17 décembre 2005
MErdrigal
JE continue ma série de merdrigaux, selon le titre de Léon-PAul Fargue. J'aimerais qu'on m'en envoie d'autres! PArticulièrement des femmes, car, pour l'instant, le genre est masculin: humour méchant requis!
Merdrigal 4.
Par moments, j’ai pu croire ma solitude amère. Puis j’ai revu ton air sur une photographie. Tu n’étais pas trop laide. Mais je préfère l’ennui.
Ma distance épanouie savait te regarder. Tu aimas cette tendresse. Hélas, quand d’un talon mordu par quelque basilic, tu piétinas exprès mes pauvres myosotis, ce fut ton erreur. Et basta, pauvre conne !
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