jean CLaude Bologne, l'histoire de la contraception) et ldans certains cas, le refus du plaisir considéré comme une "perte de soi" qui les mettait à la merci des hommes. Ce qui alla jusqu'à l'excision, devenues "cadeau" (!!!! voir sur le net un texte en ce sens que j'ai déjà cité t d'autes,par exemple: http://rad2000.free.fr/exciclit.htm) d'une mère à sa fille, car elle permet de "trouver un mari" sans sombrer en sopouvoir par l'effet du plaisir considéré, dans certaines mentlités, comme aliénant! L'excision, ce crime perpétré par des femems sur des femems, est, paradoxalement une forme de résitance au pouvoir maculin et s'ajoute à l'arsenal du "contre- pouvoir des femmes", essentiellement familial et domestique! A l'état de marchandise, de bien de production des femems s'est opposé le Diable!LA femme "autre", présumée "libre": la prostituée, parfois considérée comme maudite fille de Lilith et non pas d'Eve! Ele partage avec la sorcière le fit d'être "plus que femme" et "anti-femme" et la punition de s lubricité, pour Lilith en tout cas, n'est pas la stérilité,mais que "cent de ses enfants meurent continuellemnt"! Elle est supposée prende du plaisir, un plaisir "gratuit" puisque non-productif et devient objet d'horreur considéré comme dangereux et asocial, pouvant tuer els himme. Et les rivales, les matrones, les épouses "légitimes" ayant des droits dans la cité. On a vite exclus, puis parqué les prostituées , avant de punir laprositution.Brf,les sociétés ont cafouillé parce qu'elels nes avent pas quoi en faire! Un rapport économique ddifférent du classique rapport marchand, une presttion de service incongrue et surtout une utilisation du corps à des fins productives en dehors de la loi masculine! Avec , en plus,n ce supposé plaisir: le scandale! qui dure encore! Avec cette haine du "plaisir inutils", ne produisant pas, venant de l'église catholique et qui condamnait l'homosexualité pour les mêmes raisons.Et qui,par l'Evangile, montrit comment on pouvait contôler lesprostituées, les faire "renterer dans le rang" avec la deuxième "idole machiste" du christianisme, après la Vierge: MArie-MAdeleine. Si EVA fut coupable, elle fut rachetée par l'AVE le salut à MArie et la prostituée, nommée aussi MArie peut redevenir uen femme continuatice de la srvitud ordinaire... LA seule chose ennuyeuse serait la "lubricité"! Que les femmes soietn dominées par le plaisir! Ceci pour les hommes, car, évidememnt l'infidélité risque de faire naître des "bâtards", comme pour les femme qui, à par l l'excision mais aussi par des moyens moins ignoble, en général, refusent el plaisir pour ne pas y être, ells aussi, soumises. Ce qu'on voit avec les "chemises chrétiennes", chemises de nuit en usage, entre autres, en ITalie (et qui sont devenues un élément cocasse de filmsde la "grande époque" du cinéma italien) ,permettant le coït avec le contact minimal par une ouverture du tissu bien placée. Ces chemises, souvent brodées d'un "Dieu le veut" témoigne du refus, voire du dégoût , voire de la haine d'unplaisir, venant des femems pour résister au pouvoir mâle tout en régnant sur la maisonnée: pouvoir masculin, à l'extérieur, pouvoir féminin, à l'intérieur. A ces femems, la "maman et la putain" s'ajoute la "femme fatale", la foemina ftalis" grecque! Cele dont la lubricité est cause de malheur! Celel qui jouit et qui fait mourir les blés, le plaisr devenant infécond, stérile... ET pire! Cette femme est la cause de la guerre! Effectivement, à cause de son "avidité de jouissance", il n'y plus rien à manger! IL fut donc aller prendre la nourriture chez el voisin avec violence: c'est la guerre... MAis aussi la femem "lubrique" peut devenir la cause du malheur plus directement: la belle Hélène qui, par sa beauté même, a été, depuis l'Antiquité jusqu'à la Renaissance, considérée commme responsable de la guerre de Troie, comme responsable des malheur du monde. L'ennemi des sociétés machistes (y en a t-il eu d'autres) fut avant tout la possession de son corps par l'individu. LA'liénation du corps est un principe du pouvoir et le corps est, de plus en plus considéré commme un bien, autant qu'une marchandise.On le "customise" comme une automobile par les divers tatouages et piercing "tribaux" (en effet: les tatouages et infibulations srvent, dans les tribus anciennes, aussi à marquer l'appartenance à une tribu, une nation et la soumission à ses lois, dont l'usage du corps même dans sa décoration) qui se substituent ou complètent les modes vestimentaires ou ajoutent à leur messsage (pour illuster cci , je renvoie, encore une fois, à l'article de ma soeur sur le voile islamique: http://www.islamlaicite.org/article111.html. Et p^lus générlement aux travaux de ma soeur et de son équipe. Ses observations peuvent s'étendre à bien d'aut formes d'affirmation d'appartenance à un groupe, une pensée, une religion par le vêtement) . LA relation "commerciale" de la prostitution n'est pas tout à fait marchande! Elle peut aussi dépasser l'appaence de la féminité sociale ordinaire en en accentuant les traits (maquillges outrncir, etc) et en n'exploitat qu'à cpirt terme le désir masculin, ele dvient un danger our les autres femmes dont l'intérêt est cette exploitation constante au sein du mariage et de la procréatoin pour la "lignée", avec succession , héritage et perpétuation du nom.D'où le mépris pour les "bâtards" et les "fils de pute" et, en gros pour tout ce qui est "ignoble", c'est-à-dire, au sens initial: "non noble". L'aliénation du corps par la société se trouve aussi dans la proclamation du mariage: "vous ne ferez qu'une seule chair". aussi comprend-on qu'il ait fallu contrôle la prostitution, soi en la rendant "sacrée" dans certaines cités grecques ou ele s'exerçait dans le temple, soit en légiférant, avec zones attibuées ou signes vestimentaires (Saint Louis, par exemple s'y employa en même temps qu'il inventait la "rouelle", la roue de tissu jaune, ancêtre de l'étoile pour les juifs! Mais les prostituées de halles se regroupèretn et adressèrent une supplique au roi, etc, etc...) soit plus "sauvagement" par les maisons closes ou le proxénétisme afin que nul ne puisse être propriétaire de son propre corps. CAr il apparttien à Dieu, et/à la Famille, et/ou à la Patrie.Cr la célébrtion de la femem, de la mère sous Pétain fut étonnante au point qu'on l'a assilmilée -à tort- à un "féminosme! Ce qui a débouché, tout de même" à l'obtention, toujours sous Pétain, du droit de vote pour les femmes! Qui ne votèrent qu'un an après, etretemps il y eut laLibértion... MAis on reparlera de Pétain et des femmes: c'est psionnant! On ne fait pas l'économie de l'histoire!
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