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orlando de rudder
orlando de rudder
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9 juin 2006

jalousie sociale

Il me semble que l’incompatibilité d’humeur et de vie entre le salarié et les autres s’aggrave. Le besoin de « finir sa propre histoire » de l’un, avec sa gourmandise de stagnation contraste de plus en plus avec la richesse de la vie des autres, comme avec la persécution latente qu’ils subissent des premiers. Voire la haine… Heureusement que les salariés éprouvent parfois du malheur (du bonheur ? rarement !).Ca leur rappelle qu’une vraie vie existe, que l’aventure rejoint le pépère, que la vie gagne toujours. Et qu’il faut AUSSI faire autre chose si l’on veut vivre à plein ! e salariat, comme le mariage constitue la fin de l’histoire « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants »… Heureusement, le divorce quasi obligatoire t la méchanceté spécifique de beaucoup d’enfants désirés ramène vite au réel. Il n’y a pas de conte de fée, sauf ceux qu’on écrit sois-même en prenant des risques, en refusant la sécurité, en donnant. En refusant la morale du « recevoir sans donner », autre nom de la méchanceté qui est le signe du salarié résigné, de celui qui n’a pas choisi .Car il existe aussi des salariés qui ont choisi leur voie et vont bien ! Mais ceux-ci conservent un esprit critique, agissent, se passionnent ou ont des occupation principales, considérant leur salariat comme un pis-aller, la condition nécessaire pour faire autre chose. Pour les autres, la résignation sociale se paie. Et incite à la belle jalousie sociale mesquine : on manifeste pus pour la retraite que contre la faim dans le monde !
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