Un vrai sens pour Noël!

Interrogeons-nous!

Noël... frères humains,il est temps de s'interroger sur cette fête... Les savantasses "semi-habiles"  rappelleront des conneries gnangnan sur les origines païennes de la fête qui, certes devait être assez passionnante quand on pratiquait des sacrifices humain ce qui faisait rire les mômes et calmait parfois momentanément  leur cruauté habituelle: pendant quelques jours ils ne persécutaient pas le nouveau à l'école... Mais là n'est pas la question et laissons dégoiser les chiatiques qui rmènent leur fraise qui rappellent doctement ce que tout le monde sait sans poourvoir aller plus loin car ils ne savent rien de plus: ils disent ce qu'ils ont entendu. bref, mes très chers frères, Noël tel qu'on le connaît participe d'un tout autre esprit...

Médiocrité du Christ!

Dieu nous a donné son fils, l'a sacrifié. Formidable! Merveilleux! Gouleyant! Olpif! Epatant! Aux pommes! Gratiné! Croustillant,! Et  pourquoi? Pour nous sauver! oh la la, quelle chance nous avons... Je me sens tout sauvé, là, ce matin! Et nous sauver de quoi?de la souillure originelle! De la QUOI? Un catholique, là, ne dirait rien: il admet. Il y a un péché, au départ, on va baptiser, et hop, plus de tache! Seulement voilà: il croit au péché originel. Il  insulte mon fils, ma fille en disant que mes mômes, en naissant, sont déjà marqués par la culpabilité! C'est dégueulasse! répugnant... C'est une insulte horrible et chaque père, chaque mère doit se révolter! Protégeons nos enfants, vaccinons-les contre dieu! Le Péché Originel! Y croire  est révoltant et cette médiocrité, qui est celle du Christ lui-même,  en personne, dan son orgueil flatulent, dans sa fatuité visqueuse, oui, du Christ, personne sale et veule qui a avoué "je ne suis pas venu apporter la paix sur, la terre" et qui prêchait la soumission aux puissants: "obéissez aux rois de la terre" et la démission politique et économique. Pour le reste, cette canaille parlait comme un vulgaire dalaï-lama e bistro, un révérend Moon, avec des phrases creuses anti humaines, des logia, dit-on bien planplan biejn au-dessou d'un devoir de philo du plus crétin des cancres fût-il écolo! Tout ce fatras ignoble a eu pour effet la naissance de l'anti-judaïsme, mis en forme par Paul, une sous-merde de flic qui persécutait les uns avant d'établir une pensée permettant de persécuter les autres...Car dès le début, le christianisme tua...Penser que l'homme, ce chef-d'œuvre a su aménager l'insuffisance mochasse de la nature, cette conne, naît coupable est épouvantablement bas, mentalité marchande (il faut "racheter" de petit  épicier vu pas Audiard ou Céline, préfiguration de l'écolo mesquin à la Bové, trouvant que tout est moche, que tout est pourri, qu'on nous empoisonne, que, l'aspartame donne le cancer, qi=ie l vaccin est iun poison, toute la parano mesqione d'esprits répugnant et sordides qui n'aiment pas la vie et ratiocinent, médisent, calculent, âmes visqueuses, pouah!), etc, etc... Le baptême est une dégueulasserie et il convient de punir tout prêtre le célébrant par l'enfoncement du petit bout de bois dans lles oneilles et du piment rouge dans le cul!

Soyez fiers et mangez trop!

Par chance, un réflexe de santé, bien humain, a transformé Noël, fête de la merde mentale, en célébration de' l'abondance. Fallacieuse pour certains, mais il y a une grande beauté dans le fait de sw'empiffrer, surtout pour ceux qui n'en ont pas souvent l'occasion et devront se srrer, encore et toujorus la ceinture après les fêtes parce que ça coûte chedr et qu'avec la crise venue du monde économique américain dirigé par des religieux banquiers et des présidents croyants car le fric n'est qu'un moyen pour les religieux de là-bas... Oui, Noël est devenu la fête de l'empiffrage, de la consommation, cette merveille, du trop, de l'outrance, du gâchis! Chaque fois qu'on mange trop on célèbre la fin de la misère, de la faim, de la faim ancestrale qui est l'histoire de l'humanité, quand tout étit bio et que les récoltes fragiles ne donnaient pas, alors la disette, la famine, les épidémies s'installaient dans ce monde sans pesticides où la mort se régalait, elle... c'est ça, le bio!

Fête de Famille.

Loin de l'ignoble désir de frugalité des croyants, on bâfre comme le beauf de Cabu qui vaut mieux que le Christ ou que tout mystique, et l'on rote pesamment, tranquillement ballonné par une digestion lourde tandis que la fête de famille tourne souvent à l'aigre chez cette carne de Mamie, parce que le cousin soul dit son fait à chacun, injuriant tour à tours chaque parent chaque allié dans une bonne crise éthylo-vindicative...j'aime bien ces moments durant lesquels toutes les mesquineries? salopasses de la famille se révèlent, fausses ou vraies..Parfois un "sale petit secret" est étalé, enfin et vive la vie, Fest, en voilà un film! Rappelez-vous qu'il n'y a rien de pire que la famille: on n'y est pas soi-même et l'on doit se conformer au rôle qui nous a été donné, on en est marqué comme par un péché originel de merde... On y est méconnu, sous-estimé, hors du vrai monde tandis que les enjeux non-dits poissent les relations...encore que, parfois, un bon inceste remet les pendules à l'heure! Là, on rigole!

Fêtons le gras!

Noël, fête du gras, Noël, commerce moins immonde que le marchandage répugnant du chrétien qui vend ses bonnes actions à dieu qui est un mauvais banquier puisque l'intérêt est au centuple: ce n'est pas avec Madoff qu'on verrait une tele connerie! Le chrétien devrait se convertir! quelqu'un qui croit au fric, fût-il le pire des salauds, est certes pas honorable...Mais c'est toujours mieux que la charité. Quand à faire le bien, aimer l'autre, c'est naturel chez toute personne qui n'est pas chrétienne, on n'en parle même pas, on ne l'exhibe pas...on le fait parce que c'est bon... Et qu'on est pur, puisqu'on sait qu'il n'y a pas de péché originel et qu'on se marre tandis que le curé baptiste se tord de douleur avec ses petits bouts de bois dans les oneilles et son piment dans le cul que c'est plutôt marrant... Ça vaut mieux qu'un sacrifice humain et ça calme les mômes...

Tuer les fils?

La saloperie chrétienne est amusante: il faut tuer les fistons...Ça vient d'une tradition plus anciennes puisque le fondateur, le briseur d'idoles, Abraham a commencé par là:; un délire de vieux con, une peur de vieillir, une haine salacement odieuse lui a enjoint d'égorger son môme... La haine s'appelle souvent Dieu. Et il allait le faire, l'a peut-être fait...Comme dieu lui-même, il a choisi de tuer son fils! ET les femmes acceptent, l'annonce faite à Marie, cette idole machiste, la soumise à gifler, a accepté le destin horrible de ce môme...il n'y avait pas de CAf à l'époque pour placer les enfants élevés par une mauvaise mère... en parcourant la Bible, on trouve,, ça et là, plein de mômes tués, comme ça parce que ça plaît aux salauds... Au temps des Grecs et des religions moins totalitaires, celles qui n'ont pas engendré de génocides, on tuait le père... Prométhée se révoltait et se voyait bouffer le foie par un milan une bête salope qui porte le nom d'une maison d'éditionss  laïque qui crétinise les mômes autant que sa rivale catho, nommée Bayard... Ce milan est l'anti-pélican (celui du poète), au,lieu de nourrir sa progéniture de ses entrailles, il bouffe les leurs! Belle mentalité! Passons...

Apprendre à mourir...

Alors,donc  chez les Grecs, donc, pour masquer un changement de dynastie, sans doute, on a inventé Œdipeet le meurtre du père... c'est déjà moins bête que le christianisme préfigurateur de tous les -ismes parasites du monde. Il appartient au père de mourir pour que vive le christ .La fonction parentale, la fonction éducative est de disparaître peu à peu, devenir inutile pour que les enfants vivent;Le devoir du parent, c'est aussi d'aimer...Mais il n'a pas le droit, comme un vulgaire dieu, de demander qu'on l'aime en échange! Tant mieux si c'est le cas, autrement on fait avec et l'on aime encore plus, en vrai athée, en vrai généreux, en homme, quoi... Et, bien sûr, on ne croit pas au salut! Encore une grandeur païenne s'opposant au marchandage des boutiquier catho: après ses exploits, Hercule-Héraklès refusa l'immortalité et d'autres, dans la mythologie grecque firent de même...Prenez-en de la graine, croyants: apprenez à mourir, ça fait aussi partie du sens de la vie, ça rend meilleur...Et c'est une bonne baffe dans la tronche immonde de votre Dieu, c'est de la dignité, point. Etre parent est apprendre à mourir. Sérieux.Grave. Pas triste. Profond. Loin de la légèreté chrétienne et de ses galéjades insuffisantes!

Aimer.

Aimer sans espoir de retour, refuser l'immortalité, bâfrer en rigolant, refuser qu'on blasphème contre l'innocence du nouveau-né...Consommer avec joie sans honte petite-bourgeoise occidentale, manger trop pour ridiculiser la frugalité et l'ascèse au plaisir glauque des croyants, faire le bien par plaisir, savoir que l'homme est une merveille et que la nature l'oblige au travail: c'est de la merde et le lieu des guerres, c'est la vraie grandeur, la dignité de l'homme debout, celui qui ne se courbe pas, de celui qui aime par amour et non par intérêt comme une saloperie de chien domestique...  C'est beau. A côté de cela, Jésus, les ratiocinations sur le péché, l'immortalité ont vraiment l'air mesquin, sordide, bas, turbide, pas frais, écolo, minable, mesquin, salace, putride, dégueulbif, de mauvais goût, moisi, cheap, boueux, merdeux, sanieux, pourri... En plus il est doux de se savoir supérieur en regardant la tronche blette du nazi Ratzinger!

Consommer rend meilleur!

Autre chose: vive l'abondance! consommer rend meilleur! Vivent les digestions lentes! Elles garantissent la paix: personne n'est prêt à persécuter son voisin durant une bonne digestion lente, méditative..on ne tue pas en rotant délicieusement!Tout croyant est coupable, certes, mais pas à l'origine: le fait de croire est la source de tous les crimes!

Alors fêtons Noël avec du gras et regardons en rigolant le cadavre crucifié, dégonflé, crevé comme un vieux pneu, une outr eoutrancière, come dans lr'Evangile,  pour vieux vin vinaigré avec la moisissure d'une mère de vinaigre absolument malsaine car la méthode orléanaise est bien meilleure... Mais les écolos, en bon héritiers des chrétiens, préfèrent le moisi, le rance, le puant,, le malsain, le douteux, le pas propre,le berckeux... Et leur nature ressemble au dieu des chrétien! soyez meilleurs, soyez supérieurs, athée comme une tasse! Soyons fiers et mangeons trop! Dieu est le pluriel de deuil! Le deuil de dieu fait de beaux yeux!

Jalapeno, tabasco ou d'espelette, le piment?

On ne pisse pas sur la croix: ce n'est pas un chiotte, mais de la merde! Vive la pureté, l'innocence de l'enfant, la joie d'être soi-même...