Pensée pour les morts.

En France, un quart des décès dûs aux violences conjugales concernent des hommes. Moins que les femmes, certes.Mais comem ce sont des hommes, on s'en fout: ils sont de la RACE des violents, des assassins, des violeurs et des pédophiles. Ils agressent les femmes pour des raison de GENRE (gender chez les zétazuniens), nous sommes effectivement dans quelque chose qui ressemble au racisme. Enn effet, les hommes ne sont pas toujours jugés pour leurs actes, mais à partir du fait qu'ils sont hommes!!! Et c'est beaucoup plus grave et plus profond que les balourdises masculines du genre "toutes les mêmes", voire pire dasn la formulation abjecte et grotesque! Car c'est une assignation à la culpabilité, une obligation d'être considérés comme solidaires de brutes ignobles et de même nature qu'elles!!!! Oui, il y a moins d'hommes que de femmes dans ces chiffres sinistres. Il est vrai que les hommes sont génralement plus violents; éduqués pour cela (par les femmes Et les hommes): une société est aussi un tout dans ses valeurs contradictoires. D'autre part, les hommes sont généralement plus robustes que les femmes: ce fit explique aussi la différence du nombre de décès. Comme ils sont moins nombreux, ces hommes décédés, tout le monde s'en fout et personne ne les plaint! De toute façon, le nationalisme "féministe" ne tient pas compte des souffrances masculines.Un homme meurt toutes les deux semaines. Et l'on voit écrit chez les chiennes de garde "Seulement" un homme... Et même que ce nombre est "négligeable"!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Rappel nécessaire: Il y a un pouvoir masculin!. Et alors? S'il faut un pouvoir, pourquoi pas celui-là? Chirac est président, puorquoi pas Royal? On veut que ça change: dont acte... MAis la réflexion sur le pouvoir lui-même est à commencer... Comme ils sont moins nombreux, ces hommes décédés, tout le monde s'en fout et personne ne les plaint! Ce pouvoir n'est pas plus illégitime qu'un autre.Il n'est pas un, unique, monolithique: il devient monstrueux à certains moments, à certains endroits, il est un simple pouvoir ailleurs. Il est odieux par ses abus (mais le pouvoir est-il lui-même un abus) et supportable dans certaines contrées. C'est, chez nous, un pouvoir libéral qui peut être exercé par des femmes, des femmes chef d'entreprise, par exemple, qui exploitent pareillement leurs employés des deux sexes. On n'a jamais vu un pouvoir exercé par des femmes qui soit particulièrement meilleur que le puvoir habituel.Ce qui est normal: hommes et femmes sont de la même espèce!!! Confondre la prédominance masculine qui sévit en France avec la tyrannie mâle d'un pays musulman, bouddhiste ou hinsouist, etc. est injuste et partisan. Et l'on ne voit pas pourquoi tout home serait ici assimilé à des salauds médiocres dont on voit nettement la folie meurtrière. Ces pays sont aussi ceux ou des femmes maltraitent des femmes, les torturent: l'excision est une violence faite par des femmes à d'autres femmess.Eh oui. Et ce sont des femmes qui la revendiquent!!! Aucune n'est en prison. Comme ils sont moins nombreux, ces hommes décédés, tout le monde s'en fout et personne ne les plaint! LE pouvoir masculin est une assignation.Le contrat social ne se négocie pas à chaque génération. Il pèse à beaucoup d'hommes qui s'en passeraient bien, même s'il y a quelques rares avantages. Ce pouvoir épuise les hommes, d'autant plus que chacun en est tenu pour responsable par les groupes de femmes revanchardes et haineuses. En attendant, du fait même de ce pouvoir, la plupart des bienfaits de ce monde vient d'eux. Comme la plupart des méfaits. LA violence des femmes est enfin reconnue. C'est un bienfait pour la cause de l'égalité: on ne prend plus les femmes pur des nunuches soumises!!!! Ces statistiques démontrent l'inanité du discours "chiennes de garde", y compris sur la maltraitance d'enfants... Quant à "l'Ultime tabou", il arrive... C'est le titre d'un livre qu'on étouffe. ET qui fait mal!!! A vous de voir (on en parle sur le net et ailleurs) : moi, j'en ai marre de me faire engueuler pace que je suis né homme.Le sexisme masculin est un sexisme onacceptable. LE sexisme féministoïde amerloquoforme s'apparente aussi au racisme. Il vient d'ailleurs historiquement des ligues de vertus esclavagistes... Comme ils sont moins nombreux, ces hommes décédés, tout le monde s'en fout et personne ne les plaint! Nous ne sommes responsables que de nos actes. Et nous n'avons pas à payer pour quelques hommes répugnants, sadiques ou violents. Je ne suis pas coupable et je ne fréquente aucun homme qui le soit! Je n'ai pas à subir l'ostracisme victimaire des femmes pétries de haine. Il est vrai que j'ai eu la chance d'avoir été élevé par des femmes exceptionnelles, évidemment et vraiment féministes, parfois sans le savoir. ous sommes loin des nazillons: conscientes de leurs lutte malgré tout, ces femmes ne se sont jamais posées en victimes. Et pourtant, certaines ont bien morflé à cause d'hommes!!! Je demande justice: je en suis pas un violeur, une brute un assassin. Je 'nai pas à ête assimilé à ceux qui le sont.Je demande aussi que l'on reconnaisse le victimat masculin, le nombre extrêmement important d'hommes mort de violences conjugales. Je demande qu'une femme qui maltraite un enfant soit l'égale d'un homme dans le même cas: qu'elle aille en prison, si c'est légitime, au lieu d'être soutenue par des procédures telles que l'AEMO.L'égalité pénale me semble nécessaire: les tribunaux sont plus indulgents envers les femmes. Et, quand une femme est mise en prison, il faut vraiment qu'elle soit allée fort loin dans l'horreur!!! Tant que la responsabilité égale ne sera pas reconnue, il faut admettre que la loi considère les femmes comme des mineures irresponsables! Quant à l' "ultime Tabou', on commence à en parler. C'est, certes, moins fréquent que chez les hommes.Mais c'est inquiétant. L'égalité est à venir. Elle se conquiert sans haine. Les femmes ne sont ni des saintes ni des monstres. elles sont humaines, capables du meilleur comme du pire. Elles ne sont pas toutes victimes, même si elles sont asujetties au pouvoir mâle. qui, je l'espère disparaîtra. Ce qui sera d'abord un bienfait pour les hommes! qui va penser à ces hommes, morts de violences conjugales? NE sont ils pas à plaindre? Va t-on les oublier parce qu'ils sont moins nombreux que les femmes dans le même cas? Ne furent-ils pas des êtres humains. Qui les plaint? Ne sont-ils pas victimes? Le fait d'être moins nombreux atténue t-il la culpabilité de leurs assassins (eh oui, "assassine" ferait mouche et "meurtrière" fenêtre!). qui pense à eux? Qui prie pour eux parmi les chrétiens ou autres? Sont-ils donc des parias? Comme ils sont moins nombreux, ces hommes décédés, tout le monde s'en fout et personne ne les plaint! Rappelons que la folie "féministoïde" peut atteindre aussi les meilleures parmi les femmes. Virginia Woolf comparait le pouvoir mâle au nazisme!!!! Dites un truc dans le sens iinverse, et c'est le tollé, voire l'action en justice. Va t-on faire interdire Virginia Woolf pour diffamation? Voire encouragement à la haine sexiste? Pauvre Virginia que nous aimons tendrement!!!!Grande auteuse, superbe personne, elle ne s'en gourre parfois pas moins comme tout un chacun,malgré des fulgurances à nulles autres pareilles!!!! Pensons AUSSI aux morts de sexe masculin, victime de violences conjugales. Ce sont des victimes au mêm tire que les femes dans ce cas. ET rappelons que la simple notion de "genre" ( gender) est monstrueuse dans sa dialectique anti-humaine, ennemie du genre humain... Comme ils sont moins nombreux, ces hommes décédés, tout le monde s'en fout et personne ne les plaint! Quant à moi, je continuerai à militer pour que les femmes soient considérées à l'égal des himmes: Ni putes ni soumises,certes,mais ni saintes ni nunuches: humaines et faillibles... Humaines tout simplement!