12 janvier 2008
Mélancolie.
Dans le vachement jouasse y a parfois du mouron, du blèche, de la gamberge tartouze et du macache-risette ! On se bidonne, mais dans le ciboulot comme dans la battant, ça chamade la berloque et c’est pas du gâteau. On se marre alors même qu’il y a du trèfe en gros, du chagrin à gogo et de la pleurniche en loucedé. Alors on s’en jette un par derrière la cravate, on se secoue les miches et l’on fait le mariole. Le palpitant en berne on se sent bien seulâbre. Mais il faut rigoler et plutôt deux fois qu’une. Un peu de piccolo, y a pas mèche, et calmos ! Y a plus qu’à continuer à se la jouer bonnard en mecton à la redresse et qui chiale nib de nib! Continuons d’être au poil, rigolbochons commack. Mais le bonheur, macache ! La joie met les adjas, ça poisse comme la cerise. La lancequine radine et vient lissebroquer quand on veut du soleil. Qui retapisse la vie zieute la camarde en planque !
Note à benêts : Les mots sont réguliers, la syntaxe est aux pommes, mais l’argomuche bidon débité icigo, c’est du toc ! Et mahousse !Ce jars que je dégoise n’est ni du jonc, ni du plâtre ! C’est juste assez chiadé pour que les caves soient dupes et pour bluffer les pantes. C’est de l’esbroufe en gros et de l’effet de style ! Bravo à qui qu’entrave le pourquoi du comment ! Qui qu’en grogne, je m’en tape et qui qu’en poise itou! Pichetrognons du reginglard en l’honneur du Grand Coëre ! Y a du jaja brutal au rade du loinqué du lassajpème de la paume en jonc ! C’est à Parouart ! Dans le onzième ! Dans le « faubourg des trois culs » : L’Antoine !
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