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orlando de rudder
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25 janvier 2006

Libère l'hybris!!!

Libère l’hybris !!! Une exclamation, venue de loin, rapportait que nos éclats de rire cachaient un dernier baiser. Nos larmes. Mâtines à aubes, comme les grand bateaux fluviaux ; il n’y a rien à dire . Qui sait : une cloche sonne au lointain. Je t’aime : le cœur est une cerveau musclé.Je suis en intelligence avec toi, mon cœur, ennemie absolue de mes hésitations, de mes trahisons possibles ! -Possibles ? -Incertaines… Tout nous cogite à sa manière, en faisant des façons, en minaudant, en détournant. Laissons les chemins se torsader comme tes cheveux : il y a du vent ; tout va bien. Sais-tu que je te pense ? C’est un regard en plus que de penser à toi. En moi ? Oui. Les grands bateaux fluviaux sen iront un beau jour, peut-être à vêpres échues .Je n’en sais rien qui vaille. - A cœur et à cru ? - A coeur et à cul ! Intelligence du cœur : ma racine. Toi. Peut-être… Il faudra qu’on y pense. Mes yeux te réfléchissent. Raison de plus… L’amour est grave et beau. C’est un feu dévorant. Quinconces extravagantes des battements de cloches : Tiens, voilà l’angelus. Ecoute l’exclamation ; je crois qu’elle vient de loin… - Et les bateux fluviaux ? - On s’en fout, mon amour…
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Commentaires
C
Un morceau d'amour honnête et lucide...pas de tralalas. C'est un beau texte, cher Orlando. J'ai beaucoup aimé...
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