24 mars 2006
Parallèlement l’amour!
Parallèlement l’amour! Qui s’agite en lui-même?
Ne rejoint pas toujours l’infini équitable?
On croit en lui en vue de partages affables
Et celui qui fait mal répète encore « je t’aime »
« Je t’aime », c’est un oukase, l’accusation extrême
La justification, la surprise et la fable
Le bien-être tranquille et toujours justifiable
D’un malheur judicieux, ressassant son vieux thème !
C’est un mangeur de carne et sous sa peau de masque
Les os sont tous tranchant, attendez vous à ce que
Ca rue dans les brancard et qu’on soit malheureux.
On se donne le droit de rapetasser l’autre,
Ca valdingue ! On exige! on fait le bon apôtre!
Tout en intimant l’ordre : « Aime-moi comme JE veux » !
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