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orlando de rudder
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17 décembre 2009

Femmes criminelles à la une

L'actualité est souvent sordide. Et fait remonter des choses pas très sympathiques.Sur le net, aujourd'hui aux actualités msn on parle des mères infanticides... certes, il s'agit d'un "crime féminin" et les femmes en prison le sont généralement pour maltraitances d'enfants et autres sévices. Et cette réalité déplaît tandis qu'ele est mal connue, voire refusée... Elle témoigne, en tout cas de la détresse des femmes dans un monde macho contre lequel certaine résistent en expriment une violence inouïe, la négation de leur rôle imposé... Le criminalité des femmes, souvent "familiale" tient aussi à leur statut.Ca n'excuse rine, d'accord, mais ça explique un peu...

Sur le même msn, il y a une série de photos des femmes tueuses en série.Alors que les infanticides sont toutes françaises, ces dernières sont pour la plupart américaines. Ce qui me semble curieux.Outre Marie Besnard, la "bonne dame de Loudun" il me semble qu'il y en a d'autres...mais les reportagesde ce type  sont vendus "tout faits", on les prend, on les laisse, au choix ... Ce n'et pas tout à fait de l'info, mais du négoce de trucs croustillants propre à éveiller la si jouissive "indignation vertueuse" du public

N'empêche, ces faits racontés peuvent éveiller une plus grande compréhension des femmes.PAr elles-mêmes d'abord: il est bon de ne plus se considérer comme un créature forcément bonne et dévouée, de remettre en questionl'imga même de la féminité au lieu de surexposer un victimat complaisant,  voire méprisant ou auto-méprisant tendant à faire croire que les femmes sont de pauvres gourdasses souises incapable de nuire, forcément bonnes mères, bonnes épouse et cordon-bleu en cuisine... Au lit?On 'en parle pas trop: devant de telles nunuches, on préfère uen maîtresse plus ardente...Hé oui, Maman ou putain...Mais jamais criminelle!

Nos faiblesses et nos défauts, nos mochassetés morales nous définissent aussi.  Ma lutte contre elles fonde la grandeur humaine face à la bassesse animale où l'infnticide est souvent habituel, come tout ce qui est vice pour l'humain. C'est en considérant la réalité du "fait féminin" que l'onpeut devenir vraiment "féministe" ou égalitaire et lutter efficacement, non en idéalisant des conduites "méritoires"...Et c'est bien cela qui permettra de considérer les femmes comme des êtres humains, avec grandeurs et bassesses, plutôt que de les confiner dans un rôle rassurant. Le réel existe... LEs criminelles aussi. Et ces criminelles sont aussi victimes... eles monte aussi par la nature d eleurs crimes ce qui ne va pas dans le rôle traditionnel infligé aux femmes: elles frappent où ça fait mal... L'enfant.

Bien sûr,,ça me révolte.Mais je ne pratique pas "l'indignation vertueuse" spectaculaire et si confortable. Je veuxcolmprendre et aimer. Ne pas haïr... Il se trouve qu'il y a, pas loin de moi, des femmes maltraitantes ayant eu des ennuis...  Leurs histoires personnemles sont encore plus lamentables que celes des maris violents...hé oui, ça ne se passe pas dans tous les milieux, ces saloperies...Même si pur la violence conjugale un cerain courant féministoïde prétend que c'est répandu également dans toutes els classes sociale, contre-vérité arrangeante. Il y a de la misère, là-dessous. De l'origine. Du non-devenir...Mais c'est si giuleyanbt de vouloir faire "l'économie du social", comme celle de l'histoire: ça propose de la" nature" des choses, des êtres et l'on jouit infiniment  de se scandaliser... Ah! quel pied de vilipender ces "salopes" et ces "pervers"!  Ce sont des "autres", vraiment pas comme nous! Quelle joie de se rassurer sur soi-même sans comprendre queles circonstances jouent, comme le "vécu"...quand le vécu a vaincu, on n'est pas sorti de l'auberge espagnole, la vie, où l'on trouve ce qu'on y apporte...ou ce qu'on nous apporte...Et le refus du politique fait gâteau sur la cerise d'admirables plaisirs maussades de petits poux hargneux se croyant peuple et n'étant que public...

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Commentaires
B
Il y a quelques années j'ai eu le privilège de connaitre trois dames sortant de la centrale de Rennes. Deux avaient trucider leur compagnon, la troisième avait sauter de son balcon avec son bébé dans les bras. Minimum une dizaine d'années. Pleines de vie, elles etaient sur les plages bretonnes. La vie...
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