Progrès

On voit que la "banlieue" et son ineffable "racaile" ne manifeste absolument pas contre le CPE. On voit DONC que les mouvements de novembre n'éavaient rien à voir avec les problèmes dontils se servaient comme prétexte. Il s'est agi de jeunes gens manipulés, dirigés par des groupes divers, comme cela se fait, le tout pétri de haine de l'occident et de possesssion territoriale et vaguement "tribales" (même siles "ethnies" sont mélangées) sur fond de petits groupes mafieux racistes et antisémites... Des minorités particulières avec de manipulations poitiques connues des services de polices encore plus que Fofana! Non, ça ne les intéresse pas, en banlieue: surtout en rien changer... MAis se porter en avant quand les exterritorialités sont mises en question et qu'on ose parler de racailles à ceux qui insultent les profs, quand ils ne tentent pas de les tuer... On a vu, très vite, le nombre de ce genre d'attentats proliférer! LE vrai fascisme est en banlieue... Le mouvement des banlieues n'est ni spontané, ni "populaire" ni revendiquant.Il est identitaire.Il est territorial. Il est fasciste, machiste et haineux. Et nuit aux habitants des banlieues qui n'en font pas partie. LEs gangs "occupent"... C'est maintenant qu'il faudrait y aller voir.. Les forces de l'ordre, en banlieue, ont peu agi. Il y a eu des brutalités, certes,mais pas tout de suite, pas comme ça.. Mais alors, dès qu'il s'"agit d'étudiants, on charge! Bon, ça n'et pas 68 dont on voit les images ignobles de tabassage acharné d'étudiants à terre... Mais les étudiants, on peut cogner..l'anti-intellectualisme sévit encore... Or c'est d'élites dont la France a besoin! Heureusement, celels d'aujourdhui sauront se éfendre.Et s'il le faut en assignant un ministre en justice! Chose inimaginable durant les 30 glorieuses ou l'après 68!!!! Au passage: De Gaulle serait certainement assigné devant un tribunal international aujourd'hui: il était le responsable des tortures en Algérie, en tant que chef de l'Etat et chef des armées... Il serit vilipendé par l'opinion internationale! Ce qu'on trouvait "normal" durant les 30 glorieuse est aujourd'hui considéré comme scandaleux, monstrueux, ignoble! A l'époque, protester contre la torture menait en taule! Aujourd'hui, ce qui est bien, c'est qu'on proteste. Et que ça peut devenir efficace. Et c'est, justement grâce à l'esprit de 68 et des associations pour les droits de l'homme. Si un flic dérape, il y aura re-manif jusqu'au procès... Avant 68 on tabassait comme on voulait, comme à Charonne et il fallait vraiment qu'il en fasse trop pour qu'un flic soit sanctionné. A ce moment, le racisme anti-Arabe battait son plein. Et une curieuse épidémie faisait que les Arabes, fort maladroits, heurtaient des tas de trucs dans les commissariats, se blessaient pour un oui pour un non, ou tombaient malencontreusement par les fenêtres... Vraiment, des types bizarres, non? ET le ministre "rappelle à l'ordre" les Présidents d'Université!!! Pour qui se prend-il? Je en sais pas quoi penser du CPE. Chez moi, la,période d'essai a duré 40 ans. Mais quand même, quelque chose à changé depuis les 30 glorieuses, paradis des flics cogneurs, durant laquelle l'économie se fondait sur les guerres (comme chez Bush de nos jours) et le PNB fort qui cache TOUJOURS une misère noire des laissés-pour-compte. Et surtout depuis la période d'après 68,la "Restauration",,avec les assassinats purs et simples de Pierre Overney, Richard Deshayes, Malik Oussédine, etc... et la haine des jeunes!Le Luxembourg, à PAris, interdit aux jeunes, avec l'épisode hilarants des bouddhistes et hindouistes cachant des barres de fer sous leurs robes jaunes (à l'époque, ils étient plus directement manipulés par la CIA, aujourd'hui, c'est plus diffus) et le boiulevarc Sait Michel encombré d cars de CRS tus les jours, tout le temps...Et des gens qui avaient connu 1940 disaoent qu'il y avait plus de CRS que d'Allemands durant l'Occupation... EN TEMPS DE PAIX! Oui, il y a un progrès: les flics n'oseront pas agir comme dans ce temps de décadence! ou alors ils se cacheront! ET finalemetn, ce combat, quoiqu'on pense du CPE, doit ontrer que l'on "ne marche pas" et que ça suffit, la complaisance de certains gouvernants.Les jeunes veulent du boulot, des formations, du fric. t non pas la baisse de niveau totale: cutlurelle, des salaires et des mentalités! Et ces jeunes gens, de toutes origins, ne se rconnaissent pas dans la "banlieue".