Miettes de thon, adieu l’ogresse !
Boîte à moments, jour de jeunesse, miettes de thon, adieu l’ogresse : j’étais au jour comme on revit, et puis voilà Que dire de plus ? J’avais du trèfle plein dans ma manche et je suis né d’une vache à poche. Je respire neuf à l’air libre aussi câlin qu’un beau dimanche et l’aventure au pied des bras !
Peste à tout crins, c’est du malade, fin de semaine qui ne dit rien : le médecin, à petits pas va visiter, ici ou là. Et puis ça meurt ou ça survit . L’ogresse a peut même dans son lit. J’avais la sueur en vernissage sur ma peau moite. Quand on a des moments rien qu’à soi-même doit-on les cacher dans la boîte ? Salut Maman, ça y est je pars.
L’ogresse m’a dit je ne sais plus, je ne veux pas, m’en rappelle plus. Alors voilà, jour de jeunesse, adieu ma Mère au lolo riche : Je reviendrai peut-être un jour, miettes de thon dans mon sandwich : je voudrais bien croire à l’amour vif mais la vache a brouté tout mon trèfle. J’ai plus de thon parmi mon pain. Ce que j’en dis, c’est pour causer, ma boîte est vide comme ma manche.