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orlando de rudder
orlando de rudder
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17 mai 2007

Il n’y a rien à comprendre ! Et tout à désirer!

Il n’y a rien à comprendre ! Et tout à désirer! Le temps a tout englouti. Même les dents cariée, les vieux foies, les genoux. Il en faut de nouveaux ! Pas forcément de meilleure qualité : pourquoi faire ? Ce sera englouti ! La nature produit de vastes...
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16 mai 2007

Ratiboisons l’ errance à grands coup de pronoms !

Le vent a tourné ! Le ciel s’étale, prend toute la place. On dirait cette femme que j’ai connue jadis. Le ciel n’est pas comme elle : il sourit beaucoup moins ! Il n’y a rien de plus beau que le fait d’être humain ! Le ciel est un benêt ! Même la pluie...
13 mai 2007

T’as qu’à pas croire !

… il est en sommeil,le jour de honte bue l Réveil tonitruant ! Trompettes explosives ! Poil à gratter qui fait saigner ! Bats-toi ! Fourre des dents au creux de ton sourire ! Sois une de ces armes à giclement fatidiques ! A œillades teigneuses ! A rien...
11 mai 2007

Sourate du veau (cri au carvi).

Ce ne fut qu'un seul Cri et les voilà éteints Coran, Sourate 36, 29, (Ya Sin). Une jolie serviette, en attendant le veau, décorait mon assiette. Le vin serait léger. Dehors, ça balançait ! Il a fallu entendre ce qui crissait parmi les métaux fâchés !...
10 mai 2007

… inconnu sous la lune.

… inconnu sous la lune, rôdant… Ecrasant d’un pied ferme quelques champignons main. Là, je vois dans la pénombre le pelage luisant des bovins endormis. J’ai couru dans le chemin sableux dont les abords parfumés par des arbres solides créent un monde !...
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9 mai 2007

Le vagabond neigeux

Le vagabond neigeux passait sur la route. Les corneilles noires, brillantes, ne sont pas moites, ni gluantes. Elles volent, elles tuent. Le gens du cru admiraient le merveilleux coton, l’ouate du ciel. Le vagabond neigeux marchait tête baissée. Voici...
8 mai 2007

Ensemble.

In solis sis tibi turba locis Tibulle, IV, XIII, 12. Ensemble à chaque instant. Alors qu’il faisait beau, avec un soleil-glu. Des nuages paissaient. Ensemble, j’ai bu un verre. A l’ombre. Sans les yeux d’autour. Rien que nous tous, moi. Alors, frappadingue...
5 mai 2007

Pour l’ombre absente.

Attendons. Jusqu’à l’instant crépitant. Ondulation : l’ouvrage respire. Vivement la révolution du lendemain. On verra la main tenant la nature. Et mourir l'extrémité du tuyau d'arrosage. Il fera beau. Quel bonheur ! Avec, d temps en temps, des luies de...
4 mai 2007

Aussitôt que jamais.

Au bord de la route, j’entends comme des voix. Soldats d’autrefois, enterrés debout. Squelettes terreux aux parfums glacés. Nulle sagesse n’a régné, aussitôt que jamais. Et chaque jour fit avancer des dignités arides. Et les atrocités. Les âmes sont des...
3 mai 2007

Régression perverse.

Au lieu d’être, Madame, votre agouant ardélion, Savourant vos regards, scrutation zinzoline, J’eusse aimé m’installer en votre peau divine. Contenu par vous-même en ardente passion. Et dans l’oarystis, quelle rare sensation J’eusse pratiqué en vous par...
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