29 juin 2006
L'horreur
LEs hurlements de délire du journaliste durant son reportage d'hier, ses hurlements de DEBILE à cause de la victoire de l'équipe qui ose prendre le nom de la France, sont ridicules, vulgaires...
Ces mouvements sans spontanéité, cet enthousiasme sur commande montre qu'il faut se méfier de tous ces gens à grave problème: c'est la foule. Elle peut tuer.Et l'on ne peut pas ne pas penser aux totalitarismes: même cris, même ferveur fabriquée...
quand on vient de voir une pièce de Corneille (que le foot a empêché qu'on célèbre), quand on sait l'apprécier,la comprendre, aimer (eh oui: c'est de l'amour,le goût du beau... et c'est fait pour ceux qui jamais ne s'ennuient... Ca "prend la tête" et le coeur.. etça demeure) l'émotion est profonde, intime.Elle peut se partager, mais n'est pas fusionnelle. Elle procède alors de l'amitié, non du copinage... Elel est orientée vers le don... Le pouls est calme, et l'on est dans un état profond d'admiratoin, de bonheur... C'est pareil en écoutant Lester Young, Mozart... Une sorte de tendresse...
Hélas, si l'on croie u fouteux, ça gâche tout, comme une marina dans un paysage sublime, comme des papiers gras dans la forêt quand on marchen taquille, dans une natre qu'on sait aimer...
Aimer, ça s'apprend.Il faut toute une vie...le foot et toutes les émotions programmées nous en empêchent...
§Hélas, il faudrait fare une campagne dans le genre: "France,pays sans foot! Pays de Corneille et de tout ce qui "fait chier" les footeux!
Pays d'amour, quoi... le foot, c'est l'émotion de masse obligatoire.LA haine...
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