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orlando de rudder
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11 janvier 2008

Vivre alors autrement.

Pourquoi faire le désir ? Rendre active la paresse ? Vivre alors autrement ! Mais il faut d silence, en dedans, qui s’écoute. Là-bas, un cheval libre court dans le sens du vent ! Le paysage s’agite et la verdure ressemble à un bonbon fondant ! A la menthe ? C’est possible ! La nature n’a aucune issue de secours ! Le désir pourrait donner des vertus folâtres. Pétillantes. Mais elle n’offre que du tracas, de la peur, de la mort. Elle est d’ailleurs toute neutre, imbécile et brutale. Je suis fier d’être humain : Je sais la trouver belle. Ainsi va le désir, impétueux cavalier, invisible sur le dos d’un cheval de rencontre.. J’ai, comme vous l’oeil sublime et j’invente la beauté ! C’est par mon, regard seul que les arbres sont beaux. Toisons ce qui existe, nous sommes merveilleux ! Sans nous cette nature ne serait rien qu’un peu de choses naissantes et qui meurent ensuite après un certain temps. Mais n’inventons pas Dieu : Son Souffle est flatulence au remugle d’esclavage ! Comme il amoche tout laissons-le s’angoisser ! Le nénuphar lui-même a des idées trop bête. On le voit s’étaler, épinard d’eau stagnante et l’on peut calculer sa surface augmentée par le fil de sa vie. Ainsi peut-on penser la progression tranquille d’espèce arithmétique. Ou la géométrique, Peut-être plus troublante. Sauf que le vrai du vrai c’et que jamais la plante ne couvrira l’étang. Mais ça pue tout de même. Le cheval, lui, demeure indifférent. Un peu d’intelligence ne lui messiérait pas. Je disconviens du sens des pensées trop pratiques. Voilà l’être, c’est nous-même, le regard fécondant. Et le souffle coupé par la beauté émise. Elle vient des entrailles et de l’intelligence. En contemplant la vie, les forêts, les ruisseaux, les chevaux, sachons qu’il ne sont rien et qu’en les admirant il de vient nécessaire de s’admirer soi-même ! Inventer la grandeur nous rend beaux en dedans ! Il n’y a rien de laid, mais quelques regards moches ! Ce qui croit ne sait pas et rancit la vision ! Un peu d’inadvertance peut créer le sourire : c’et l’attribut tranquille de la contemplation. Et le désir s’y love, tranquillement fervent, parce que c’est comme ça ! Le désir qui paresse nous fait vivre autrement !
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