LEs femmes sont des êtres humains!

On ne parle peu, ça ne fait guère la une des journaux, sauf des cas énormes et quand un homme est impliqué, mais la maltraitance d'enfant par leur mère est un tabou! C'est pourtant, hélas, très fréquent,mais une idéologie refusant que les femmes soient responsables, adultes, une sortre de machisme complaisant fait que les services sociaux en arrivent paradodalement à ne pas agir, ne pas zavoir et devenir COUPABLES. Je rappelle que, durant la "mode de la pédophilie", on arrêtait les hommes sans scrupule, on a mis des innocent en prisons, sans s'occuper de leur falmile brisée, avant de les relâcher pou innocence écatante,etles laisser retrouver une épouse et de enfants traumatisés. Ceci pour dire non seulement qu'ilm y a deux poids, deux mesures, mais que els services sociaux et judiciaires n'aident pas vraiment les mère défaillantes à assumer elur maternité, laissent brise leur vie et mourir leurs enfants plutôt que d'agir! Tus ça en se croant féministe parce qu'on admet pas qu'une mère puisse déjanter!!!! Qui siat? Avec un peu d'aide la femme dont on parle ci-dessous aurait pu progresser, apprendre à aimer, car cela s'apprend aussi. On aurait sauvé la mère et l'enfant!!! MAis voilà! on ne va pas vérifier, quand un enfant est absent derpions PLUSIEURS mois de l'école, ce qui arrive, même si la mère est déjà signalée comme potientiellement dangereuse... Quant à l'enfnt restant, onl'a sacrifié aussi sur l'autel de la mère, forcément sainte... Bon sang, le féministonunuche social, si au lieu de célébrer els mères, vous les sauviez?Si vous appreniez, assistantes sociales, juges pour enfant, à aimer vraiment les femmes et non une image pratique et criminelle qui end étruit cerraines autant que leurs enfants? Une mère maltraitante, c'est d'abord une histoire sinistres, du malheur, du désespoir... Il faudrait aider VRAIMENT les femems à en sortir! Ce laisser aller idéologique inhumain est aussi grave que la vilence conjugale (en plus, ça peut aller avec)... Bref, le gamin est mort, l'autre est marqué, la mère est foutue... Sur une simple acusation pmortés sur u homme, il y aurait eu intervention!!!! LEs femmes sont des êtres humains suceptible de commettre, comme els hoommes, des crimes épouvantables autant que de produire des actions bénéfiques. Ce ne sont ni des saitnes, ni des fées, mais des femmes, des personnes, fragiles ou solides, démunies ou fortes... la philogynie ambiante, inverse du féminisme, ne veut pas le reconnaître. Et c'est la mentalité du "social", des JAf, des juges pour enfants. Avec une mère pourtant suivie, signalée, ça donne ça: LA nouvelle république France Société Un garçonnet retrouvé enterré près de la voie ferrée à Beaugency ( 27/03/2006 ) Macabre découverte samedi après-midi à Beaugency. La police judiciaire d'Orléans a retrouvé le corps du petit Julien, 4 ans, sommairement enterré. La maman, qui avait déclaré vendredi la disparition de son fils, a été déférée hier après-midi au palais de justice. C'est à cet endroit que les enquêteurs ont retrouvé le corps du petit Julien. Le garçonnet reposait près des rails depuis la fin février. (Photo corr. NR, Roger Soulas) C'est un véritable drame qui secoue la petite ville de Beaugency dans le Loiret. Tout a commencé vendredi dernier, lorsqu'une femme de 22 ans se présente au commissariat de police d'Orléans. Sophie R., qui demeure à Beaugency, affirme qu'on a enlevé son fils Julien, âgé de quatre ans, au parc Pasteur d'Orléans. Elle l'aurait confié à une personne d'une quarantaine d'années, le temps d'aller acheter un paquet de cigarettes, puis ne l'aurait plus revu. Les propos de la jeune femme sont si confus et contradictoires que les policiers insistent. La mère du petit Julien livre une deuxième explication, puis une troisième, affirmant que le petit garçon serait tombé dans la Loire à Beaugency au lieu dit « Les Accruaux ». La mère indique l'endroit précis où elle a enterré le corps Dès samedi matin, les pompiers et les plongeurs explorent le fleuve à l'endroit indiqué. Les recherches restent vaines. Acculée par les policiers qui doutent de plus en plus de sa sincérité, la femme finit par craquer : elle déclare avoir enterré son fils, fin février, au bord de la voie ferrée reliant Orléans à Tours. Dans l'après-midi, les enquêteurs de la police judiciaire d'Orléans se rendent aux abords du viaduc de Beaugency en compagnie du substitut du procureur de la République Jérôme Bourrier. La mère leur indique l'endroit précis où elle a enseveli le corps du garçonnet. Selon ses aveux, elle aurait transporté le petit cadavre, dans un sac à dos, de son domicile situé rue Joachim-Du-Bellay jusqu'à la voie ferrée. Elle aurait creusé le trou peu profond avec ses mains. Quelques centimètres de terre seulement recouvraient l'enfant qui a été rapidement découvert près du chemin de fer. Son corps a été transporté à l'institut médico-légal d'Orléans-La Source. Une autopsie sera pratiquée ce matin afin de déterminer les causes de la mort de Julien. Après la macabre découverte, la mère a été placée en garde à vue, et son autre enfant, un bébé de sept mois, a été confié à un foyer par les services sociaux. Dimanche après-midi, Sophie R. a été déférée au palais de justice d'Orléans mais on ignorait encore hier soir sous quelle qualification elle a pu être mise en examen. Le petit Julien souffrait de malnutrition Selon des témoins, le petit Julien souffrait de malnutrition. Malgré ses quatre ans, il ne pesait que huit kilos. Le maire de Beaugency, Claude Bourdin, n'a appris la tragique nouvelle que dimanche matin. Il connaît Sophie R. Cette jeune femme sans emploi, et qui vivait seule dans un appartement avec ses deux enfants, avait été condamnée pour un vol commis dans l'épicerie sociale, ce qui lui avait valu des travaux d'intérêt général. Par ailleurs, la maman ne venait jamais rencontrer les services sociaux de la ville. Plus inquiétant, Julien, qui était scolarisé à l'école maternelle de Garambault, était absent depuis plusieurs mois. La directrice de l'établissement avait adressé plusieurs courriers et signalements aux services compétents, le dernier datant du 4 mars. Et l'on ignore si des démarches ont été entreprises pour contacter la mère au sujet de l'absence de son petit garçon. - Correspondant NR, Roger SOULAS" "absent depuis plusieurs mois"!!!!!!! Rien n'a été fait!!!! A quand des sanctions pur les services sociaux? A Quand une égalité entre els sexes? On va la mettre où, cette mère? En prison? ! La belle affaire! En psychiatrie? Bravo! Quelle réussite! Un vrai suivi, une vraie attention, voire upeu de tendresse aurait pu tout éviter... LE nombre de mères maltraitantes, en France, est énorme. Au Québec, la Cour Correctionnelle a nommé une commission spéciale!!! Quant un père séparé signale une maltraitance faite par une mère, il est rarement cru.;En général, au bout d'un an ou deux, les assistantes sociales se rendent compte que le môme morfle tous els jours, et c'est le placement... Il aurait suffit d'écouter au départ! Et tant et tant de femmes détruites, et tant et tant d'enfants brisés!!!! C'est TOUS les jours... Sauvez aussi les femmes des fausses féministes, des philogynes criminelles du social! Une afaire semblable a eu lieu à Limoges, en décembre... On n'en a pas parlé plus! Et là, il y avait une AEMO! Une prétendue prise en charge de la mère! Sauvez les mères AUSSI! Bon sang! Arrêtez ce sacrifice humain! LA presse nationale a très peu parlé de ce drame. Comme elle a très peu parler de celui de limoges (dans lequel, on n'insistera jamais assez, une procédure d'Assistance Educative en Milieu Ouvert était en cours! Honte aus assistantes socieles, aux psy!!!! COUPABLES et à éloigner à jamais de ce métier). On ne parle de maltraitance d'enfant que lorsqu'un homme est en jeu, que ce soit dans le cas du petit Dylan, dans lequel la mère fut coupable de passivité ou dans celui du peit Nicolas, dans lequella mère et la grand mère furent actives et le père passif... MAis les très très nombreuses affaires de mères maltraitantes sont étouffées... En revanche, la presse jouit quand il s'agit d'un homme! Or la maltraitance par les mères est inquiétante, se répand dans nos sociétés d'infantilisation des mères pauvres.. Au Canada la Cour Correctionnelle a pris des mesures spécifiques.Aux Etats-Unis, le phénpmène est très inquiétant.En France, c'est... j'allais dire: la routine. C'est en tout cas tellement plus répandu qu'on veut le croire... MAis on préfère ne pas intervenir, étouffer que de toucher à la sacro-sainte image de la mère... Tiens, le rôle des grand-mères... JE pense à ces affaires de dénonciaition anonymes d'un gendre pour pédophilie... des enquêtes, gardes à vue... puis non-lieux... Et l'épuse, brisée découvre que non seulement son mari n'est pas coupable (ce qu'elel savait au fond d'elle-même), qu'il n'a ien fait à la voisine, mais que c'est sa propre mère qui a dénoncé!!!! Eh oui, ça arrive! Heureusement,pas trop souvent... En attendant, ce fait divers, comme tant d'autres... Eh bien, s'il s'agissait d'un père, ça ferait les gros titres de la presse nationale!!! Mais il y a fort peu de chance: rares sont les enfants confiés aux pères... Peut-être seraient-ils aussi brutaux ou dangereux... Mais ils n'en ont pas l'occasion... La justice préfèrera toujours confier les enfants à une mère dangereuse aux antécédents alarmants qu'à un père quel qu'il soit!!!!