2 mai 2007
Mélancolie printanière en souvenir d’une morte.
C’est le printemps ! Des filles chantent dans les champs, des garçons suent en travaillant. Le vent ébouriffe la plaine ! Soleil, soleil ! Je me souviens trop d’elle… Son corps luisait dans la pénombre de la tonnelle. Elle, toute nue, gantée de sa peau…...