15 mars 2006
Racailles et "bouffons"
Le CPE n'est finalament pas seulement en cause. C'est le fait qu'on ne puisse pas le discuter qui pose problème.C'est le mépris absolu d'une droite hautaine qui est en jeu. C'est la non-concertation. Et le mouvement continue.
Avec un ministre a virer: celui qui a osé parler d'une handicapée jetée du haut d'un escalier! On sait qu'il n'en est rien. Ce ministre ne doit plus jamais exercer aucune fonction.
Le mépris de Sarkozy existe aussi. Sauf quand il a repris le mot "racaille" qu'une femme qvait dit pour qualifier les tueurs d'enfant en banlieue. LEs émeutes qui ont suivi ont montré leur fascisme. Et d'ailleurs, maintenant qu'on parle vraiment de ségrégations, d'ascenceur social bloqué, on ne les voit plus, les émeutiers de banlieue qui préfèrent la boxe que l'étude, méprisent "l'élite" et haïssent les "bouffons", les étudiants, les "autres " parleur universel racisme, leur quérulence haineuse et jamais spontanée... Ils ne sont pas là, maintenant qu'on discute des vrais enjeux! C'est tout...
Villepin fut trop arrogant. Les Présidents d'Université, qui ne sont pas particulièrement de joyeux anarchistes, protestent. De même les gens du patronat, que le CPE arrangerait plutôt, et dont le gauchisme est fort approximatif, condamnent ces attitudes...
Les journaux sont muets sur les personnes arrêtées "connues par les services de police" durant les émeutes de novembre. Or nous avons le droit d'être informés. Comment se fait-il qu'on ne nous en parle pas? Rappelez-vous toujours que les journaux n'informent vraiment que par ce qu'ils cachent! Ils ne parlent pas de ceci? Tiens, tiens, c'est dont un vrai problème... (Au fait, l'enfant mort de Limoges, durant une AEMO? Silence total!!! Tiens?).
Maintenant, les étudiants qui veulent construire sont dans la rue (avant, peut-être d'être "à la rue") parce que le gouvernement n'ose pas prendre de mesures sociales (dont la pénalisation des licenciements! CAr l'on doit les considérer comme des délits économiques qui attaquent la république d'une façon monstrueuse. ILs n'ont qu'à avoir du talent, les patrons,et réussir: patron est le seul métier où l'on peut parfois tout rater sans conséquences pour soi, tout en ruinant une province entière! )... et c'est bien. Evidemment, on comprend ceux qui protestent, les étudiants qui préféreraient aller en cours!....mais finalement, ils vont ssans doute se rallier: l'enjeu est d'importance... Le gouvernement doit se désolidariser du patronat et respecter le peuple, comme les élites naissantes... Dont on a tant besoin!
Ah! Bien sûr que des groupements parasites genre trotskistes facho etc sont là. Mais c'est comme d'hab: on s'en fout. Ils vont s'agiter.Tant qu'ils en tuent pas... (ça peut arriver) ça fait partie du folklore... Ce qui ne dit pas nous faire oublier que si, par exemple Arlette était au pouvoir, beaucoup d'ente nouss rient morts... CEs gens ont autant d'humour que Saint-Just, Béria, PApon et Robespierre réunis! Et pourraient devenir aussi dangereux!!!Ce sont des mystiques! Des gens qui croient!Comme des vrais cathos des bouddhistes, ou des islamistes
J'étais perplexe au début des manifs... cette clause de deux ans me gênait... Mais je ne voulais sans dute pas voir tout ce mépris... J'avais envie que ça s''arrange, surtout après l'ignominie des émeutes sexistes, machistes, racistes fasciste et maffieuses de Novembre... Et puis j'ai aussi rencontré des étudiants, qui, d'ailleurs, et en grand nombre, habitent les banlieues... j'ai vu des gens qui, bien sûr, veulent du travail.;Mais asussi qui se passionnent pour ce qu'ils étudient. C'est la définition de l'élite: aimer, aimer ce qu'on fait... Et si l'on puvait faire que nos tracailleux banlieusards aiment l'école, bien desx problèmes seraient résolus! hélas, ces pervers haïssent ce qui peut les sauver!Je dis bien pervers: haïr ce qui fait du bien, se poser en éternelle victime, tenir l'unique discours de la quérulence, c'est la définiion de la perversité! Z'ont toujours raison, puisqu'ils sont victimes!
Bref, les émeutes, puis ces manif auront eu un bon effet: mettre els choses au point. Et montrer l'ignominie tranquille d 'un gouvernement libéral! ET la dignité des étudiants!
Le communisme est mort. Ses séquelles épuvantables vienennt de ce qu'il fut un capitalisme d'état colonialiste dans ce qui est devenu des répibliques autonomes. Le libéralisme fait de même sans annexer les états; c'est plus commode.Aujourd'hui, chaque persone qui meurt de faim ou de fait de guerre est probablement une victime directement ou indirectement du libéralisme ou de la religion, qui en est l'instrument autant que l'esprit fondateur (relire Weber, même s'il se gourre souvent! Car c'est un plaisir!).
En attendant, ce pauvre Villepin a du pain sur la planche (et sur la ville aussi)! Dire que, révolté par le rcile de banlieue, je n'avis pas tout à fait compris que l'enjeu est aussi, et peut-être surtout, le mépris... Et que les étudiants en ont marre!Qu'ils habient ou non la banlieue! Au fait, le "classique" ouvrage De la misère en milieu étudiant n'est pas démodé! Beaucoup, comme nous le faisions en 68 travaillent pour payer leurs études... petits boulots, souvent au noir... Bref, comem nous l'avons fait, ils bossent deux fois plus que la plupart des gens! Quant à moi (c'était encore l'époque des Halles de PAris, des cageots de choux-fleurs déchargés durant la nuit, de l'épuisement, des cuites phénoménales.On allait ensuite à la fac et il arrivait qu'on s'endorme durant le cours. Alors que ça nous intéressait, voire nous passionnait! Savrée fatigue! ... Puis des trucs moins crevant mais à la con et usants: compter les biletts de loterie à la main pour voir s'il y en avait 10 dans chaque carnet... par exemple), je ne m'en plains pas. MAis ce n'est pas ce qu'il faudrait!
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