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orlando de rudder
orlando de rudder
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4 juillet 2006

A propos…

J’ai vu des poussins sales, dans la cour tout à l’heure… Ce qui rassure les gens ne fait aucun doute. On ne vend plus beaucoup de cigarettes fortes. Mais si la pluie tombait bit, ça nous ferait du bien. La terre a vraiment soif, c’est trop sec, voilà tout ! Le tabac de Turquie est riche, presque gras. J’aime l’incertitude, ce qui ne dit pas tout. La grosse poule crételle, j’aime son contentement. J’aime aussi les pintades, taches blanches qui grincent. Au village, on assure, on parle pour affirmer. Au début, on tousse fort avec ces tabacs là. Un parapluie ? Mais non : la pluie est toute douce ! Le sol devient éponge, ça splouche sous le pas. Je me suis abrité pour fumer à mon aise. Au village on se tait faut d’être vraiment sûr. Je mangerai des oeufs, tout à l’heure, à la coque…
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Commentaires
Z
Mes ascendants étaient moins gras que leur tabac, mais avec ce même goût, indéfinissable dans la langue de Molière, il faudrait un poème pour le dire, mais je ne suis pas pouètesse comme certaines anti-turcs...<br /> Amel<br /> Allez je m'remets au Turc... et à son tabac...<br /> J'avais oublié, mais Proust est notre mémoire, in memorium...
F
tu ne perds pas le Nord!<br /> rire
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