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orlando de rudder
orlando de rudder
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5 juillet 2006

LEs premières féministes de notre temps!

Vu sur: http://lesputes.org/feminism.htm. Ca ne va pas plaire à tout le monde! MAis le féminisme, ce n'est pas la chasse gardée des chiennes de garde! ET ça devrait les faire réfléchir! Car ça suffit, l(ordre moral! Eh oui, ce n'est pas un combat pour bourgeoises bien-pensantes! JAdis, les mluvemetn féministes excluaient els lesbinnes, aujourd'hui, ce sont les putes, chassées des réunions, méprisées par la phallocratie des philogynes se disant féministes... Et voici un vraie leçon de féminisme! Vive l'égalité! A bas les ligues de vertu! Le féminisme pute ou whore feminism Être pute, c’est être féministe. Nous n’avons pas de leçon de féminisme à recevoir de celles qui veulent nous abolir. Le féminisme pute, c’est refuser de restreindre la libre disposition du corps au droit à l’avortement. Le féminisme pute, c’est sortir de la nostalgie des années 70 pour retrouver les utopies de révolution, de transformation radicale de la société, de suppression du patriarcat. Le féminisme pute, c’est refuser de sacraliser le sexe, refuser de limiter la sexualité au corps. Ce n’est pas parce que nous nous faisons pénétrer que nous donnons notre corps. Ce n’est pas parce que nous recevons de l’argent contre des services sexuels que nous devenons des esclaves. Le féminisme pute, c’est pouvoir concevoir et pratiquer sa sexualité en dehors des cadres du couple, du mariage, de l’amour. C’est démontrer que nous pouvons comme les hommes concevoir et pratiquer notre sexualité juste par envie, par plaisir, par intérêt. C’est accepter que notre sexualité puisse se pratiquer aussi entre autres pour se rendre service les unEs les autres, sans attache et pourquoi pas contre rémunération. Le féminisme pute, c’est faire de la prostitution un moyen d’épanouissement et d’indépendance pour les femmes. C’est devenir expertE de la sexualité pour mieux jouir et faire jouir. C’est avoir une intelligence sexuelle et donc travailler aussi avec son cerveau. Le féminisme pute, c’est se réapproprier l’insulte de pute en fierté au lieu de tenter de s’en défaire. Parce que l’injure « pute » ne désigne pas que nous. Elle désigne toutes les femmes. Lutter contre la putophobie, c’est donc lutter contre le sexisme ambiant, lutter pour pouvoir être, s’habiller, se comporter comme des putes même si on ne l’est pas sans peur d’être agresséEs. Nous luttons pour une réelle liberté sexuelle de toutEs. Où, quand, comment, combien je prends, le choix me revient, mon corps m’appartient. -------------------------------------------------------------------------------- CEs femmes s'expriment. Capeut vous déplaire.Je cite. Ce n'est donc pas à moi qu'il faut répondre, mais à elles! JE ne fais que transmettre.Et je m'efface devant la légitimité de leur discours... Donc, vous pouvez commenter, mais j ne me permettrais pas de répondre en leur nom.Tout au plus citerais-je leurs propos qu'il est plus simple d'aller voir sur leur site..Mais on peut enparler tout de même, si ce n'est pas à leur place!
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Commentaires
O
Vous pouvez dire ce que vous voudrez, vou n'empêcherez rien. Qu'importe que ce soit ou noin un métier... Le mariage à l'ancienne était d'ailleurs qualifié, à juste titre de "prostitution légale".Comme pour la prohiibition de l'alcool aux Etats-Unis, la moindre loi contre ne fera que l'augmenter... LEs combats de perdants bien-pensants sony amusants... Ils révèlent les gens.Mais on s'en fout! Une pute, c'est toujours moins moche qu'un curé! C'est même splendide! <br /> <br /> En ces temps de meurtres, de crimes bien-pensants, nous avons besoin d'extrêmistes de la raison, de la vie, de la grandeur! PAs de l'ordre miral et du sexe contrôlé! Dont els conséquences sont toutes les perversions, souvent criminelles, que nous voyons, hélas! <br /> <br /> De grâce, ne m'imposez plus vos idées reçues: je sais tout ce que vous pouvez dire! Et je m'en fous! Nous avons besoin de vertus plus hautes<br /> <br /> <br /> <br /> Hourah, cornes au cul, Vive le père Ubu!
I
La prostitution n'est pas un métier. Christophe Caresch tente d'ailleurs à nouveau de proposer une loi qui va dans le bon sens inspiré du modèle suèdois.
R
Je ene comprends pas cette négation du choix. Il n'y a pas tant de doiscours où il est affirmé.Sinon par les putes elles-mêmes! Y croire ou ne pas y croire n'est pas uen question de choix ou d'opinion, mais de vérité ou d'erreur.JE opeux effectivement choisir de dire que la tere est trianagulaire... C'est faux. Quant au choix, c'est évidemment spécieux: choisit-on d'ête femme de ménage ou mineur de fond? Choisit-on un métier pénible? Ca doit exister... MAis le choix est toujours relatif. Ce qui, en revanche, ne l'est pas, c'est de nier la parole des gens. Moi, je leur fais confiance...<br /> <br /> LE choix existe d'ailleurs et ailleurs: Ete pute à PAris est le rêve addirmé de beaucoup de jeunes filles zaïroises, spécialement de culture non monoithéiste;,Pour elles, c'est "fcile" moins dur que de travailler comme serveuse et rentable. Evidemment, elles s'illusionnent.Mais kle choix est patent, encore qu'il soit déterminé apr les conditions de viee t l'idéologie particulière de certains groupes... ET cela rejoint le rêvedeMimi pison: belles voitures, manteaux de fourrure, bijoux, champagne.. C'est complètement illlusoire... <br /> <br /> LE discours des putes est décidément gênant. Il n'arrange en tout cas pas les hommes, même ceux qui consomment et méprisent tout de même. Il remet en question tout le discours masculin, et la prédominance même des mâles... Et c'est une catastrophe pour les macs! Tant mieux.<br /> <br /> Quant à savoir si la prostitution est un drame, ce ne peut-être qu'à cause du mépris, fût-il intériosisé par les personnes en jeu elles-mêmes... En tout cas je ne "choisirais " pas considérer la prostitution comme telle ou non: j'aimerais mieux savoir ce qu'il en est en réalité... Etre femme de marin, de soldat dans le temps est certainement plus douloureux! Quand à la vie des ouvrières, encore maintenant dans certaines entreprises, c'est sans doute fort pénible. MAis elles n'ont pas le choix. Même être infirmière!La pression sociale vouant elles femmes aux professions de compassion détermine ce choix comme l'esprit de sacrifice! La fille d'un de mes amis, une gamine que j'ai connue toue petite est gardienne de prison (elle vient de se faire muter dans une prison pour hommes: les prisons de fems sont , paraît-il trop atroces: on y trouve ce qu'il y a de pire, des infanticides, des maltraitantes , des complices de tueurs et très peu de voleuses ou de putes... Je vais peut-être l'aider à écrire un livre à ce propos tant il est vrai que pur qu'une femme aille en prison, il fut qu'elle en ait fait bien plus qu'un homme! C'est du moins ce que j'ai appris de cette jeune feme et d'une de ses collègues qui étaitt avec ellle).A t-elle vraiment choisi? En tout cs, ce n'était pas son rêve de jeune fille! Mais c'est encore une sorte de métier de sollicitude dans son esprit. Moi,j'ai trouvé ça triste. MAis elle dit s'y trouver bien.. Pourquoi pas? Même si ça nous surprend! Sans doute s'y est elel faite et n'est pas plus malheureuse pour autant!<br /> <br /> Rares sont eles personnes qui ont le choix, cela dit. Jusque dans le mariage: o croit souvetn choisir, mais les études, comem celle de KAufmann, hilarante par ailleurs (il faut lire Kaufmann: "la feme seule et le prince charmant" qui étudie el cas avec précision," la trame conjugale" ou les enjeux du linge dans la vie conjugale, une autre étude sur les seins nus sur les plages,extrêmement subtile et drôle!) , montre que l'on se marie le plus souvent du "même au même" sauf cas d révolte contre la famille et provocation qui sont vouées à l'échec et proviennent aussi d'un "non-choix" par réaction donnant l'apparence du libre-choix...<br /> <br /> LA question du choix est d'ailleurs sst presque secondiaire: on ne voit pas pourquoi elels seraient els seules, ou presque à choisir. LE problème est la reconnaissance de leur métier et de ne pas mépriser le commerce du sexe plus que le travail aliénant, pénible, peu gratifiant... C'est la sacralistaion du sexe qui permet au pouvoir mâle de dominer, de distingur la "saite" (mamère et ma soeur) de la "salope" (les autres femmes),la maman de la putain, rôles sociaux infligés aux femmes qui ne leur laisse el choix qu'entre être une image pieuse ou le "vase de toutes les iniquités", comme disait je ne sais plus quel père de l'église... Belle expression énergique bien dégueulasse et non dénuée d'un lyrisme abject...<br /> <br /> Bref, ce que dmandent les putes c'est d'être acceptées comme exerçant une profession... De puvoir l'exercer le mieux possible. D'être en mesure de la choisir, si ce n'est pas le cas... Que cette idée révulse d'autres femmes, c'est normal.Mais on ne va pas jeter la pierre à celles que ça ne gêne pas... D'ailleurs, on ne jette des pierres qu'aux femmes pour des raisons liées à leurs désirs: prostituées ou adultères! Le mépris des hommes, encore...du moins de certains! CAr, hélas,la lapidation existe encore... Là où la prostitution est interdite! Et la femme "vertueuse" sacralisée! CEs femmes ont-elles plus de possibilité de choix que les putes?<br /> <br /> LA revendication du choix, qu'il soit réel ou illusoire est, de toute façon libératrice, comme celle de liberté, alors que la liberté, on n'en a pas tellement... Et les putes remettent en question toute l'aliénation des femmes depuis la naissance du machisme! C'est au moins un événement historique! ET le "drame" n'est pas pire que beaucoup d'autres, si drame il y a...<br /> <br /> Quant au client, on s'aperçoit aussi qu'il n'est pas le vicelard que l'on veut bien s'imaginer... CA existe, bien sûr... Mais ce n'est pas toujours un pauvre type en manque! <br /> <br /> CEs emises en questions sont d'une extrême importance.Qu'on soit pour ou contre, elles sont là. D'autant plus importantes qu'elles sont âprement combattues avec des arguments étranges et peu convainquants. Et toujours,y compris par beaucoup de femmes, dans un esprit d'ordre moral ou de "social" potecteur et totalitaire... LEs putes ne sont pas des monstres. et n'oublions pas que certains qualifiaent le mariage à l'ancienne de "prostitution légale"... <br /> <br /> LA reconnaissance des putes, leur lberté de travailler me semble nécessaire.Comme la disparition du mépris dont elles son l'objet de la part du monde machiste qui s'en sert tout en dénigrant! LE choix est certes relatif,mais il existe... <br /> <br /> Autment;, toule rste fait la part belle à la prostitution clandestine, criminelle, aux mains des maquereaux et maquerelles ppur le plus grand profit d'une société phallocrate,mais devenue philogyne par libéralisme mal compris!
P
Peu de femmes connaissent le fonctionnement intime d'un homme. Il faut dire que généralement, ceux-ci en parlent fort peu, du moins en parlent fort peu EN VRAI. Oui, Orlando, j'irai voir leur site, je m'y engage solennellement. Parceque ce qui me choque, c'est que ce sont les seules qui, dans le débat sur la prostitution, n'ont pas le droit de parole. Et quand elles parlent,on remet systématiquement en doute leurs propos. Cela me fait penser à l'ostracisme, similaire, quitouchait autrefois les actrices de films x qui, dès qu'elles remettaient en cause les clichés sur leur profession, se voyaient taxées d'insolvabilité de parole. On en est encore là …
R
"Instrumentaliser l'autre"?Comme vous y allez! MAis c'est à elles qu'il faut parler, pas à moi!DE plus, je ne suis pas client..Cam'est arrivé, mais plutôt "pour voir", quand j'étais jeune... ET je n'y ai pas vu d'instumetalisation ni quoi que ce soit du genre! C'est ce discours même qu'il faut rmette en question.Avec elels, si on veut vraiment comprendre... Il n'y a rien d'indigne... IL y a même de 'l'honnêteté dans leur discours...Une certaine pureté. En plus, elles ne dérangent personne: la situation habituelle ne changera pas pour autant! MAis elles posent de vraies questions...<br /> <br /> Quant aux hommes, peut-être veulent-ils cesser d'être "prisonniers du sexe"! Et porter sans cesse le poids du pouvoir qu'on leur inflige! On oublie aussi que, durant des millénaires, ils aveitn e chage le travail d'une façon prinipale,e t la protection,et tout... Et l'on oublie qu'un mineur avait beau dominer, il en crevait tout de même! Même si sa femme travaillait... Le poids de la condition masculine eszt ouyblié à force de nier l'homme en ne le considérant que come celui qui a le pouvoir! Il enmeurt de ce pouvoir, souvent relatif!<br /> <br /> Et, ajourd'hui, justement, il veut de plus en plus séparer le sexe de sa condition habituelle d'outil d'exploittion pour lui aussi! LE pouvoir masculin n'est pas un choix, mais une assignation destructrice! Et il n'a jamais été réellement un plaisir... sinon pr dénégation et pour la frime! PAr compensation...<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> --------------------------------------------------------------------------------
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