28 octobre 2005
Dignité humaine
Un peu de dignité!!!!
Mais ce n'est pas à la mode!
Elle n’aimait guère les bêtes. Ou plutôt, respectait trop le genre humain pour comprendre que l’on s’attachât à un animal. La fidélité générale des chiens et la beauté des félins de salon, cette facilité de l’adoption mutuelle de deux races lointaines la dégoûtaient de ceux qu’on nomme « les maîtres » :misanthropes sans pouvoir, carencés d’amour, intolérants envers leur solitude comme envers leurs congénères.Virginie Durand, Emma Rovski, 2000.
Publicité
Publicité
Commentaires