Un monde clos

Le tueur de Sohane n'est pas un être exceptionnel.Il représente ce que Monsieur Sarkozy, mieux inspiré qu'aujourd'hui, nomme racaille ( en fait ce mot, semble t-il lui a été soufflé par une femme, victime de la domination des ces gens sur certaines banlieues, après la mort d'un enfant, victime innocente d'un règlement de compte). Cette racaille est un état d'esprit, une mentalité qu'une complaisance dans le victimat renforce. LEs émeutes fascistes et sexistes de novembre ont montré sa puissance et ses limmites: ces personnes vivant en autarcie n'ont pas de chef "charismatique" et sont assez réfractaires à toute organisation hiérarchique (bien qu'il y ait ds caïds) pour correspondre vraiment au schéma ancien de ce genre d'ennemis des gens: pour l'instant, rien de paramilitaire genre SA et autres bandes nazies historiques faites de chômeurs revanchards et racistes... La fausse gauche complaisante met en avant l'excuse du social. QUI DOIT ETRE UNE CIRCONSTANCE AGRAVANTE... Un pauvre qui nuit aux pauvres est un traître!!!! Comme un descendant d'immigrés qui applique une politique comme celle de Monsieur SArkozy, d'origine magyare. LE social est parasité par les bons sentiments et le discours excusant la racaille est un discours antitout, sauf la racaille!!!! De toute façon, il s'agit de mentalités, de représentations, d'une "invention de soi" et du groupe faite de victimat, de choix et de haine de toute culture atistique ou itellectuelle ouverte , de dégoût de l'école (cela suffit pour faire un tueur!!!) de machisme... Il ne servirait à rien que ce jeunes luttassent contre le CPE: aucun d'eux ne pourrait tenir deux ans, ni même un, ni même deux ou trois mois dans une situationde travail normal!!! Ca commence à l'école, la vie dans le vrai monde, et non dans la réclusion volontaire de celui des banlieues, républiques bananières dans l'état, dûment encouragées par ailleurs (tant que ça se passe là... on tolère même les émeutes... Et, bien sûr, ils peuvent sortir, les fauves, s'ils attaquent les étudiants!!!! Mais après, ouste, à la niche! S'ils deviennent vraiment dangereux, on enverra l'armée!!! Pur l'onstant, on laisse faire, on arrête ceux qui n'ont pas de protection particulière, tout va bien). On peut lire, à travers l'assassin de Sohane, non seulement le sexisme, mais toute la culpabilité, la responsabilité de chacun des représentantss de cette mentalité, de ce choix idéologique par soumission au groupe: les policiers qui espérient pourvoir intervenir avant l'issue fatale ont été agressés, lapidés... et, BIEN EVIDEMMENT, bien des membres du groupe soutiennent l'assassin!!!!! Lequel a dit: "J'ai rien à voir avec les problèmes de banlieue, avec les combats féministes". De toute façon, il n'a rien fait de mal, le pauvre chou: "En m'amusant à la menacer, je pensais contrôler la situation. (...) J'ai vu le feu partir d'un coup. J'ai entendu 'boum', je sais pas d'où c'est parti", a-t-il poursuivi". voyons la suite: "Lui-même brûlé, il a pris la fuite et la jeune fille est morte plusieurs heures après des suites de ses blessures. Jamal Derrar a eu peu de mots pour sa victime. "J'ai peur. Je sais que je vais passer ma jeunesse en prison, alors je ne porte pas ça comme fierté, j'ai honte", a-t-il conclu. Des policiers ont raconté à la cour que les pompiers venus secourir Sohane avaient été accueillis sous les pierres et les insultes." Voilà la rcaille: les pompiers agressés... Et le soutien à Nono! "Les enquêteurs ont eu des difficultés à retrouver les auteurs du crime, les témoins refusant selon eux de parler et affichant parfois leur "soutien" à Jamal Derrar. La stèle commémorative du crime a été saccagée à plusieurs reprises. Jamal Derrar et Tony Rocca, poursuivis respectivement pour "actes de torture et de barbarie ayant entraîné la mort sans intention de la donner" et "complicité" de ce crime, encourent la réclusion à perpétuité. Le procès se termine vendredi". Ces citations entre guillemets viennent de : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3226,36-757580,0.html Nono fait partie d'une extrême-droite. Il a, comme tant d'autre eu la chance d'aller à l'école. Ce qui est presque un privilège par rapport à cerrains pays pauvres. Il a gâché cette chance, cette voie royale!!!! Il n'y a pas grand chose à faire, à l'école: juste écouter. Refuser la mode et ouvvrir son coeur au désir de savoir. NE pas juger le prof à l'aune de son milieu ou des ses problèmes personnels (ça, c'est plus difficile) et ça roule!!!Sauf si, par névrose de classe on se lance dans le coinformisme de ma révolte! I; serait si facile de devenir enthousiate! .Une anticulture déshumanisante, entretenue, fit ainsi que des générations de Nonos s'annoncent, sans coeur, sans pitié, muni d'un fanatisme sans foi, sans excuse que tout un système social entretient au lieu de le combattre farouchement. LA répression? Voici le propblème! Il n'y a pas de prévention possible ( faire de l'école un lieu sacré que chaque trouble profane?) pour ue metalité dela violence dans un monde faux, parallèlle où l'on croit encore que 'lon peut s'en sortir par la boxe ou la chansons. Deux aliénations majeures de notre monde, alors que l'école est la seule vraie voie, correspondant aux besins de la société. Eh oui, personne ne se réfère à l'expérience des noirs aux Etats-Unis: pour un Sonny Liston (grave délinquant) ou un Muhammad Ali, pour un Ray Charles ou un Dizzy Gillespie, se traînent des millions de misérables vaincus par la vie obsessionnellement organisée contre les pauvres. La chanson, le sport n'intègrent pas. Au contraire. L'université, les grandes écoles, en revanche, réussissent toujours.MAis il faut sérieusement se remettre en question! Apprendre à écouter!!!! Ne serait-ce que d'autres musiques, non "conformistes"!!!! ET non fabriquées par les "Major Companies"! Hi! hi! Tant que nous accepterons cette racaille, il y aura des profs poignardés comme à Etampes, des Fofana, des Nonos qui sont représentatifs de ce monde artificiel. La haine anti-prof, anti intello va avec la haine des filles, le racisme, le tout- à l'ego consacré au victimat et à l'idenditarisme... Et ça ne tue pas toujours: des Sohanes, en ce moment, sont en train de subir des violences moins graves dans leurs conséquences. Quand les classes ont lieu, des profs se font injurier, retrouvent les pneus de leurs voitures crevés... De plus, ça continue: de jeunes allemands venu en France pour des échanges culturels se sont fait injurier... Tout le racisme ressort toute la mentalité ignoble s'exhibe, fière d'elle... Les casseurs? LA plupart sont connus, surveillés depuis longtemps.. Certains policiers en sont écoeurés. Ils disent parfois ce qu'ils pensent, hors service... IL ne sont pas encouragés à arrêter certains casseurs... Et l'on voit, vu le nombre d'interpellations, que, cependant... La racaille est un peuple en soi, une sorte de nation diffuse qui à ses territoires et ne reconnaît rien d'autre qu'elle-même... Signalos que nous ne savons rien de sinterpellés de novembre: qui ils sont, leur itinéraire, leur histoire... LA presse demeure muette...Il faut un vrai bon crime, bien dégueulasse, pour lever le voile!!!! Comment vider les banlieues des malheureux qui subissent la loi de la racaille? Il n'y a rien à faire en banlieue! Il faudrait que ceux qui ne font pas partie de la racaille puissent IMMIGRER ailleurs, là où la violence est moindre, là où on peut être bon élève sans se faire tabasser, là où on peut vivre!!!! Et laisser la nation racaille dans ses territoires... Comme dans le "bon vieux temps" des aurtiers réservés et de la mixité sociale des centres des villes, à;l'intérieur des immeubles (les fameux étages: réussir signifiait passer du sixième au premoer!!!! Et au moins, en ces temps, les pauvres occupaient des positions élevées, hi! hi!). IL faut espérer que l'on va enfin comprendre la réalité du "monde à part", de son "économie parallèle" de cette mafia diffuse, "hors monde" et utile pour le pouvoir... ne serait-ce que pour tenter de briser une grève!!!! Déjà vu! Et vivement que les sciences humaines interrogent aussi (ce sera toujours "off") les flics et les banquiers... Comment parler des banlieues si on ignore les mouvements de fonds?Ou, souvent, leur absence... Le fric racote toujours des histoires intéressantes... Il ne semble pas qu'il y ait d'étude de type, disons sociologique, ni même économique sur el fric en banlieues... l'argent d'un dealer à BMW peut, certes, se retrouver sur un Livret A... MAis surtout bien ailleurs... Quelles réserves, quel cash-flow, quels investissements? Là aussi, le Trésor Public aurait des choses à dire!!! Pour les sciences humaines, c'est uen question de méthode: il y a des sources délibérément ignorées... Celels que, parfois, les journalistes fréquentent... et encore. Le discours des sciences humaines rejoint en ce sens celui du social: gnangnan coupable! Fausse route! Complaisance! Le tout aussi orchestré par la peur, non pas de l'être, mais d'être désigné comme raciste!!!!! Et si l'on n'entend pas ces quelques flics révoltés qui disent à demi-mots que l'on retient leur action!!!! En ce moment, combien y a t-il de Sohane agressées?