Un jeu pour MArie "lance-flamme" weblog et son pote Sarkozy!
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europe
Hongrie, massacre virtuel sur Internet
Racisme. Un jeu apparu sur le Web, s’inspirant du génocide perpétré contre les Rom lors de la Seconde Guerre mondiale, soulève l’indignation.
Budapest,
correspondance particulière.
Le jeu est aussi simple qu’il est stupide. À gauche de l’écran s’affiche une carte de la Hongrie divisée en comtés, à droite une sorte de champ de tir où le joueur doit faire feu sur les personnages qui se présentent, en l’occurrence des Tsiganes. Une fois la population rom exterminée dans un comté, celui-ci s’affiche en blanc. Le but de ce jeu est de massacrer virtuellement l’ensemble de la communauté tsigane de Hongrie pour que la totalité du pays devienne « blanc ».
Ce jeu a été découvert presque par hasard par un des auditeurs de Radio C. Cette radio considérée en Hongrie comme l’une des meilleures du pays, créée en 2001 et dont une grande partie de l’équipe est rom, se propose de donner une voix à la minorité tsigane, de développer des thématiques qui lui sont propres et de diffuser la culture rom contemporaine. Jozsef Ignacz, rédacteur en chef de Radio C, a immédiatement alerté les autorités hongroises qui ont rapidement fait interdire ce jeu. Il s’est avéré par la suite que la personne responsable de la mise en ligne de ce jeu était un jeune de vingt ans sans aucune accointance politique. Celui-ci s’est même rendu dans les locaux de Radio C pour s’excuser publiquement sur les ondes, expliquant qu’il n’avait pas pris conscience que ce jeu pouvait heurter la communauté tsigane. Radio C, qui un temps avait évoqué la possibilité de se porter partie civile contre ce jeune homme, a finalement renoncé à toute poursuite judiciaire après que le jeu a été retiré du serveur et que le jeune homme s’est excusé. Malheureusement le jeu est réapparu peu de temps après sur un serveur étranger.
Les violences physiques contre les Rom sont en Hongrie relativement rares et quand elles se produisent elles sont souvent d’origine policière. Par contre le racisme
antitsigane est très largement répandu dans la société hongroise à tel point que les propos xénophobes à l’encontre de cette communauté sont souvent considérés comme de simples lieux communs. (...)
Quel pied pour Pierre Gannat! Et pourtant, ça vient de l'HUMA! Ils s'y connaissent, eux, en massacres!!!! La suite sur:
http://www.humanite.presse.fr/journal/2005-06-03/2005-06-03-635733
Comprend-on pourquoi je me suis révolté quand on a parlé de "passer les tziganes au lance-flammes" sur marie weblog? Maintenant, pour se ratraper, elle pleure deux condamnés à mort... plus proches d'elle! (deux poids, deux mesures) Moi, je trouve cela également abominable, quels que soient les gens!
Pour Marie "lance-flammes" weblog, sa copine Denise, son aute copine Stella, il existe un site ou l'on parle des crimes des gens qui partagent ses opinions. Hélas, cela va peut-être recommencer. A cause de ce genre de gens! :
http://perso.orange.fr/balval/Nomadisme/Nomadism4.html
Voici un autre texte où l'on parle de la tziganophobie de Sarkozy qui me semble de plus en plus "familiale" et venant de sa caste de nobles hongrois massacreurs du Tzigane, oppresseur du peuple:
Quel avenir pour les Tziganes
" Kai jas ame roms " (où allons roms)
Comission "gens du voyage" C.N.T UD 95
La menace :
Le projet de loi liberticide Sarkozy vise à détruire le nomadisme en France ;
en effet il veut réprimer les occupations des biens privés et publics
par les gens du voyage (c'est à dire en termes clairs par les gitans).
Il prévoit la confiscation des véhicules, 6 mois de prison, une amende
de 3000 euros, la suspension du permis de conduire pour 3 ans au plus.
Cette loi anti-nomade serait inapplicable en l'état actuel des choses,
à moins de pousser les nomades au désespoir et à la révolte.
En effet les lois Besson sur le stationnement (loi n°90 1149 du 31-5-1990 et 2000§
614 du 5-7-2000) qui prévoient des aires de stationnement dans toutes
les villes de 5 000 habitants ne sont toujours pas (ou si peu) respectées.
Ainsi ce ne sont pas les nomades qui sont dans l'illégalité,
mais ces maires qui ne respectant pas la loi,
contraignent ces nomades à stationner là où ils peuvent
(stades, parkings d'entreprises, usines désaffectées, champs) ;
et qui se demande pourquoi il y a tant d'argent dépensé pour faire des stades,
des obstacles anti-nomade (tranchées, buttes de terre, portiques anti-caravanes),
tant de fric dépensé pour faire dresser des référés d'expulsion appliqués par
des huissiers bornés qui emploient des termes méprisant (population
inidentifiable, alors que nous avons tous des papiers en règle)
et envoyer des escadrons de CRS aux méthodes rappelant celles employées
par la police de Vichy contre nos parents ?
Mais il est vrai que ces individus obéissent aux ordres.
N'y en a-t-il pas un parmi eux capable d'insoumission devant une telle injustice?
Tant de fric gaspillé (1500 euros par référé d'expulsion) alors qu'il serait
plus simple de nous faire des aires de stationnement comme le prévoit la loi.
Du déjà vu :
La communauté des gens du voyage se compose de plusieurs groupes et sous
groupes, l'un appelé " tzigane ", formé par les rôms, les gitanos, les manouches et
les sintis, aux coutumes et traditions différentes, mais appartenant à un peuple
indo-européen, originaire de l'Inde et parlant une langue dérivée du sanskrit,
le romani ; l'autre groupe composé de voyageur non tzigane,
comme les yéniches (baringrés), descendant de paysans allemands révoltés,
et parlant un dialecte allemand, ou les tinkers britanniques ;
ces grands groupes se subdivisent en de nombreux sous-groupes, tribus et clans.
Mais tous ont conscience d'appartenir à la grande famille des gens du voyage.
Dès leur arrivée en Europe, au XVème siècle, les tziganes, appelés " bohémiens "
car porteurs de passeports délivrés par le Roi Sigismond de Bohème,
furent victimes du racisme et de persécution tant politiques que religieuses,
accusés de tous les crimes (vols, sorcellerie voire cannibalisme), derniers nomades
arrivés dans un monde sédentarisé. Ainsi vit on en Allemagne et en Hollande des
pancartes illustrant le sort de tout gitan appréhendé. On y voyait un gitan pendu à un
gibet pendant qu'un autre gitan et une gitane à moitié nus étaient fouettés ;
le texte disait : punition des gitans et mendiants pénétrant dans ce district :
les divers gouvernements et parlements promulguèrent tellement de lois anti-gitans
que leur recensement est impossible ; pour exemple citons celle de la reine
Elizabeth I d'Angleterre, de 1554, punissant de mort le fait d'être gitan,
et celle du Danemark, de 1589, ordonnant l'exécution des chefs de bandes gitanes.
En 1709, le district du bas Rhin (France) ordonna que tous les gitans arrêtés par
les autorités soient déportés ou envoyés aux galères.
Même si aucune accusation n'était portée contre eux. (...)
La suite sur: http://mail.indymedia.org/imc-france-nice/2003-October/002753.html