Pour en savoir plus!

Pour ceux qui n'ont pas suivi, Gertrude Millaire est une pro reconnue, une sorte d'officielle de la francophonie.Je 'naurais aps attaqué une débutante ou ce genre de choses.. Toute l'histoire des inconvenances scandaleuses, vulgaires, racistes, inacceptables et d'une bassesse ahurissante, mêlée d'une goujaterie obtuse de cette femme se trouve dans la catégorie "la langue française n'est pas un gargarisme" qu'on trouve tout en bas à droite sur ce blog. Je ne suis pas le seul à avoir subi les carabistouilles médiocres et veules de cette pouacresse. Ell a attaqué beaucoup de gens avec un fiel recuit dans la haine bien grasse. Certains, outrés, parlent de procès car elle est allée, envers eux, encore plus loin dans la médiocrité agressive et qu'il y a effectivement, matière à action judiciaire dans leurs cas ... Moi, je préfère me foutre de sa gueule! C'est plus rigolo. A un moment, il y en a eu marre! Un poucre signant et cetera en a remis une louche! Bref, d'une remarque simple, visant quelques personne, la Millaire a voulu faire un incident diplomatique! Tout ça parce que j'ai protesté contre DES québecquois dont Monique LaRue qui prétend que els écrivains immigrés au Québec raflent tous les prix littéraires au détriment des autochtones! C'est tout de même ahurissant! Et puis, j'ai rapporté, d'après Pierre Assouline et les interressés, le fait que beaucoup d'écrivains francophone d'Afrique et des Antilles en avaient plus que marre de la condscendance de certains pontes de la fancophonie envers eux .Et particulièrement de quelques officiels québecquois qui sont connus pour cela... Il ne s'agit évidemment pas des Québecquois en général! Je n'ai jamais attaqué le Québec, ni les Québecquois, mais certains d'entre eux: il y a des cons partout! MAis la Millaire ne veut pas le savoir, d'où une diatribe anti française (voir surles catégories citées) nous reprochant la mort des héros canadiens durant le débarquement de 1945, avec pour commentaire "Nous, on n'a pas besoin de vous"... Charmant! C'est dans la catégorie citée: "la langue française n'est pas un gargarisme" en bas à gauche de ctte page. Heureusement qu'en France, nous avons lus d'humour et que nous savons nous moquer de nous mêmes... comme le font beaucoup de Québecquois aussi...mais pas Gertrude Millaire! Laquelle m'a aussi assimilé à la Gestapo, tant qu'à faire! JE republierai ce post afin que nul n'ignore, si ça vous amuse d'aller voir la catégorie en question. Maintenant, mes rigolades où la Millaire se fait appeler Arthur sont dans "moi, j'aime bien tirer sur les ambulances" ( toujourscatégories, en bas à gauche)!!! Hi! Hi! Quelques blessures d'amour propre ne tueront pas cete femme d'une impolitesse, d'une méchanceté, d'un ordinaire aussi surprenants que sa malveilance! Je ne suis pas méchant, mais j'aime être vache quand c'est nécessaire! Et rigolo!

Comments

[zmerliamelz]

Oui parce que ça gâche un peu le paysage littéraire québecquois qui est bô. Orlando a déjà évoqué Gaston Miron, le rapailleur : hommage au "Québecanthrope", auteur de "L'Homme rapaillé", à déguster sans modération et d'autres grand noms de la poésie québecquoise. Nous l'aimons tout simplement parce que c'est de la poésie!!!! Merci jean-Michel de nous faire partager cet enngouement aux côtés des grands noms de la poésie contemporaine. (Maulpoix)
Bizarre j'aurais juré que j'étais québecquoise en le lisant. C'est un québecquois qui me l'a confirmé en effleurant mes poézies... Vive la poézie d'ici et d'ailleurs et vice versa.
Amel Zmerli

[zmerliamelz]

La francophonie est faite de chairs chez les uns, est une abtraction pour d'autres. C'est la limite de certains entendements que de ne pouvoir assimiler certaines idées concrètes...j'évite le mot concept qui pourrait ne pas être compris, par magnanimité. C'est un bô et grave malentendu...linguistique. Il faut être au clair avec la francophonie, c'est juste le conseil d'une pauvre francophone perdue dans la jungle bien urbaine sans Mère nature pour se distraire des footeux qui empêchent les gens de dormir...
Amel Zmerli
Merci Orlando, rétablir les choses dans leur rigueur quand elles penchent dangereusement à...droite, est un devoir.