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orlando de rudder
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23 novembre 2006

Esthétique, art de vivre, éoliennes, gastronomie!

IL me semble curieux qu'on parle si peu de ces éoliennes incendiées dans l'Aude. Cet acte est vraiment curieux t me semble révélateur.De quoi? L'enquête nous el dira peut-être.

IL y a quelque chose de pourri au royaume du vent! MAis cela commence par l'esthétique.LEs éoliennes que l'on voit sont moches, agressives, inquiétantes. On les a voulues "modernes" et cela donne un truc qui ressemble aux armes ou aux machines inquiétantes des séries télévisées de science fiction des années 60, rigardes, cons mais dont il est de bon ton d'admire nostalgiquement la ringardise ploucarde et la lourdeur popote.

Un autre dessin, pour els éoliennes, serait el bienvenu! certes, on n'aura pas la tendresse des "moulins à vent" en celluloïd bariolé, jouet de mon enfance,, à deux sous, montrant la théorie newtonienne des couleurs en tournant vite. Mais il manque de la tendresse à l'éolienne, un sentiment de la natue, dont elel sont partie prenante, humain et non high tech ou esthético-écolo...

Sans nuire au rendement, il doit y avoir moyen de créer des éoliennes au dessin plus familier, plus amical, plus humain, plus proche de nous. Et de les construire en matériau biodégrdable, car il paraît que... De plus, il peut y avoir plusieurs modèles, adaptés aux régions, certes,mais surtout à la vie des gens. On peut jouer l'harmonie avec le paysage ou l'opposition monumentale, grandiose ou comique... Pour l'instant, on en est au même point que l'achotecture "industrielle"  respectant  les traditions en fabriquant des maisons moches mais dont le toit présent l'angle habituel du coin.*Par chance, on les construit en béton car la briquee t la pierre, dans les coins pluvieux, sont des éponges nécessitant des chauffages polluants (c'était un  équilibre! ).aileurs, la pierre est riadoactive et l'isolation... enfin, bref: l'habitat traditionnel n'a jamais été pertinent! Sauf, parfois, certains châteaux ou demeures de maître... LEs riches ont de la chance que les pauvres soient si con!

L'éolienne, donc, doit être pensée en esthétique affective, amicale, rassurante. On doit même purvoir imaginer qu'on la reconnaisse, comme le clocher de son village (C'est un repère même si l'on n'est pas croyant! ) ou la statue hideuse du général truc, enfant du pays et dont on a oublié les crimes depuis belle lurete sur la place de la Mairie . A Charleroi, ville de BD (enfin Marcinelle) ces sttues de vieux ingrds ont été remplacées par de magnifiques Spirou, Fantasio et Marsupilami, sans oublier Gaston! Il paraît que ça détend les bagnolards embouteillés! On peut aussi penser à cela pour les éoliennes...

L'esthétique est une éthique. ET le dessins "moderne" de l'éolienen actuelel est dans l droit fil de l'idéologie de la natue: implacable.Même quand l'idéologie se veut nécessaire, t qu'ele est totalitaire. Ces éoliennes auraient pu être dessinées par un futuriste fascite ou unArno Brecker actuel: l'élan, la ligne ont un aspect évoquant l'esthétique de ces idéologies. Et la mentalité des promoturs des énergies renouvelables est de plus en plus proche de ces mentalités: on cherche à réglementer chaque geste, à créer l' "Homme nouveau" dans l'obsession de la nature "souillée" par l'homme ancien, dégueulsse et prédateur.

Celui qui aime vraiment la natue parce qu'on y est soi-même et qu'on en est refue cette confiscation par ma bien pensance et l'ordre moral. Il sait aussi comment la forme du discours, fût-il architectural ou designistique est le discours lui-même. Il n'ignore pas, d'autre part, que les éoliennes sont une merveille et peuvent permettre un peu d'indépendance énergétique tout en en polluant pas. ET en coûtant peu (car il faut aussi penser au prix des éoliennes! Et le revoir sérieusement à la baisse). A l'oppsé de l'écologisme, il est à sa mesure dans la nature qui ne saurait être pour lui un "environnement", ni un "capital"! MAis il doit lutter à la fois contre les pollueurs, l'industie dégueulassante et le nouvel ordre écologiste qui retourne,peu à peu vers ses origines toltalitaires.Eminemment récupérable cette pensée est un danger pour la nature en vrai, pas en fiction mentale écologistoïde aussi "redessinée" que l'éolienne est dessinée pour dominer méchamment l''espace!

Si,Ferry dans son livre "le nouvel ordre écologiste" a fait découvrir l'origine de ces mouvements, ce que des "négationnistes" ont osé contredire à la mode Faurisson, il faut aller plus loin et montrer comment, insidieusement,on retourne aux sources en passant par l'exploration des courants favorables et exploitables!

La référence à Hitler peut encore illustrer ceci: il a combattu le végétarisme par interdiction d'associations.Puis il l'a  célébré.IL ne fut pas végétarien, puisqu'il n'arrêta, parait-il de manger de la viande momentanément pour des risons médicales.Mais sou l'influence des associations écologistes si prisée des nazi et des première association d'amis des animaux, beaucoup de nazi furent végétariens, ce sui fut renforcé par la ferveur bouddhiste, du zen comme du "royaume guerrier" tibétain dont on louait la férocité impitoyable des soldats (hé oui: le Tibet, le vrai était le contraire de ce que raconte el Dalai lama actuel! Et l'amitié de celui de l'époque avec Hitler est tout à fait compréhensible!). LE végétarisme devint non-punitif vers le XVIIIe.s. avec l'anti humanisme naissant, libéral "ombre des lumières" Saint Just, "buveur de sang" était végétarien: c'est une violence, contre soi ou contre les autres, mais une violence... De toute façon;, n'argumentons pas: laissez parler les sectaires, encourgez-les jusqu'à ce qu'il se dévoilent:la radicalisation du discours en arrive toujours aux mêmes options désatreuses! Apprenons à écouter, à faire réembarayer!

Tous ces gens de dégoût alimentaire infantile pensaient déjà à l'énergie et l'éolienne fut inventée pour les fermes isolées et a fleuri chez les pysans puritains des USA liberticides, esclavagistes, etc, etc... C'était une idée géniale.Mais l'esthétique demeurait simple et genre bricolo-bouts-de-bois. C'était sympathique.

MAis il y a mieux à penser, en artiste, en ingénieur (Léonard de Vinci, sur son "CV" si j'ose dire, se présentait comme "ingénieur sachant peindre"... Il aimait la nature et nos ingénieurs devrient penser à devenir comme lui, à leur mesure,plutôt que comme ils sont! L'art est indisepnsable! C'est le premeir besoind e nourriture mentale). Et si une pensée profonde de la nature indépendante de l'écologisme avance, vainc le "démon de la pureté", la hantise de la "souillure de la terre" par ce salaud d'humain, l'art sra qutidiennement dans la vie et non autour comme un viugaire "environnement"! Nous somes touos des environnements et les éoliennes, c'est nécessaires, doivent être repensées esthétiquement, affectivement, artistiquement, humainement! Autrement elle ressemble aux navires de course highè-tech des gens qui prennent la mer pour un terrain de sport: ils prétendent l'aimer! Le rapport fétichiste (au sensmarxiste) des écologistoïdes à la nature est affligeant! On aimerait penser que la nature s'en vengera un jour. MAis elle s'en fout!

Autre chose: à propps de pribklèmes d'aberration alimentaire,j'ai entendu sur France Info l'espression "environnement intéieur" à propos des organes digestifs! Nous en sommes là. Rappelons que els modes diététiques se succèdent et que, en dehors d'un aspect strictement médical et restreitn, toutes les déviances alimentaires viennent de l'anti-humanisme, des totalitarismes, que ce soitr Bircher ou Kellog, la mactrobiotique ou le végétarisme! Ce sont des pratiques anti-bonheur, auto-justificatrices et discripinatoire envers lereste de l'humanité. Et souvant malsaines. On mange surtout des idées. Et quand elle sont floues, on est flou, quérulant, ratiocinant et dangereux! L'éducation du goût au sens de l'art, gastronomique c'est-à-dire plus que diététique, puisque cette dernière se contredit sans cesse contribuerait à la santé physique et mentale générale. Il s'agit d'art et d'art de vivre.Les pratiques végétariennes, macriiruc etc.. reviennent à enlever des couleurs sur des toiles de maître parce que c'est trop beau, trop lourd et qu les pigment ont été araché à des animaux,  comme la cochenille pour le rouge.Donc, on doit effacer le rouge sur les chef-d'oeuvre pour respecter la nature. Laquelle est le contraire de ces démarches culpabilisés. IL faut penser humain, donc art, et ceci dans la nutrition comme dans la fonctionnalité des éoliennes. ET surtout bien observer la fonctrion du "geste" écolo, de l'"écogeste": trier les poubelles, regratter, récupérer et, dans la militance, détruire les récoltes (le geste est là et il existe même si le maïs transgénique était vraiment malsain;, ce que personne ne sait! ) ou brûler des éoliennes, fussent-elles moches! Rien que du négatif! Et ceci aussi dévoile! Une idéologie du moins, du manque, de la culpabilisation... Vive l'opulence! Elel est là, elel est possible: les ressources de la terre sont inépuisables (du moins pur quelques millénaires) et on en trouvera d'autres par la ferveur humaine! On peut nourrir tout le monde tandis quil y a tant d'espace désert! LA vie est possible sans famine, mais il faut pour cela des décision politiques sans les idéologies floues qui parasitent l'idée de nature comme un phylloxéra transgénique, donc efficace et costaud..mais... !

A chaque fois qu'on doit parler d'un sujet touchant l'écologisme, on DOIT évoquer ce dernier dans so ensemble: il est totalitaire, holistique, c'est un bloc, un tout. ET c'est ainsi qu'il confisque l'idée de nature!

Les idéologies du "moins" doivent être combattues! Pour une morale de l'excès! Toujours plus! Fromage et dessert, de tout deux fois! Au nom de la vie!

Honneur et gloire au salsifis frit! Vivent les énergies non-polluantes et les saucisses gouleyantes!

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