L’harmonie tend à résoudre le néant.
Quand épanouies, toi, les lumières, l’harmonie tend à résoudre le néant, quoi… A résoudre ces lumières, à les dissoudre, même, parce qu’on résout tout par des violences d’éclat.
Et pour te résoudre toi, il faut de la problématique aussi. C’est comme la lumière, Pardi ! Comme les lumières et les fleurs., Avec l’harmonie brutale qui s’attaque au néant .A ce qui serait dans toi, sans lumières, disais-je. Eh bien..
Eh bien, il faut savoir ce qui tranche une espèce ! Oui, chère Dame, une espèce comme toi ! Une espèce de lumière ! Que cela vous soit un exemple ! Au moindre foin, hurlez ! Ca bougera le ciel ! Déférez, bons sang !Il fut jeter son âge par la fenêtre ouverte
Quand épanouies, toi, les lumières, l’harmonie tend à résoudre le néant, quoi.. Eh bien, il faut bien se rendre compte que le fait de faire des phrases à la con permet d’écrire ce genre de faux-poème stupide ! Là, j'ai fait fort! C'est vraiment très con!
Ceci était un poème en abyme! Bin oui! Très con,mais en abyme. Pourquoi?
En plus il y a une anacoluthe!
Allons nous faire foutre, si ça fait du bien ! Si on n'aime pas ça, il y a de la bière!