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orlando de rudder
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17 avril 2010

Sur mon article "merde à Ferrat" avec, en plus "merde à Brassens"!

Encore un pouacre hideux!

La prétention, l'arrogance des pouacres est amusante, boouffonne, même. Un fan de Ferrat ose me préciser ce que tout le monde sait (voir ci-dessous, mon article "Merde à Ferrat" et le commentaire du savantasse borné)... Come si Ferrat aurait signé ou co-signé des chansons avec le texte desquelles il n'eût pas été d'accord! Ce monsieur je-sais-tout critique donc sans objet ca ses précisions n'ôtent rien au fait que Ferrat fut communste (et l'on connaît l'utilité de la position de "compagnon de route" pour le PC, fort habile) et que le chansons qu'il écrivit ou auqueles il contribua sont parfois sexistes.

Omniprésence.

Bien sûr, comme la plupart des mufles méphitiques et autres stryges hagardes à mentalité spongieuse de navet mou, l correspondant en question m'accuse d'ignorer Ferrat, voire de ne pas l'avoir écouté! Je prouve le contraire tandis que l'idée même qu'on puisse ne pas avoir entendu Ferrat est bouffonne! Le harcèlement  médiatique de la chansonnette est déjà ancien, on ne peut pas y échapper. Ferrat, comme d'autrs est obligatoire!  C'est une atteinte grave à notre liberté quotidienne. La chensonnette,  même bonne texticule pas trop mal et une musiquette habilarde est une pollution de tous les instants! Elle se la joue parfois poétisante et c'est gnagnard, zizi-panpan, clampistron-laroufla, ce que Gainsbourg exprima! Il faut organiser la Résistance à cette omniprésence totalitaire!

Ecole des parents.

Mon Vieux présente un père immonde et ce n'est pas pour rien que,dans la mouvance de1968, que Ferrat méprisa dans une chanson ignoble traitant de "petits cons" ceux qui furent à l'origine de grandes libérations (féminisme,etc), il y eut un renforcement des luttes de l'Ecole des Parents, puis Enfants de  droit, etc...  Car le statut de l'enfant est encore déplorable et la fessée n'est pas interdite! Toute atteinte au corps est coupable et même louche! respectez les mômes! Ce sont des êtres humains et le père répugnant glorifié par a chanson Mon Vieux n'est qu'un dégueulasse méprisant! Quel salaud! Et Ferrat le glorifie, même s'il ne chanta pas cette chanson dont il fut à, l'origine! Respectons les enfatns! Une fessée? Vite, le coupable en prison! On parvient enfin à punir la violence contre les femmes et ce n'est qu'un début!  ela dut, ferrat nous adonné une chanson épatante, mordante: Une femme honnête, qui, curieusement n'est pas aussi connue que els autres!

On ne touche pas à l'idole!

Le correspondant ne dit évidemment rien là dessus! On ne touche pas à son idole! Comment fuir, comment se débiner? comme ça! En répétant besogneusement ce qu'on a lu dans les magazines, comme si on pouvit ignorer Ferrat après tout e battage, souvent hypocrite, qui suivit son décès!

Cuba!

Ma Môme, sujet de mon article, me révulse tout autant et Ferrat, talentueux certes, doté d'une belle voix, ne fut pour moi et de toute évidence qu'un coco réac sexiste et approuvnt la paternité défailante et irresponsable, e critique des mouvements de vraies libération..quant à Cuba, je puis aussi en parler, en tant qu'arrière-arrière petit-neveu de son libérateur, Carlos Manuel de Cespédès.  Autant dire que sa chanson à ce propos me fait rigoler! Bref, la critique ne s'applique pas à l'objet en question, au sujet de l'article!

Chansonnette réac.

La chansonnette est bien souvent réactionnaire et Ferrat ne fut pas le seul à le prouver. Brassens, enchantant Marthe fleurant (pouah!) assumle l'évoction de l'ignoble Pauvre Martin, esclave volontaire, soumis, serpillière à patrons le genre de type qui devient facilement  briseur de grève, répugnant inféodé qui m'élague le scorconère et me dégoûte. Il y eut aussi Mourir pour des idées, saloperie qui n'aurait guère plu au gens qui moururent pour leurs idées, de mort très lente sus la torture soigneusement infligée par la Gestapo!

Droite.

Mettant dans Les Deux Oncles dos à dos les résistants et les collabos, Brassens,  l'homme  au masque bourru cachant un grand coeur, le tout très étudié,  célèbre l'ignominie. Mais lui, au moins, était résolument à droite, ne fréquentant que des gens de droite ou presque et chantant l'homophobie (voir ce qu'en disait PP le moqueur surson blog), le machisme et certaine bassesse ramenarde des faux-modestes à mentalité badplaf analogue à celle des personnages d'Audiard!

Envoi

J'espère avoir bien révulsé les fans de chansonnette prétentieuse et donneuse de leçons. Leur indignation les révèle et me divertit.Leur hargne m'amuse et je les toise avec le léger frémisement palpébral hautain, accompagné d'un fin sourire copurchic,  maisaussi  bienveillant que coindescendant,  de l'esthète distingué contemplant de très haut le grouillement des moindres.  Je ne m'occupe pas, pour l'instant d'un masque rigolo, pathétique, Renaud. Pourtant j'aime bien tirer sur les ambulances.

Vive l'Ardèche libre, débarrassée des coco-bobos parisiens! Hi! hi!

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Commentaires
O
Ironie mordante, chanson superbe, humour et tout! Acidité subtile et cx'est une merveille! Ecouter aussi la version de Billie Holiday!
P
Sur cette terr', ma seul' joie, mon seul bonheur<br /> C'est mon homme.<br /> J'ai donné tout c'que j'ai, mon amour et tout mon cœur<br /> À mon homme<br /> Et même la nuit,<br /> Quand je rêve, c'est de lui,<br /> De mon homme.<br /> Ce n'est pas qu'il est beau, qu'il est riche ni costaud<br /> Mais je l'aime, c'est idiot,<br /> I'm'fout des coups<br /> I'm'prend mes sous,<br /> Je suis à bout<br /> Mais malgré tout<br /> Que voulez-vous<br /> <br /> Je l'ai tell'ment dans la peau<br /> Qu'j'en d'viens marteau,<br /> Dès qu'il s'approch' c'est fini<br /> Je suis à lui<br /> Quand ses yeux sur moi se posent<br /> Ça me rend tout' chose<br /> Je l'ai tell'ment dans la peau<br /> Qu'au moindre mot<br /> I'm'f'rait faire n'importe quoi<br /> J'tuerais, ma foi<br /> J'sens qu'il me rendrait infâme<br /> Mais je n'suis qu'un' femme<br /> Et, j'l'ai tell'ment dans la peau ...<br /> <br /> Pour le quitter c'est fou ce que m'ont offert<br /> D'autres hommes.<br /> Entre nous, voyez-vous ils ne valent pas très cher<br /> Tous les hommes<br /> La femm' à vrai dir'<br /> N'est faite que pour souffrir<br /> Par les hommes.<br /> Dans les bals, j'ai couru, afin d'l'oublier j'ai bu<br /> Rien à faire, j'ai pas pu<br /> Quand i'm'dit : "Viens"<br /> J'suis comme un chien<br /> Y a pas moyen<br /> C'est comme un lien<br /> Qui me retient.<br /> <br /> Je l'ai tell'ment dans la peau<br /> Qu'j'en suis dingo.<br /> Que cell' qui n'a pas aussi<br /> Connu ceci<br /> Ose venir la première<br /> Me j'ter la pierre.<br /> En avoir un dans la peau<br /> C'est l'pir' des maux<br /> Mais c'est connaître l'amour<br /> Sous son vrai jour<br /> Et j'dis qu'il faut qu'on pardonne<br /> Quand un' femme se donne<br /> À l'homm' qu'elle a dans la peau ...
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