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orlando de rudder
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20 février 2006

LEs ratiocinations islamistes!!!!

LEs petits pouacres frappent encore!!! Voici ce qu'on trouve sur: http://oumma.com/article.php3 ?id_article=1910. Ce débit d'article va vous amuser!!!!! LES CARICATURES DE MAHOMET PAR ALIGHIERI DANTE ET SALVATOR DALI. Par Ali Farid BELKADImardi 7 février 2006 Nous publions dans le cadre du débat sur les caricatures, un point de vue d’Ali Farid Belkadi, épigraphe paléographe, qui nous propose un parcours très personnel dans la culture européenne et une vision particulière des relations de certains de ses grands auteurs avec l’Islam. Nous espérons que nos lecteurs pourront cheminer avantageusement et s’informer dans ce libelle très érudit. Nous avons voulu publier ce texte à la fois original et acerbe pour illustrer la richesse parfois déconcertante des points de vue musulmans. DANTESQUE Il y a pire que ces fantasques dessins du prophète Muhammad (SSL), imaginés par de ternes Picrochole-caricaturistes à la demande du tabloïd danois Jyllands-Posten, dont personne n’avait jamais entendu parler auparavant. Dans des temps anciens, le peintre Sandro Boticelli, qui venait de travailler avec Domenico Ghirlandajo et Cosimo Rosselli, à la décoration de la chapelle bâtie par Sixte IV, avait brossé le prophète de l’Islam tel que Dante l’avait représenté dans la Divine Comédie : « (Mahomet) crevé du col jusqu’au trou d’où l’on pète. Les boyaux lui pendaient entre les jambes ; on voyait la fressure, et l’affreux sac qui change en merde ce que l’homme avale ». L’Enfer. Chant XXVIII. (V. 28-36). Il est indispensable de reproduire ce passage immonde de la « Divine Comédie » de Dante. Qui n’a jamais entendu des personnes familières, de culture française, proférer à haute voix l’expression : « C’est dantesque ! », pour dire de telle ou telle chose qu’elle est phénoménale. Salvador Dali, a reproduit à sa façon délirante, la scène intolérable, tirée du passage de l’Enfer de Dante. Il n’était pas en odeur de sainteté chez les surréalistes qui le baptisèrent Avida Dollar, pour son amour du lucre et de la richesse, en modifiant l’ordre des lettres de son nom. D’autres peintres des temps jadis, se sont essayés à ce style délétère, qui offusque la sensibilité des personnes respectueuses de la croyance d’autrui. Voltaire qui s’est rétracté vers la fin de sa vie, en reconnaissant la grandeur de l’Islam, a écrit une pièce de théâtre « Fanatisme ou Mahomet le prophète » qui fait du prophète de l’islam un chef de guerre assoiffé de pouvoir. En 1994, la Ville de Genève avait retiré sa contribution financière au Théâtre de Carouge, qui voulait monter la pièce de Voltaire. Les représentations furent ainsi annulées. En 2005, c’est-à-dire onze ans plus tard, le même metteur en scène, Hervé Loichemol récidiva. Genève est cette ville où gisent impunément, l’argent et l’or escroqués par des arabo-musulmans à d’autres arabo-musulmans. Quelques jours plus tard, le même metteur en scène fera cette fois-ci appel à un comédien algérien, pour interpréter deux laconiques rôles -le Derviche et le Patriarche- dans une pièce de Gottold Ephraïm Lessing (XVIII° siècle), intitulée « Nathan le sage ». Loichemol et d’autres qui s’enorgueillissent de Voltaire, oublient que le même auteur a écrit : un « Traité sur la tolérance. Chap. XXIII » (1763) : « Ce n’est donc plus aux hommes que je m’adresse ; c’est à toi, Dieu de tous les êtres, de tous les mondes et de tous les temps (...)Tu ne nous as point donné un coeur pour nous haïr, et des mains pour nous égorger ; fais que nous nous aidions mutuellement à supporter le fardeau d’une vie pénible et passagère ; que les petites différences entre les vêtements qui couvrent nos débiles corps, entre tous nos langages insuffisants, entre tous nos usages ridicules, entre toutes nos lois imparfaites, entre toutes nos opinions insensées, entre toutes nos conditions si disproportionnées à nos yeux, et si égales devant toi ; que toutes ces petites nuances qui distinguent les atomes appelés hommes ne soient pas des signaux de haine et de persécution ; que ceux qui allument des cierges en plein midi pour te célébrer supportent ceux qui se contentent de la lumière de ton soleil (...) Puissent tous les hommes se souvenir qu’ils sont frères ! ».Voltaire n’était pas athée. De nos jours pour faire son beurre, il suffit d’écrémer des textes d’auteurs polémistes. La suite sur :http://oumma.com/article.php3 ?id_article=1910 On pêut s’abonner à la lettre de ce blog !!! Ca vaut son pesant de cacahuètes !!! C’est fort instructif sur l’intolérance et la haine religieuses ! Lisez donc ! A surveiller de près ! Tous avec Brassens, avec Prévert, avec Rimbaud! Tous avec Voltaire, Meslier, Diderot! Tous avec Coluche, Jean Rostand, Tous avec la grandeur contre la petitesse de tous les croyants tortionnaires!!!
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