14 juin 2008
Inhumons nos prières.
Une poésie salace serait tout un nombril, Un monde à part, sérieux, ne puant qu’à demi, Mes minutes sont faussées tout autant que naïves. Même si je sais que notre légende recommence Tous les matins, même quand il pleut ! Tout un nombril, disais-un nœud...