Immigration?

LEs discours catégoriques sur l'immigration font généralement l'économie de l'analyse, de la pensée, de la rigueur de la justesse: on justifie sln émotion, s compassion, son rcisme qui sont du même ordre: le refus de l'ethos et le pathos surestimé,patce qu'on aime admuirer sa propre bonté comme sa propre haine.;Au point de parfois confondre l'une et l'autre. Alors, puor éviter ça, on peut déjà lire ceci: http://www.herodote.net/editorial05012.htm Après, il fudra encore réfléchier... "se prendree la tête" ... et le coeur.. Pas celui de l'émpotion à vif etprogrammée, commels footeuxx, mais l'émotion profonde, vraie, qu'on ne voit gère de l'extérieur et qui n'est pas un spectcle qu'on se donne autant à soi-même qu'aux autres... LE gerne zamidézanimo ou "bonne soeur" charitable "m'as-tu-vu des droits de l'homme"et tralala est aussi pernicieux que le racisme: il procède des mêmes émotions, de la même volonté d'ignorance des problèmes et de la peur, pur beaucoup, d'être considéré comme "de droite"... Alors qu'on l'et soluvetn otut en miliantatn dans des organisations "de gauche" dont les options ne sont qu'esthétique et décoration... Ne mangez pas de ce pain-là: les vrais sentiments sont austères et ne ressemblent pas aux affects de pétitionnaires genre "bébés phoques " (oui, c'est triste qu'on les tue, bien sûr... Mais si on ne les tuait pas, que feraient ces gens pour avoir l'air généreuc? ) qui font démarrer "au quart de tour" parce qu'on aime se regarder "être dans le bon camp"... Il y a d'autres articles de fonds... Le temps du "pour ou contre" est terminé... Rien ne sera plus comem avant, et cela fait longtemps que rien n'est déjà plus comme avant! Pendant, qu'on dit n'importe quoi ici, in trouve dans certains pays de forte immigration, comme le Canada (pas seulement le Québec!) ou les Etats-Unis, des gens qui sont jaloux de la réussite sociale et culturelle de bon nombre d'immigrés! Ben oui, à force de repli identitaire, on devient veule et incapable. Et les autres bossent! Cette réussite sociale commence ici, d'ailleurs...