13 avril 2006
Félix Fénéon
Les nouvelles en trois lignes recueillies par Félix Fénéon font toujours ma joie. Ce anar coruscant, ce fappadingue visionnaire, ami des impressionnistes et les célébrant alla fort loin dans une certaine réussite de son être. On le redécouvre sans cesse, on l'oublie à nouveau, puis il recommence à émerveiller. Une biographie existe.On ne saura jamais s'il fut responsable ce cette bombe du restaurant Foyon, qui éborgna Laurent Tailhade... Tiens, je donnerai u jour ici la recette de la côte de veau à la Foyot. Ce restaurant n'existe plus.Il se trouvait en haut de la rue de Tournon, en fce du Sénatµ. Au fait! Il faut aller au bar "le Tournon" pour ces peintures murales d'un grand artiste qui fut aussi l'illustrateur de pas mal de textes osés, dont Apollinaire. Voici donc une des dépêches anthologiques de Fénéon:
Le mendiant septuagénaire Verniot, de Clichy, est mort de faim. Sa paillasse recèlait 2000 francs. Mais il ne faut pas généraliser.
Nouvelles en trois lignes Mercure de France, rééditions1997
In cauda... la coda!
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