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orlando de rudder
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29 octobre 2006

Vive l'humanité! Et réponse à la devinette d'hier...

Le monde,la nature ne sont que guerres impitoyable, destructions, mort.De fourmis aux dauphins les êtres vivants subissent la tyranne vile du modèle de touys els fascisme: cette nature vue par les ennemis de l'homme et qui, des hitlériens aux écolos, des "naturistes" allemands du début du XIXe.s à tous els mystiques ont insultés l'humain, craché sur la tradition humaniste et préparé la venue de tous els totalitarismes.

L'humain, pourtant a su voir la poésie dans cette guerre totale: la nature. Dans la folie de détruire pour renaître, le front bas de l'éternel retour. Il s'est inventé, créé, non engendré seulement.IL a refusé d'être soumis, et a commencé un jeu ambigü, précis, sublime, âpre avec le monde, la nature, les choses involontaires. On en voit les traces chez les auteurs anciens, ceux qui vivaient la nature, ni pour, ni contre, mais dedans. Cette ambiguïté, ce rapport contradictoire entre la "mère" indigne et l'humain fait la grandeur humaine. LEs auteurs latins, dans leur  force l'ont vu: Ovide, Virgile... Reprenant les mythes déjà anciens et leur donnant u nouveau sens.

Contre la mort, l'homme a refusé d'être un animal soumis, de vivre dans la trouille constante du prédateur.Il tente toujours d'inventer la paix.Mais la vieille animalité fait qu'il n'y parvient pas et qu'il continue de vivre en société inégalitaire, comme les dauphons, les phoques, les hyènes... Dans sa grandeur, et même dans cet esoir d"éçu, il a crée les gestes contre nature: planter, semer, éleve rle bétail. "LEs travaux et lms jours", pour reprendre le titre d'Hésiode furent le sens de la vie, la volonté de devenir, la création, l'art. En séduisant la nature, en jouant un jeu quasiment coquin avec elle, l'homme s'inventait: il ne pouvait ni aimer ni détester le monde dans lequel il vivait.Il enconnaissait l'âpreté.Mais il le trouvait beau, grâce à sa fonctoin humaine principale: la poésie, ce qui donerait l'art, l'admiration. LA liberté. Bien sûr, la vieille trouille demeurait.Les prédations, défiition profonde de la nature continuaient et les hommes s'entetuaient encore.Moins que la plupart des bêtes, mais tout de même. Et la trouille  dévia le sens poétique vers la soumission, la servilité animale: on inventa Dieu, les religions, les commandements, bafouant l'idée de loi rationnelle. Ce quieut l'effet de transformer la guerre en célébration de sa propre violence. Ce retour à l'animal a détourné la poésie de sa grandeur. Et les hommes se bafouèretn, s'inventèrent des totems, spécialement dans els sociétés les plus machistes, les plus inégalitaires, les plus "premières", les plus religieuses.

Pendant ce temps, l'humanisme avançait. Les connaissances, les sciences déchuiffraient la nature et pemetaient dela rendre vivable, de calmer sa dangerosité pour l'humain, d'apprivoiser sa force nous dirigeant vers la mort. Les guerriers, les soumis, les religieux s'élevèrent contre, évidemment.Mais les fils de Prométhée continuèrent à voler le feu. Las de la nutrition, ils inventèrent la cuisine et la gastronomie enfin, ses ancêtres) que els tabous alimentaires des pouacres haineux vinrent vite combattre pour renforcer la soumission, l'animalité et combattre l'humanité naissante.Il en fut de même pour la reproduction qui devint érotisme, transcendant l'amour (on en sait pas ce que sait, mais ce genre d'attachement doit bein exister chez els animaux! sous uen forme ou une aute! Il faut être Konrad Lorenz pour s'extasier en découvrant que les oies ont des sentiments, sont sensibles, délicates! Et peau de vache, salopes, soumises en même temps.Le délire animalier genre zamuidézanimo ne respecte pas l'animal: il est projection humaine. Il es "performance émotive" autocongratulante).

L'homme s'inventa, se créa, chercha mieux. L'art vécut, souvent combattu par les pires des bestiaux: prêtres divers, dictateurs. L'homme inventa même l'idée d'harmonie et la plaqua sur la nature. Il refusa l'évidence de cette guerre totale et constante car, déjà, il voulait s'identifier: et la nature devint bonne. Ceci cointre l'évidence de la merde, de la mort, de la guerre, des immondes sociétés animales. MAis l'homme admira les abeilles. Certains les imitèrent et fondèrent les sociétés totalitaires, le tout baigné par la luière glaciale du "démon de la pureté": Pythagoriciens, Spartiates, Cathares (certes, ceux qui les massacrèrent ne valaient guère mieux! ) et diverses sociétés d'Asie ombrées par l'hindouisme ou le zen:la guerre, la guerre, le massacre constant sous le masque de la sérénité "philosophique" permettant l'abolition de l'émotivité afin de tuer sans pitié. Pendant ce temps, en Asie comme ailleurs (car on l'oublie trop suvent en imaginant ls Asiatiques comme tous aussi cons que leurs "curés") des hommes résistaient, frères de Spartacus fils de Prométhée, copains du Grand Pan: musiciens, poètes, peintres. Et si certains collaborèrent avec la nature et son reflet humain: guerriers, religieux, soumis, collabos, d'autres avancèrent fiers et ambigus, comme l'humain lui-même, disant "non", trouvant la beauté,refusant le labeur,ingrat,inventant, par exemple la brouette pour ne pas se crever comme une fourmi à transporter des trucs lourds. Bien sûr, on lapida vraisemblablement ce genre d'inventeur: l'idée de la nature conduit à décider qu'on doit morfler, souffrir et que l'on est coupable... L'animalité découvrit sa conscience par la religiosité, l'ordre moral et la destruction de "l'impur". Et l'homme devins en même temps raciste comme les foumis (elles se reconnaissent par les antennes et massacrent impitoyablement les "autres", sauf à les réduire en esclavage), les loups...

Le long processus d' "hominisation", selon l'expression de Michel Serres, continue.L'homme veut diriger son destin, demeurer l'insoumis promordial, celui qui veut la science, qui mange le fruit défendu et devient "comme Dieu".Celui qui ose.Qui veut s'en sortir, dût-il en crever... Il existe, avance: il a, coùùe me dit Victor Hugo, inventé le vin, alors que "Dieu" n'avait créé que l'eau... Il a inventé la boisson ambigue, amie et ennemie, qui réconforte et qui détruit, la nourriture qui peut être poison: ni bon, ni mauvais: existant vraiment. Ces choses humaines, à l'image de l'homme qui peut chérir un animal et manger une autre bête de même espèce, qui invetne le plaisir du tabac et le consomme en sachant son danger, qui peut se droguer encore plus connement que certains oiseaux. Qui peut tuer par intérêt et non plus seulement par instinct. Qui est raison déraisonnable et folie constuctive. Et cette folie est honneur.

L'humain a pris conscience de lui-même. Il a onventé le droit pour éviter que el plus faible soit opprimé par le plus fort. Ca ne marche pas, certes, ou difficilement, mais la volonté est là, audacieuse, sublime. Sa lente lutte pour cesser d'être animal, d'être "naturel" a connu des hauts et des bas. L'esprit de Rabelais, de Catulle, de Voltaire, de George Sand, d'Hugo a traversé l'histoire tandis que les pouacres, toujours au nom de la nature, d'ailleurs, ou d'une donnée "révélée" massacraient, persécutaient. Certains tentèrent de donner une sens à la nature et la voulurent bonne. Ce fut le départ des totalitarismes, voire d'un grand pan (qui ne rigole pas, lui) du libéralisme, malgré le bon vouloir des promoteurs: Rousseau et les libéraux du XVIIIe.s.(on a vu ce que ça donne! Ils n'ont pas voulu ça!)...

Pendant ce temps, l'ardeur continue et l'esprit humaniste continue d'avancer. Contre l'idée perverse de nature, d'"harmonie" de l'univers (il n'y a que l'homme qui puisse imaginer l'harmonie! Et penser la nature! ), on crée, la poésie continue.Les pouacres, pour se souomettre encore, inventent que la terre est en danger. C'est faux: l'homme est en danger, toujours. A cause de ceux qui n'ont pas assumé le destin humain.Qui refusent la liberté, si belle, certes, mais si lourde.

On relira avec profit l'Histoire de l'idée de nature de Robert Lenoble, qui, bien que religieux, montre combien nos représntations changent et que dès qu'on dit "nature" on est dans le politique (LEnoble ne le dit pas ainsi!).On réfléchoira aussi et si l'on peut, onviendra par ici admirer l'effort sublime des arbres, de la nature en général pour tenter de rssembler aux paysages des peintures flamandes...

On lira aussi, avec dégoût, cette célébration de la trahison, cette béatitude inhumaine, anti-humaine:

L’Univers est harmonie. On pourrait presque dire qu’il est réglé comme une musique, une partition avec ses rythmes et ses cadences, ses silences, ses soupirs, ses furies. Or je me suis parfois senti et ai parfois senti l’humanité comme une fausse note dans cette mélodie ! Etre écologiste, c’est être une note qui résonne aussi juste que possible dans l’harmonie, en partant du respect absolu de la vie mais aussi de soi.

Nicolas Hulot et Pierre Rabhi, Graines de possible, 2005

Ne dirait-on pas la même inspiration que dans le texte d'hier, la "devinette" dont la réponse se trouve ci-dessous? Hulot et Rabhi ne le savent pas, mais il sont de la même famille et les événements pourraient le montrer...

Il faut se sentir sale en soi pour ainsi vilipender, trahir l'homme! Que recherchent ces gens? La "pureté".Le "respect absolu de la vie"... C'est en fait la résistance, le refus de l'ordre du monde! L'humanité comme une "fausse note", c'est le fascisme: on dirait un txte allemand du début du XXe.s, ou un machin théosophique: le mépris de 'lhomme, toujours, toujours, toujours... la trahison. L'écologisme n'aime pas la nature, mais une représentation (en forme d capital ou de caisse d'épargne, de "patrimoine) de la nature... Son principal souci est de salir l'humain qui, seul peut, ou non aimer la nature.  L'humanité veut sa propre grandeur et refuse la soumission "naturelle". LAmort seule est une faute de goût! L'oubli de la culture humaniste, la déculturation font qu'on peut tenir aujourd'hui de tels propos! Asséner des trucs aussi bêtas! Alors ce serait ça, l'univers, ce machin "harmonieux" planplan, concon à célébrer avec fanfare flatulante?

Bin non. C'est pas ça.L'univers, dont l'homme est partie prenante est tout sauf ça! Ce n'est pas l'harmonie, c'est tout, le chaos, la révulsion, la fatigue, le dégoût,la haine, les frites... La nature, l'univers seraient aussi la lutte conte l'écologisme (pas l'écologie qui n'a pas d'opinion, qui est une partie des sciences naturelles créées par l'homme) qui la prennent pour une conne avec une "harmonie" à la flan "comme une partition de musique" (hé oui, la musique c'est plus costaud que le chant des oiseaux ou des baleines! C'est humain!)! L'univers vaut mieux que ces phrases de patronage! On dirait un hymne pétainiste pour scouts, flics et curés! Ca va plus loin que ça, l'univers! MAis on ne peut pas respecter la nature sans respecter l'humain: touit ça pue le manque d'amour. D vrai amour, pas de planplan à la Peynet! De l'amour profond, clair et sombre, juste et vache, injuste et fourbe, cruel et tendre,,mièvre aussi, mais terrible à la fois...L'amour destin,pas "patrimoine"... Comment ose t-on dire par exemple "la terre est un patrimoine"? On se croirait à la Caisse d'Epargne! L'écologisme fait partie de la pensée libérale et le libéralisme la récupèrera peu à peu: ça pense boutiquier, ça vie en petit rentier... L'homme est pauvre et dépense tout! Même s'il croit économiser! L'humain seul donne. L'écologiste agiote, spécule et parle d'"harmonie" sans la pratiquer! Marre des traîtres à l'humanité! De ceux qui ne savent pas voir la nature en face!  Parce que ça leur ferait trop mal! Ce n'est pas une planplan soumise,la nature: elle n'est pas écolo et en se ménage pas toujours!

L'homme seul peut parler d'harmonie, être harmonie.LA nature ne s'exprime pas ansi. Elle n'est que "volonté " de mort et d'éternel recommencement. Viol et meurtre sont ses prénoms. Cette pensée occidentale de la nature, de l'univers va avec nos culpabilisations: l'homme occidental est le seul à avoir honte de tuer! LE "respect de la vie"? L'homme l'a inventé! Lui seul! La nature aime la mort.Tout porte à la mort et c'est pour cela que l'homme n'y aprient pas, que ses effoorts sont tojours brisés.Mais il a inventé le respect de la vie, c'est-à-dire le droit. Qui est une poésie éthique!

Aimer la nature c'est la connaitre dans son ambiguité, c'est jour l'amoiur vache. Ce n'est pas la relation béate à la mode. C'est rusé, tordu parfois, c'est pasionnant. Aimer la nature c'est s'aimer et savoir les défauts de ce qu'on aime. Aimer la nature c'est l'aimer QUAND MêME! C'est un rapport profond, difficile, polymorphe. C'est fascination, attirance, répulsion. C'est sombre autant que clair, ça ne va pas de soi. C'est aussi avoir peur (ah! les nuits dans les bois! quand on est vagabond! Imagibnez Rimbaud, ami/ ennemi de la nature et la connaissant bien! Disciple d'Ovide, en plus, il savait ce qui peuple la trensaprence...m'apparence)... C'est aussi demeurer nomade, savoir qu'il va faloir survivre (et non pas dans un truc sportif à la con: par musère) et qu'il faut connaître les plantes qui n'empoisonnent pas... JEu dangereux de la vie, jeu dangereux de l'homme: QUAND MêME (c'était la devise de Sarah Bernhardt) t malgré tout: on ose, on a peur, on hésite, on y va... ET l'on s'arrache à la bouillie originelle pour devenir soi-même, l'individu, l'ami des autres, le tout difficilement, au risque de se perdre cherchant la vie, la vraie et défiant la nature, Dieu, la mort...

Monsieur Rabelais était médecin et avocat: l'absolu ontre nature! Refusant la maladie, fruit de la nature et pratiquant le droit, contre la "loi naturelle" qui veut que le plus fort écrabouille le plus faible...

L'humanisme...

   

   De grâce, si vous commentez, épargnez-moi les éternelles répétitions d'arguments à la con et les références que je connais évidemment! Ne récitez pas la sempiternelle leçon!

Réfléchissons plutôt; que va t-on nous imposer encore pour réduire la liberté au nom de la nature? Quel ukase fallacieusement "écologique" va t-on trouver pour contrôler, discriminer, bafouer l'humain, le culpabilisr, le gouverner? Quel lavage de cerveau va naître pour modifier petit àpetit notre sentiment de soi dans notre vie quotidienne afin que nous adhérions à la religion de nature, indiscutable sans aprvenir jamais à être "bien" ou "clair"

Résistance!

Le texte cité hier? Evidemment, il s'agit de l'un des fondateurs de la pensée écolo, qul'on veut ignorer: Adolf Hitler!  IL n'aurait sans doute rien renié du discours écolo actuel! Ca vient des "propos de table" qu'on trouve sur le net! L'écologisme vient du fascisme, est fasciste et sera fasciste*... Comme toujours quelques personnes généreuses s'y fourvoient... Gare au réveil!

Célébrons la nature, cette peau de vache grandiose, d'une façon humaine, avec amour tangible, tango, tangeant! Ne la détruisons pas! Vivons!

Vive l'humanité!

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Commentaires
O
Parce qu'un jour ou l'utre ils seront du côté libéral! Comme les nazis, anticapitalistes au débit! PArce que l'écologie va devenir marchande, et non seulement par le commerce "bio". Il s'agit de mépriser l'homme, de le rabaisser, de le culpabiliser..; alors, le réduire au stade de consommateur, stade anal et analysant et le meilleur moyen pour le détruire et fonder l' "homme nouveau", orthonormé, qui aimera les animaux mignons,le foot, les lectures planplan, les révoltes conformistes et gérables tout en consommant dans les normes. Ceci dans une vénération de la nature (enfin dela nature "biologisée" artificiellement par l'écologisme pervers) et un contentement de soi répugnant: écologisme... C'est déjà malsain! ILs seront forcément du bon côté du fusil et nous tuerint avec des balles sans plomb et des bombes "propres"! Clean, hygiène, esprit de système: flics et curés! <br /> Hourrah, cornes au cul, vive le Père Ubu!
P
Même que la nature, elle aura notre peau … C'est qu'elle se défend la vache, faut pas croire ! Moi, ce qui m'hallucine, dans ce discours de "patrimoine", de "capital" c'est la vue à très court terme des dits écolos (loferrari). Ou leur manque de vrai courage. Ou les deux. Ils croient encore que l'on peut concilier "environnement vivable par l'homme" (parceque même quand ça pollue à tout vat, les rats, les cafards et les fourmis se portent bien, merci) avec ultralibéralisme ou même capitalisme tout court. De vrais choix, de vraies décisions NE PEUVENT PAS se faire dans un système basé sur l'argent et le profit, parcequ'entraînant nécessairement une ruine économique en l'occurrence. Moralité : apprenez à nager et à aimer la montagne d'ici 2020. Parce que fin d'interdiction de creuser dans les pôles, et que si un con genre Bush (le fils du fils ?) renouvelle pas, y creuseront, y'a du pétrole en dessous … du moins si on fonctionne sur le même système. Ou alors, apprenez le surf, parce que sur toutes les villes côtières d'Europe et d'Amérique, des vagues de sept mètres de haut, ça décoiffe. Pourquoi qu'on nous dit jamais les vraies choses ? Pourquoi Hulot est-il si con ? Pourquoi toutes les nanas que j'ai connues qui étaient obsédés du bio étaient-elles total PMD ? Pourquoi les écolos (nies de vacances) ne nous disent-ils pas par exemple que les légumes transgéniques c'est surtout assez fadasse ? Pourquoi Orlando ? Pourquoi ?
O
Sans doute... MAis il semblent moins malsains, voire pervers que l'écologisme actuel! La phrase de Hulot et rhaabi est perverse: de l'homme cntre l'homme.Ce n'et pas seulement une tahison, ue paresse mentale, mais un jeu répugnant ce culpabilisation bien conformiste et mortifère! Une idéologie d'une bassesse propre à détruire des vies... L'homme est grand parce quil le veut, même si certains hommes sont immondes.Eux seuls ont le choix!
P
Orlando dear<br /> <br /> Etes vous certain ( je suis sérieux, puis-je ?) que les penseurs latins auxquels vous vous référez n'étaient pas soumis aussi et déjà à certaines "postures" ( les impostures c'est après ) ? Vous savez très bien, enfin j'imagine, qu'il arrive un moment ou le stylo ou le clavier, ( hélas ?) laissent la voie ouverte à la kalashnikoff...
N
Vous me fascinez !<br /> <br /> <br /> avez-vous vu ceci :<br /> http://www.dailymotion.com/video/xfqgy_laminute011
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