Un rapport sain à la nature: Ovide et l'humanisme.

L'humanisme...un retour à une idée saine de la nature, une relation intme, familiale faite d'attirance et de répulsion....profondeur du rapport, grandeur humaine: haine et d'amour en même temps. ambuiguïté envers cette marâtre qui fait payer son lait en obligeant au travail... Et c'est bien chez Ovide qu'on a les fondations d'une grandeur humaine, parfois rigolarde, face à la nature qu'il métaphorise par des métamorphoses (je le lisais à ma fille, le soir, au coucher), suprême grandeur que les écologiste coincés dans leur rigiditépost-chrétienne à la yankee ne peuvent pas comprendre/Lisez Ovide, c'est bon comme le pain blanc, la brioche, les gâteaux! Et ça va avec les contes de fée das l'esprit d'une pédagogie profonde de la nature, désir et méfiance, espoir et trouille.

Autrement, on peut lire Charlie-Hebdo.Ou le clone.

La nature est une peau de vache! La nature est une belle salope! Et sexiste, en plus: la constante est l'oppresion des femelles, voire le viol! Se révolter contre ele c'est de l'amour qui mord! L'admirer en béat, c'est la trahir bézef!

Métphoriser par des métamorphoses...allitération rappelant le vent rugueux qui s'époumone dans la forêt panique! Le Grand Pan nique pourtant!