Caroline Durand.
Si j'avais du pognon, j'inventerais l'Espagne,des donzelles à foison et du porc mariné. Car les constellations, y en a suffisamment: je préfère les nichons de Caroline Durand.
J'aime les étoiles chaudes et l'arbre minimal car les forêts, moi-même, je les bâtis tout seul.
Caroline Durand, vous savez l'autre jour, en robe minimale, mais d'étoffe soleil,emmerdait toute la pluie puisqu'elle brillait trop. Elle voudrait épouser pour se changer le nom. Moi c'est pour la baiser que je ne dis pas non.
Oui, les mots sont tous frères aux paroles multiples.
J'inventerais, disais-je une Ibérie fantasque, des incongruités, des vélos à coulisse, des truffes au Claquesin, des poèmes à la soupe et du foutre au gratin.
Les mots ne manquent pas mais tarissent l'émoi quand on en claque trop à la façon du fric qui nous brûle les doigts, surtout si c'est le cas qu'on n'en a peu ou pas.
L' Espagne c'est un peu cher depuis la movida, mais faut savoir y faire et Caroline, anda! Je te dirai des mots dans l'action palsambleu, des mots à révulser, le système nerveux; horripilant ta chair pour que ce soit trop bon! Je les pèse mes mots,pour qu'ils ne soient pas gros: l'obésité, c'est mal disent les magazines. Mais si tu le veux bien, et dans l'intimité je t'en susurrerai plein de triglycérides qui glissent sur la peau.
Avec toutes mes dents, vu que j'en ai je lui mordrai les seins, je marquerai son derme.avec toutes mesmains, tagada et pout' pouet', je lui ferai des trucs qui surennent si peumais que ça fait du bien.
Il y a des poèmes qu'on écrit comme ça. Il vaudrait mieux se taire, à la niche et basta sauf que si l'on commence on doit aller plus loin sinon ça fait cradingue avec manque de soin. Et avec mon machin, si vous voyez le genr, je n'hésiterai pas: tsoin tsoin, ploum tralala!
Et puis pendant ce temps que peut-elle bien foutre, Caroline Durand? J'ai bâti une forêt toute fraîche et pas fière! Alors faudrait qu'elle vienne puisque c'est tout pour elle!
En inventant l'Espagne je lèverai sa jupe.Maintenant y en a marre, je claque la gueule aux mots, je leur paye le terme et je m'arrête là.