Tortures et exactions en Inde...

L'Inde demeure fidèle à son système millénaire de haine. Sa violence n'est pas seulement un fait historique. elel continue.Amnesty international s'en préocupe. Voici ce qu'on peut lire sur: http://www.hri.ca/fortherecord1998/bilan1998/vol3/indiatr.htm Le Groupe de travail a porté à l'attention du gouvernement indien 28 cas de disparition nouvellement signalés, dont sept se seraient produits en 1997. Le Groupe de travail a déclaré deux cas élucidés en se fondant sur des renseignements précédemment fournis par le gouvernement. La majorité des 272 disparitions portées à l'attention du gouvernement se sont produites entre 1983 et 1995, lors des troubles ethniques et religieux qui ont éclaté au Penjab et au Cachemire. Dans ces deux régions, les disparitions étaient essentiellement imputables aux autorités policières, à l'armée et à des groupes paramilitaires intervenant conjointement avec les forces armées ou avec leur assentiment. Il semble que ces disparitions résulteraient de divers facteurs liés aux pouvoirs élargis conférés aux forces de sécurité en vertu de la législation d'exception, en particulier de la loi relative à la prévention des activités terroristes et contraires à l'ordre public et de la loi sur la sécurité publique. Parmi les victimes figuraient, notamment, des commerçants, un avocat qui serait connu pour défendre les Sikhs détenus au Penjab, des journalistes, des militants des droits de l'homme, et des étudiants. La plupart des disparitions récemment signalées se sont produites au Penjab en 1996. Un cas de disparition concernait le Président de l'Institut d'études sur le Cachemire -- dont la base est à Srinagar -- qui a assisté à la 47e session de la Sous-Commission des Nations Unies. Trois cas concernaient des membres du Front de libération du Jammu et Cachemire, lesquels auraient été enlevés dans les locaux de l'organisation à Srinagar par des membres de l'Unité spéciale. Le Groupe de travail (GT) a aussi reçu des allégations faisant état de non-respect, par le gouvernement indien, des dispositions de la Déclaration sur la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées. De graves préoccupations ont été exprimées au Groupe au regard : du nombre de cas de disparition survenus dans lesquels le sort de la victime n'est pas élucidé et les auteurs ne sont pas traduits en justice; du fait que les membres des forces de sécurité continuent d'agir en toute impunité; du fait que les enquêtes relatives aux cas de disparition sont généralement menées par le personnel de la police ou de l'armée, et non d'un corps indépendant et impartial; du fait que les travailleurs et militants des droits de l'homme continueraient de recevoir des menaces et d'être victimes d'abus de pouvoir, bien qu'il y ait eu, au Penjab, une diminution des incidents marqués par les excès de la police, notamment des disparitions; de l'adoption par la police, dans toutes les provinces, de la pratique qui consiste à ne pas consigner les arrestations ni tenir le registre des détentions; et du fait qu'au Jammu et Cachemire, les familles ne peuvent obtenir des renseignements sur le lieu où se trouvent leurs parents qu'en soudoyant les gardiens de prison. Ah! si c'étaient des islamistes, ou seulement des islamistes, on les entendrait, nos mystiques occidentaux rêvant d'harmonie et se gargarisant de machins hindous!!!! Mais ils ne veulent pas savoir.Ils sont coupables! Attention: il n s'agit pas de bavures, mais d'un SYSTEME qui existe depuis des millénaires. LA religion hindoue est totalitaire et n'a jamais servi qu'à des dspites massacrant les payssans animistes... Il n'y a rien à envier au bouddhisme!!!! Ni à l'Islam... Voltaire est bien mort chez nous: on s'en fout. Adieu, nos belles lumières! Vive l'égoïsme mystique!!!Et nos gouvernements pactisent avec des salauds! Pauvre Nehru!