Oubli...

Tout est bien qui finit bien...mais je n'aurais pas aimé être "un homme tatoué" dans le voisinage: Ivre, la mère avait oublié avoir confié ses deux fillettes "disparues" à une dame LEMONDE.FR | 09.07.06 | 11h20 • Mis à jour le 09.07.06 | 19h49 Ce n'est pas un enlèvement [...]. C'est une affaire de détresse sociale [...]. C'est une affaire de soirée entre enfants qui n'a pas été gérée correctement par des adultes qui les avaient en charge de responsabilité", a déclaré simanche après-midi le procureur de la République d'Angers Brigitte Angibaud. C'est euphémisme de dire que l'affaire des deux fillettes portées disparues puis retrouvées saines et sauves à Bouillé-Ménard dans le Maine-et-Loire accouche d'une souris. Elles n'ont pas été enlevées comme les autorités l'avaient cru, déclenchant pour la première fois en France, le plan "alerte enlèvement". "Deux témoignages clés se sont avérés défaillants", a sobrement expliqué la procureure. La maman des deux fillettes a "reconnu" dimanche après-midi avoir confié samedi ses enfants à la dame " qui les a ramenées chez elles dimanche. Mais elle l'avait oublié car elle se trouvait dans un état d'ébriété avancé." UNE PREMIÈRE POUR LE PLAN "ALERTE ENLÈVEMENT" En outre la fillette de 10 ans qui connaît de vue les deux fillettes et affirmaient avoir les avoir vues suivre un individu tatoué, apparemment contre leur gré, a "dit au bout d'un certain temps qu'elle avait inventé tout ça". La disparition des fillettes avait entraîné, pour la première fois en France, le déclenchement du plan "alerte enlèvement" mis au point par le ministère de la justice. Un exceptionnel dispositif policier et médiatique, ainsi qu'un numéro vert, avaient été déployés. Inspiré de l'exemple nord-américain de "l'Amber alert", le plan mis en place en février permet d'alerter massivement la population via la radio, la télévision, les panneaux de gare et d'autoroute, dans les heures qui suivent l'enlèvement d'un mineur. Un dispositif proche avait déjà été lancé le 20 novembre 2005 en Maine-et-Loire à l'occasion de l'enlèvement d'une fillette de 6 ans, Aurélia, par un homme qui l'avait emmenée de force alors qu'elle jouait avec sa soeur sur un parking de Jallais, près de Cholet. Elle avait été relâchée le lendemain soir après la diffusion d'un portrait robot du ravisseur et le déploiement d'importants moyens de recherche. Avec AFP Combien de fois a t-on "tout inventé"? Combien de fois y a t-il eu des gens, tatoués ou non, en prison? Quid de la mère ivre? C'et habituel? Si ça l'est, pourquoi a t-elle la garde de l'enfant???? Combien de fausses alertes vont-elles ainsi avoir lieu? Combien de fois mobilisera t-on des équipes de recherche pour rien? Graves questions... De toute façon,l es enfants morflent! PAs trop dans cette histoire stupide.Mais ils sont l'enjeu de drôles de trucs!