Bravo!
Grande baffe aux salauds, aux hypocrites, aux cagots, aux tartufes! Alors, on ne veut pas la voir, la misère? On veut la cacher? Lâches! Fuyards! LA voici.Et c'est bien! Elle doit devenir agressive, extrêmement visible.Et la seulement, les bourgeois agiront, seront obligés de faire quelque chose parce que els pauvres ne les gênent que pour des raisons esthétiques (c'et le cas de la pupart des luttes des gens "bien", sauf des religieux qui préfèrent acheter leur salut.Ce qui est tout aussi moche)!
Et tous ces gens qui nourrissent des chiens de luxe, mais ne fileront pas dix centimes à un mendiant! Ne méritent-ils pas une leçon?
Exhibons la misère, rendons-la inévitable, "incontournable"! Qu'on soit OBLIGE de réagir!
C'est moche, un pauvre, ça la fout mal! Eh bien, voilà: vous les verrez! Ah! les tentes, à PAris, cet été! Ah! la honte des riches! Ah la dictature du salariat! A quand une grande manifestation contre les interdictions de mendicité? A quand l'humanisme? IL faut qu'on voie les pauvres! Seule façon d'agir eficcacement! ET jouir du dégoût à la fois "viscéral" et "épidermique" des pouacres! Qui est analogue au racisme! Voici donc une belle victoire:
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Un mendiant fait annuler un arrêté anti-mendicité à Chalon-sur-Saône
AFP 26.09.2006 - 11:59
Un jeune homme de 21 ans, Nicolas Sviech, qui affirme ne vivre que de mendicité, a obtenu que le tribunal administratif de Dijon annule un arrêté anti-mendicité pris par le maire de Chalon-sur-Saône.
Cet arrêté, pris le 10 avril 2006, interdisait pour six mois la mendicité en groupe aux abords des commerces du centre-ville, d'un centre commercial et sur certaines places et rues du centre-ville, du lundi au samedi de 9H00 à 22H00.
M. Sviech, qui se défendait seul, avait fait valoir lors de l'audience le 7 septembre que le champ de l'interdiction était disproportionné.
Le commissaire du gouvernement, qui dit le droit, lui avait donné raison: "La durée de l'interdiction est manifestement trop longue (...) La commune n'est en effet pas une station balnéaire ou une destination touristique particulière".
La ville "fait valoir que le festival des arts de la rue ("Chalon dans la rue", ndlr) attirerait environ 400.000 personnes, dont environ 1.500 SDF ou marginaux. Le problème, de mon point de vue, est que ce festival n'a duré que quatre jours, du 20 au 23 juillet 2006", avait-il ajouté.
Dans son jugement rendu jeudi, le tribunal administratif a suivi ses conclusions en jugeant que l'arrêté était "entaché d'excès de pouvoir".
Pour la mairie de Chalon, "pendant les cinq mois et demi durant lesquels il a été appliqué, cet arrêté a permis de rétablir et de préserver la tranquillité publique à la satisfaction des Chalonnais et ce, sans porter atteinte pour autant à la liberté d'aller et venir de chacun et sans empêcher la mendicité à titre individuel", selon un communiqué.
----------------------------------------------------------------------------------------------------
A quand les campements tziganes en plein centre ville? Marre de l'hypocrisie! Marre du mépris! LEs bourgeois devraient voter communiste! En URSS, on les mettait en taule, les pauvres! On les nommait "parasites"! L'idéal!