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orlando de rudder
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13 janvier 2006

Fier d'être humain

L'intelligence animale!!!! Encore cette vieille lune! Encore ce refus de penser et d'aimer! Car l'exhibition de bons sentiments dit bien ce qu'elel veut dire: "regardez comme je suis bon, j'aime les animaux", les m' as-tu-vu de l'affectif autocélèbrent leurs performances affectives pour mieux dénigrer l'humain et l'autre, l'autre!!! Dans le temps, on se foutait des "concierges" qui disaient "ah! ils sont bien meilleurs que les humains"!!! Tout ça par ce que ces personnes acariâtre n'avaient jamais pu s'entendre avec les autres à cause d'un caractère de cochon! Hélas, la sublime bourgeoise sympa d'il y a quarante ans, Brigitte Bardot en est là: insupportable, abusive, ellr raconte elle-même, parfois sans s'en douter son échec affectif faute de respect pour les autres, faut d'amour. Une vie affective foutue par manque d'amour: ça hurle dans les pages qu'elle a écrite ou que le nègre a bien bâtie selon elle, et elel seule. Faut-il encore expliquer pourquoi "intelligence animale" est une foutaise? Que ça n'a pas de sens? Qu'il faudrit définir l'intelligence (voire même l'animal) et si l'on parle de supériorité, selon quels critères. Que l'expresion "intelligence animale" est déjà un manque de réfexion! D'intelligence? Oui, sans doute, mais d'amour aussi (ça va ensemble). Quels critères? sur celui de l'amour des animaux, Hitler était bien supérieur à ceux qui les maltraitent (provoc amusante, non? Rappelons qu'Hitler était suncère et que tout montre qu'il aimait vraiment els animaux!!! hi! hi!). Après avoir défini l'itelligence (la capacité d'écrire des poèmes, d'être ne iltelligence avec le monde, donc d'aimer?), puis l'animal (encore que l'opinion généralement admise peut vaguement suffir: la méduse est, comme la paramécie et le morpion bien supérieure à Einstein ou à Descartes, dans tous els domaines!), ensuite quel animal... Tiens tiens... rarement le crapaud ou la vipère, toujours le chat, le chien-chien et quelques pandas, l'insupportable dauphin bien mignons permettant le bon égoïsme de "l'enchantement océanique" (voir sur le web de quoi il s'agit: marre d'enfocer des portes ouvertes!). Et montrant un anthropomorphisme bien épais d'autant plus fort que, comme le diable du dicton, il parvient à faire croire à son inexistence. Voir les adorateurs des dauphins!!!! JE n'aime pas plus les animaux que je n'aime tous les gens. Il y a des chiens dégueulasses.LEs abeilles me dégoûtent et je vomis leur système de vie, leur soumission, leur ordre fasciste: assumons l'anthropomorphisme. JE demande le droit de me conduire comme un chat, d'être adoré comme lui et qu'on vide ma litière!!!! Hi! Hi! Bref: définition de l'itelligence. Définition de l'animal. Ensuite préciser de quels animaux on parle (du bacile de Yersin? Du rat d'égoût "vachement intelligent"?). Ensuite sur quels critère juge t-on. L'animal, dans la nature, vit dans la trouille constante. Les oiseaux, par exemple, sont comme pris, pour la plupart, dans une "cage de verre", un territoire aux frontières infranchissables.La domination,la haine (car oui, ils ont des sentiments!) sont de règle comme ue sorte de nationaliste tribal. Moi, contrairement à beaucoup, quand je lis Lorenz, je suis consterné par la ... bêtise des bêtes... Après quoi, on pourrait faire l'hisopire de cette idée d'intelligence animale, qui, comme l'idée de nature actuelle, ne va pas de soi. C'était impensable il y a un siècle. Il fallu , entre autre, la réhabiitation de l'antihumanisme, la montée des totalitarismes et le mépris de l'occident pur que ces idées se renforcent. Ensuite, la deuxième guere modiale a servi de miroir inversant: l'affirmation de soi par l'appartenance sociale est arrivée. On a trouvé des excuses pour haïr encore plus les autres: régionalismes, nationalismes, goût des pensées orientales (bouddhisme, hindouisme) et mépris de l'Europe "décadente", célébration lyrique et enchantée de la nature (qu'on bousillait quand même), mysticisme avec survalorisation du spirituel (ben tiens!) survalorisation de l'identité etc. sont passés de l'idéologie de droite pure et dure à la mouvance gauchiste molle, lâche et veule. Ce qi était l'apanage des nazis, entre autre,e st tout bonnement revendiqué par des gens quis e disent pacifistes enttre autres... A ceci s'est ajouté le recul de la culture, la haine de l'école et des profs: n'importe quel élève un peu doué d sixième d'avant guerre (laquelle?) se rendait compte que la notion "d'intelligence animale" est de l'idéologie pure et qu'elle sème le doute sur la sincérité profonde (ils sont réellement sincères!!! Faut pas croire: c'est ça le pire, et c'est ça qui est coupable) de celui qui la profère. Je connais des gens qui aiment vraiment les animaux. Les chats, plutôt.ILs ne tienennt pas ce discours. J'ai aussi entendu parler des végétariens qui "dressent" des chats ou des chiens à devenir comme eux, végétariens. Au moins, ceux-là, quoi qu'ils disent, ne sont pas des amis de la nature!!!!Ni des écolos.. De plus ils n'aiment pas les animaux... Comme la plupart des gens qui se proclamment "amis des animaux"... Ne discutez jamais avec eux: leur argumentation psychorigide est très au point... laissez-les parler, allez dans leur sens avec une belle, mais humaine hypocrisie... Au bout d'un certain temps, ils REVELERONT... Pauvres animaux! qu'ils se méfient de leurs amis! De ceux qui refusent de les connaître vraiment. ET maontenant, jenpense à Joyce, mon vieux pote, un labrador mort dans mes bras, abandonné par ses maîtres... Je l'ai aimé, il m'a aimé... Mais je ne suis pas un ami des animaux. Jpyce aimait bien es humains (ça lui a coûté cher), mais n'enf isait pas tout un plat. Il préférait les pâtées mastoc que ej lui préparait, impatient durant leur cuisson, justte avant qu'on déjeune ensemble... Il faudrait aussi que je parled e NArcisse, un malinois de jadis... Et de Rififi, la solide siamoise de mon enfance... Parce que c'étaient eux,parce que c'était moi, disait Montaigne... Aucune de ces bêtes ne représente TOUS les animaux.Je n'aime pas LES animaux, en général (pas plus que les boulangers, les maçons, les fabriquants de nouilles, les Auvergnats, les MAltais, les coiffeurs, les vidangeurs,etc) mais certains d'entre eux... Et je reste humaniste! Il n'y a que l'humai qui se pose de telles questions! Ca aussi montre que l'"intelligence animale" est une idée idiote: les animaux s'en foutent. Et ils ont bien raison! Ce serait bien, confortable, merveilleux que les bien-pensants nous épargnent enfin leurs déjections affectives! Je rappelle qu'un gamin a été verbalisé pour avoir craché dans la rue! Que devrait-on faire à ceux qui nous engluent dans la sous-pensée morveuse de l'auto-satisfaction qui dit : "j'aime, j'aime, j'aime", comme l'ancien slogan voituresque chanté par Clerc? Ah! si l'on pouvait aussi interdire de parler d'amour durant queques siècles! Dès que le mot "amour" paraît, il arive fréquemment qu'il soit nié par la suite des paroles et des faits. Comme disait Stendhal, bien des gens ne se forceraient pas à aimer s'ils n'avaient pas entendu parler d'amour. Ils feraient moins de mal et seraient heureux!!!! L'amour obligatoire bousille notre monde! L'amour n'est pas à la portée de tous, écrivit Eric Fromm... Tiens, voilà l'ocasion d erelire L'art d'aimer, d'Eric Fromm, si sévère, justement, pour la "performance affective" gluante! ET Stendhal, De l'Amour, impeccable, implacable comme l'amour lui-même! Aussi cruel, mais sans l'austérité de l'amour profond (dommage, mais c'est si beau). Et Ovide, l'Art d'Aimer, bien sûr.... épatant. Mais aussi sont contrepoids "Comment ne plus aimer"... On l'oublie souvent, ce livre étonnant! De toute façon, Ovide, le bon Ovide, dans son humanité est toujours savoureux... Et les Métamorphoses peuvent (hi! hi!) nous donner uin autre regard sur le monde animal (ah?) Mais il faut sans doute être capable d'amour pour lire... Le refus de la culture est précisément le refus de l'amour... Et l'on peut dire re l'amour ce qu'on dit des propos érotiques: c'est ceux qui en parlent le plus qui sont incapables d'aimer. Certains ne parlent que du manque comme on parle du nez... JE reviendrai sur l"amour", l'amour obligatoire.J'avais l'intention de citer quelques blogs au poétisme imbécile, besogneux, voire zen ( pensée en cotradiction aved l'idée même d'amour et ceci explicitement!) qui vomissent l'amour en déclarations visqueuses... Mais à quoi bon tirer sur les ambulances? C'est marrant, certes, mais après, ces gens-là nous racontent leurs enfances et leurs malheurs!!! Snif! Souvent, ils n'ont pas pardonné à leurs parents, ou des choses comme ça.Ils ne peuvent donc pas aimer... Pas plus les animaux que la vie... Ellel est sévère, la vie... Particulièrement envers ceux qui aiment l'amour comme les poux aiment les têtes! Pour finir, cette gifle à ce genre de sales types: De tous les mots usés, salis, ressassés de notre vocabulaire « amour » est certainement le plus malpropre, le plus malodorant, le plus visqueux. Beuglé du haut d’un million de chaires, lascivement chanté au travers de centaines de millions de haut-parleurs, il est devenu un outrage au bon goût et aux sentiments décents, une obscénité qu’on h ésite à prononcer. Et pourtant, il faut le prononcer ; car, après tout, Amour est le dernier mot. Aldous Huxley, Adonis et l’alphabet. Parce que je suis humain et que, de ce fait, j'ai a possibilité d'être fier, et même d'en être fier: Je suis fier d'être humain.
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