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orlando de rudder
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4 décembre 2005

Ferveur

LEs articles sur le Tibet, sur le zen ont bien importunés les cagots, les hypocrites, les curetons de ces mentalités. Ils n'ont d'ailleurs rien répondu: attaquer els faits serait risqué. On s'en prend, comme chez les prêtres et les staliniens à la personne. HEureusement, une autre attitude voit le jour. Et l'on me demande des précisions (le mieux, c'est quand même le net!). Certains recherchent même les biographies de maîtres zen et découvrent d'amusant potss-au-rose... Bref, une prise de conscience voit le jour. JE suis assez content d'y être pour quelque chose... Pourtant, il reste une amertume: pourquoi se laissse t-on avoir ainsi? Quel est ce désir de croire qui demeure, malgré les faits, les preuves? LE fanatisme et l'aveuglement sont-ils un besoin vitale? Et que serait mon aveuglement? Comment faire pour ne jamais être comme ces gens répugnants qui, sachant la vérité, continuent à approuver tel courant? Comment rester calme et droit en évitant la bonne conscience, le "satori" et la pensée incomplète de la méditation? Oui, on me parle et des témoignages de sympathie affluent... Sans doute l'esprit fougueux des hommes libres est-il encore vivant. C'est aussi que les dogmes ont fait trop de mal. quant à la croyance religieuse, je cosntate que, dans l'esprit d'un Darien, d'un Cavanna ou d'un Brassens, on recommence à oser la critiquer.ppurtant, aujourd'hui, c'est comme dans l'Amérique de Bush: "Croyez n'importe quoi, mais croyez: on ne contrôle bien que les croyants parce qu'ils croitent, tout d'abord, qu'ils sont libres de croire" (hi! hi!) Le renouveau du religieux est politique et financier: on daigne s'en rendre compte. L'amusante indigence des croyances est burlesque: on a encore trouvé un type, un adolescent qui jeûne. Normal: il n'a jamais eu faim... Un miracle? A quoi bon? LA foi est donc si fragile? Où sotn les "vrais croyants", ceux qui croient dur comem fer, malgré les évidences? Ils sont zen, bouddhistes, ilslamistes, catholiques, pourtant... Et la culture népalaise se met à montrer la faiblesse religieuse qui se sert de miracles pour convaincre! J'espère qu'il n'y a pas supercherie: ça montrerait la pouacrerie usuelle. Si par hasard, le gamin est un tricheur, je lui serrerai la main: je préfèreles canailles aux bigots: on peut voir, s'arranger.LEs bogots, els tartufes tuent plutôt que découter autre chose que leur voix! On a vu l'Allmagne demander pardon pour ses crimes, le Pape admettre le rôle grave de l'église dans l'histoire et sa part de culpabilité dans l'antisémistisme.LA Turquie refuse toujours de reconaître le génocide arménien.LE Japo,n ne veut pas entendre parler de ses crimes contre l'humanité*. L'Amérique n'a jamais été co,nfrontée à une Cour de Justice internationale pour Hiroshima, Nagasaki... et bientît ppur sa conduite irakienne... Le Dalaï-Lama, quis e dit non-violent, n'a jamais pris position conttre la tradition tibétaine de torture judiciaire, d'exploitation des pauvres, de théocratie guerrière.; Et si on commençait une pétition pour lui demander de prendre position?Ou il est dans la tradition, donc, comme Tuhtpen Gyatsio, son successeur, il approuve Hitler, la torture judiciare traditionnelle du Tibet, les mutilation, l'oppression des femmes, etc.Ou il est réellement non-violent: on atend que ses paroles soient cohérentes. Ses actes? Il n'y en a pas! Il déclare, produit des phrases bébêtes... Il n'est ni l'abbé Pierre ni Gandhi. C'et la potiche des U.S.A qui l'entretiennent. Ce en serait pas grave s'il ne se permettait pas de donner des leçons avec une prétention insupportable. Alors, qu'il désapprouve enfin l'ancien Tibet (voir ma rubrique "foutriquet sentencieux" ou les propos de Parenti, des Trismondi sur le net, et toute la documentation sur le nazisme au Tibet)... Toute personne se réclamant su zen, est ipso facto partisan des exactions de cete philosiphie. Tout partisant du dalaï-Lama approuve ipso facto la culture brutale du Tibet.Ou alors, il faut commencer par s'expliquer! Bref, on recommence à contempler l'a matière, à respirer en grand loin des miasmes d'encens, l'air pur de la liberté, si sauvage, si rêtive et si grande... "Nathanaël, je te donnerai la ferveur", écrivit Gide. Que ma joie demeure!
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