Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
orlando de rudder
orlando de rudder
Publicité
Archives
24 mars 2008

Le chien qui court.

Ou va t-il, ce chien qui court sous la pluie ? Il s’agit d’un moment qui sied à l’indifférence du monde. Dans l’univers de l’eau du trouble et du mouvant. Etonné, il leva les yeux pour voir la longueur des vies à perdre. Au moins deux (n'ayez crainte)....
Publicité
Publicité
23 mars 2008

La résurrection !

Moi, la résurrection, faut voir à voir ! T’as vu la vie ? Et les jeunes femmes qui dansent comme des coloquintes ? Certains sont belles, je ne dis guère. D’autres prient, alors, on ne peut pas : Des merveilles à genoux … Mais il y a en Perse un éléphant...
22 mars 2008

Femmes d’ennui.

Moi, j’aime les femmes seules perturbées par l’ennui, le désir d’être belles et tout plein de chichis. Eveillées par la nuit, insomniaques angoissées, j’aime bien les faire rire : ce n’est jamais assez. Et puis quand c’est fini, la vie redevient dure....
21 mars 2008

Mon rien.

Mon rien s’escagasse en attendant l’accès ! En attendant le coup, la jugulaire. ! Un ciseau aussi fort que la dent d’un gros chien ! Ca piaule et puis ça meugle juste avant d’aboyer ! Mon rien s’en va de moi et j’en serai castré ! Il se nomme autrement...
20 mars 2008

Le glas qui pue.

Par ce qui fut offert, je dis. Il faudra tuer pour vivre. Arrêter la faim. Je n’ai pas vu les ombres. Ni l’herbe. J’ai vu la faim. Craignant l'orgueil, j’ai regardé celle qui s’est mise à nu. La faim qui cogne au ventre vide. Ouah ! Entendez résonner...
Publicité
Publicité
18 mars 2008

Magasins

Au magasin des chienlits calmes des vendeuses parlent trop doucement. Elles font très peu de réclame et le temps passe, absolument. Mais au rayon des oriflammes, j'ai vu Clémence, la soeur de Jeanne avec son tablier de coton clair. Au magasin des oripeaux,...
17 mars 2008

A tout venant!

A tout venant, pardi, l'enflure: Oreste ment! qui est soleil? J'aurais voulu d'autres parcours: le temps s'en fout, n'en parlons plus! Un cheval fou: déconfiture, galop serein des heures perdues! Il n'y a pas de revoyure et les adieux, c'est du solide!...
10 mars 2008

Tuer pour vivre!

Par ce qui fut offert, je dis. Il faudra tuer pour vivre. Arrêter la faim. Je n’ai pas vu les ombres. Ni l’herbe. J’ai vu la faim. Craignant l'orgueil, j’ai regardé celle qui s’est mise à nu. La faim qui cogne au ventre vide. Ouah ! Entendez résonner...
6 mars 2008

L’appétit de l’ogresse !

L’appétit de l’ogresse est immense ! Et j’ai compris qu’elle pouvait tous nous manger ! Surtout les pauvres ! Elle savourait ma misère dans le froid des mes nuits, me délavait le regard avec le jour trop cru ! Elle me dévorait, faisant bombance en attendant...
5 mars 2008

Adultère.

A cause des autres, on est là. Clandestins. Dans cette chambre. Dans cette chambre d’un vieil hôtel de plage morne et oubliée. On ne peut pas sortir ensemble. Le soleil pourrit les plus fortes passions Il les ronge après la pluie.Ca grouille. Je t’aime....
Publicité
Publicité
Publicité