9 novembre 2005
Kurosawa
Je repense à Kurosawa, à Dode's Kaden, et àa sa critique superbe des valeurs du Japon traditionnel... popurquoi est-ce que ce n'est pas aussi "à la mode" que le zen, que tant grands artistes japonais, critiquent.Kurosawa est l'un des plus grands cinéastes du monde.JE pens aussi à MAsaki Kombayashi et à son fil HArakiri, sur la misère des rônins et la connerie des samouraï... Ambigus, entre tradition et désir de tout foutre en l'air, le cinéma japonais me fascine.Je ne suis pas le seul..
J'aime "lature Asie", la non-intégriste. Celle qui a morflé, qui s'est battue. Cele des pauvres et des opprimés... Cele qui morfle encore sous la férule des religions... Ici, on admire les opresseur.Comem si on vénérait, au Japon, Monseigneur Lefevre et tous les intégristes...
Le coinéma japonais montre l'âme et la révolte: il y a là un espace de liberté.
Le cinéma indien, pas celui de Bolliwood, a aussi cette doiuble nature entre le passé et l'espoir: Le jouer d'échecs de Ray est d'une beauté farouche!
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R
P