Idole rare.
Un friselis de sueur te tartine les seins. Une goutte d’ici bas progresse de l’un à l’autre. Il va falloir sourire. Surtout quand tu es nue ! Sans raison apparente. On devrait s’asseoir pour en parler tout bas. Sur les petites chaises au paillage trop rêche.
En fait on ignore tout de soi-même comme de l’autre. C’est pour ça que l’amour nous sert de ravaudage. Solution continue, concours de circonstances…
Le cœur en vieille pomme, reinette-clochard ridée, je me dis que vraiment il y aurait dû y avoir quelque chose comment dire ?
Comme ça, un truc que j’ignore,,un peu de mieux que ça, pas plus différent qu’une pomme et un cœur comme le mien.
La nuit articulée t’habille quand tu es nue. Ce qui est présent vibre. Avec de la couleur qui se fond, estompée. Il fait vraiment trop chaud. Tu es toute vernie comme une idole rare. Unique. Rêvée.