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orlando de rudder
orlando de rudder
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15 janvier 2007

Soixante-quinze watts.

Tactique de lampadaire, éclairer sans scrupule pour la modique somme de quelques watts au plus ! Mais le lumière est là dérapage immobile. Aucune faim obscure ne veut manger l’espace. La lumière nous enivre  quand on la fait soi-même !  Ce regard ! Tu deviens l’héroïne à venir ! Attends un peu pour voir : on doit s’aimer très lourd ! Dans l’espace charnu, il y a des dieu, des mânes, et plus qu’on a de doigts ou de cils à compter ! Avec du pain rompu en petite lichettes sous la clarté en dôme qui m’enchante, voici, nous avons mange le fromage, bu le vin qui restaurent. Instant de nudité : on voit clair, yeux habiles. Quelque chose se remonte comme un ressort graissé ! Quelque chose se dévoile et qui se met en marche ! La lumière s’ajoute, multiplie comme on vèle les occasions de voir ! Hello, l’ogre des jour, l’engrenage caresse les dents de son pareil ! Quelques secrets se toisent dans les moments tranquilles.

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Commentaires
N
Avec l’échine courbée frôlée en petits gestes sous l’haleine du souffle grisé, un mâle me tente. Voici, nous avons fumé, bu mangé et encore l’on se restaure. Instants de nue à nu, tu soul moi ivre des salives et des sucs. Quelque chose se glisse dans mon puy huilé. Quelque long gong en tête et j’arrive, tu m’arraches les silences, invente une bête. La lumière dans la bouche, le soleil dans le ventre.Quelques secrets se disent dans ces moments fébriles.
P
C'est bien joli le lampadaire, cher Orlando, mais, : <br /> "Baisse un peu l'abat-jour,<br /> Il fait si doux ce soir.<br /> Suis mes conseils,<br /> Ils sont pareils<br /> A ceux du livre.<br /> Au coin du feu<br /> Quand on est deux<br /> Il fait bon vivre.<br /> Baisse un peu l'abat-jour,<br /> Laisse-moi te bercer.<br /> Chéri, le temps qui court<br /> Sera vite passé,<br /> Car je resterai là<br /> A te parler d'amour tout bas, tout bas,<br /> Jusqu'au lever du jour.<br /> Baisse un peu l'abat-jour."<br /> <br /> Paroles: Marcel Delmas. Musique: Henri Bourtayre 1945 par la sublime Elyane Célis
F
tres tres bonne année à toi, orlando, pleine de rebellions positives et de douceurs<br /> sourire à toi
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