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orlando de rudder
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4 septembre 2007

Ecologie: libéralisme tranquille en fausse contradiction!

Ecologie?Autre face du libéralisme? Bin wi! Un article encore très gentil l'expose sans, toutefois aller assez loin dans la genèse nazillone de tout ces mouvements. Normal: Charboneau pensait la déroissance, la promouvait dans un délire mystique partagé avec Jacques Ellul, écolo mystico-cucul igoré de Totoseb et pourtant bien croquignolet (il pensait, ce con et ce SALAUD, que le Sida est une punition divine..Enfin, il s'agissait d'un vrai écolo sauf qu'on dit maintenant que l'homme est responsable du réchauffement: la punition divine n'est plus plausible, alors on trouve autre chose.Purles écolos copains de Totoseb, le sida est une vriante d'ajutement, comme la guerre,pour réguler la démographie... Ces gens sont d'une bassesse! L'écologie réunit tous les cinglés de la fausse science et du mysticisme maladif: c'est un fascisme!)

LEs coms timides parlent ,par exemple du livre deFerry, qui gêne tant, en disant "j'ai entendu dire qu'il était truffé d'erreurs"!Hi! Hi! Bref,on ple sans avir lu, à la façon Totoseb! MAis i y a tout de même de quoi enrager les inféodés genre Totoseb et autres petits bourgeois écologistoïdes.Et ceci dans u texte prônant l'absurdité! LA déroissance!Le songe creux  des rêve-petit, des butiquiers de la frugalité!Avec un peu de néo darwinisme! LEs pauvres!ILs parlent même des jeunes!Et pourtant,la croissance rend heureux ! Elle ajoute des joies, ôte des peines:

http://forum.decroissance.info/viewtopic.php?t=4380

Un extrait? Voici:

Dans l’état actuel de l’homme, il n’y a pas de critères plus sûr de la civilisation industrielle que le « sentiment de la nature » - car il n’est pas encore devenu raison. Les progrès de l’un suivent rigoureusement ceux de l’autre, en même temps que celui-ci ouvre la voie à celle-là. En matière de nature, la seconde société industrielle [la société industrielle des loisirs naturisés] est encore plus exigeante que la première. L’âge du plastique aime la « belle matière », la pierre nue ou les bois mal équarris, et nous les conservons au xylophène. Amateurs d’art brut, nous ornons notre living de souches ou de cailloux qui ne sont plus des objets d’art mais des jeux de la nature. A la pureté, mécanique ou chimique, des produits industriels, nous préférons l’impure pureté du vivant. Nous salons nos mets avec du sel gris, et nous mangeons du « pain paysan » cuit au feu de bois et non au mazout ; mais depuis qu’il n’y a plus de campagne c’est à Paris qu’il faut le chercher. Riches, nous payons très cher le luxe de la pauvreté : les paniers, les pots, la bure fabriqués à la main.

Au prolétariat tout ce qui est neuf, net et verni ; à l’ « Elite » tout ce qui est vieux, rugueux, écaillé. Comme nos bourgeois collectionnaient les vieilles armoires de leurs métayers, nos industriels s’installent dans leurs « fermettes » : si l’évolution continue l’ancienne maison du pauvre vaudra plus cher que la villa du riche.

Il ne s’agit pas ici de réaction, mais bien au contraire d’un maximum de civilisation. Seulement le naturisme moderne est loin d’être conscient de cette contradiction. Réaction instinctive contre le monde actuel, il en refuse les vices, et surtout les vertus : la raison, la critique méthodique ; et jouant sur les deux tableaux, il
esquive les choix entre la nature et l’antinature. Aussi le « sentiment de la nature » est-il dupé, intégré dans l’ensemble qui l’engendre. De fait individuel, il devient fait économique et social, une industrie et une institution ; et une des forces de destruction les plus actives de la nature, car la nature est directement son objet.

Parce que l’individu moderne aime la virginité, s’il reste un lieu vierge, il s’y porte aussitôt pour le violer ; et la démocratie exige que les masses en fasse autant. Et les premières atteintes sont les sociétés naturelles : quand le costume et la danse sacralisés par la tradition ne sont plus qu’un décor fourni par Cook. La vraie banlieue, parfois la plus hideuse mais toujours la plus décomposée, se rencontre plutôt à Saint-Trop’ qu’à Drancy ; car ici le mensonge est l’industrie locale. L’avion fait de Papeete un autre Nice, c’est-à-dire un autre Neuilly. Mais alors pourquoi y aller ? Ce qui rend les voyages si faciles les rend inutiles. Les temps sont proches où, si on veut fuir les machines et les foules, il vaudra mieux passer ses vacances à Manhattan ou dans la Ruhr.

Le reste sur:

http://forum.decroissance.info/viewtopic.php?t=4380

Il faut revenir au goût du neuf!A partir des matériaux modernes! LEplastique, c'est génial! invention sublime! HUMAINE! Certes,ça a pollué: on ne pouvait pas savoir! Mais maintenant, c'est l'avenir!Ce qui n'empêche pas d'aimerlels cathédrales ou même les fermettes immondes! Sachons VIVRE! Et admetre le progrès, notre oeuvre merveilleuse,magique! Rallumons les lumières!

Hélas l'écologisme est philosophiquement et intellectuellement "en dessous"! Pensée pur semi-habiles, et encore, on n'y voi que des propos de concierge: le temps déraille, c'et la faute à la bombtre atomique, tc... Il n'y a qu'à lire Hans Jonas, consommateur trouillard gérant le principe de précaution en petit boutiquier augru.La critique de la consommation, après PAckard, vient d'ailleurs, des vrais, des penseurs. En France,il y a eu Faye,Henri Lefebvre,mas c'est trop costaud pour un Totoseb,la pensée juste, le dute, le questinnement...Et lao poésie! ! Celui qui critique sans connaître! Après, Debord et vaneigem sont venus, ce que Guy Darol rappelle habilement: http://guydarol.com/, 27 août 2007EVERYTHING IS POLITICAL/11 Le désir.

Il faudra un jour montrer combien la même analyse se prête à la consommation  esthético-affective d'animaux de compagnie (castrés! Médicalisés! ) en tant qu'objs transitionnels exposition esthétique d'une bonté d'âme affichée. Le chat-Sheba, priduit de luxe ordinaire va avec le pain bis et s'oppose à l'animal familier qui joue son rôle dans la vie de tous en bouffant les rats, en gardant les troupeaux, en personne accomplissant sa part dans la vie commune. Ce qui l'oppose à l'animal pour zamidézanimo (et, chez eux, le statut de l'enfant... hum...)..IL faut aussiparler de l'animal-paysager genre ours des Pyrénées,autre luxe bourgeois décortif  sur fond de la mentalité dénoncée, donc, par l'article en question!

Et non, ça ne va pas de soi,la nature! C'est bel et bien une construction écolo, de nos jours,intellectuelle, artificielle, idéologique, politique, fascisante...

LEs amis des animaux aiment bien castrer les chats ... Kidnapper les ours. Tuer les animaux domestiques pour protéger les tortues des Galapagos. LEs machos "amis des femmes" (hi! hi!) sont comme eux: les uns aiment les animaux en tant qu'OBJETS, les autres, ce sont les femmes! Pareil! De la décoration. De la torture ou de lamutilation,parfois (castration, chirurgie plastique, régimes, corset, mode,etc... sans compter les discous à la con qu'il faut subir!): les discours sont les mêmes,la pensée identique!

Lisez donc! Dès qu'on y pense, c'est évident..  et très marrant! A creuser! La consommation affective de l'animal est un remake de celle de LA femme... et va de pair avec celle de l'enfant!

Les écolos sont des fachos! LEs ams des animaux suivent! On ne castre pas une bête.Ou alors,on la ferme sur la corrida! N'est-ce pas Totoseb?

Au fait,totoseb a t-il avancé?A t-il lu Ehrenfled,Aiken?Et Charbonneau? Ce serit quand même bien qu'il essaie de se cultiver au lieu de multiplier els attaques personnelles! Ppur l'instant,il se dit écologiste pur protéger le fleufleurs et se donner le droit de mépriser son voisin! Chiche!Il lit le totoseb? Et même Ferry si contesté par... par qui? C'e con,mais son travail et excellent,même si on n'apprue pas le ministre! Ca aussi,il va falloir l'apprendre, chez les Totoseb! Villpin et dégueu, mais est aussi un poète, Alexis Carrel fut une ordure mais un grand médecin, prix Nobel à juste titre... Haeckel,l'ignoble raciste, fondateur de l'écologisme (ceci expliquant cela!) fut u grand savant, comme Shoenichen! LAvoisier, grand chimiste, fut une  ordure de fermier-général collectant les impôts et faisant fortune sur le dos du peuple...  Bon, Raymond Barre fut entièrement nuisible: ça arrive aussi. Mais en général, le gens ne sont pas d'une seule pièce..Qu'en est-il de Totoseb, entièrement mouton suiviste ? approuve t-il Ellul,Charbonneau comme il approuve Jonas (!!!!!!!!!!!!!!!!!!), dontla pensée n'est pas si éloignée de celle de ces deux approximatifs nunuches!

Vive la vie! Aujourd'hui! La modernité rend heureux! La consommation, c'est parfois con, mais la famine c'est la mort!

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