Enfants non battus!

Aujourd'hui, il y a de plus en plus d'adultes qui n'ont jamais été frappés durant leur enfance. Ma fille entre autres. Pas la moindre gifle, la moindre fessée: le dialogue, l'éducation, l'autorité souriante. Ces adultes réussissent dans la vie et , surtout réussissent leur vie, sont meilleurs et ne pratiquant guère le pessimisme ambiant, préférant l'humanisme.

Il serait pertinent de distinguer les milieux non par le socio-économique mais par le rapport aux enfants! Qui frappe tue: il condamne à la mocheté! Le déterminisme social n'est pas économique mais vient du traitement inligé aux enfants! Les Romains le savaient déjà, d'où le mot "prolétaire", "riche de ses enfants,( celui qui prolifère, même racine) c'est à dire qui les exploite, les fait travailler...

L'interdiction de la fessée doit être promulguée! Toute atteinte au corps doit être  punie!La violence familiale doit être vaincue!

Comments

[Caly]

J'adore ! si, si j'adore les dialogues de sourds...

Excusez-moi ça me fait rire... enfin je me comprend...

Mon père avait la fessée facile quand j'étais môme, forcément quand j'ai grandi et commencé à lui tenir tête il en est venu aux coups...

La mère c'était différent, elle me battait psychologiquement...

C'est marrant d'ailleurs je me souviens des coups de mon père, je peux même décrire chacun d'entre eux, mais les perfidies de ma mère, même si j'ai réussi à m'en guérir, j'ai du mal à les définir...

Bref, je sais que je n'ajoute rien au débat, mais ça me fait du bien de sortir de silence parfois !

Salut à toi Orlando ! :)

[For blood's sake]

les "milieux coupables" hein?
Comme il est facile de juger du haut de sa tour d'ivoire dans laquelle tout fonctionne comme on le souhaite n'est-ce-pas?
Il est facile de prétendre être un bien pensant dans des milieux privilégiés.
Voyez-vous, cher monsieur, qui vous prétendez vous-même être un intellectuel, dans la vraie vie les choses ne sont pas les mêmes que dans les cages dorées des bobos moralisateurs. Dans la vraie vie, on doit se battre pour s'en sortir, tout ne nous est pas donné dès la naissance. Et surtout dans la vraie vie, on respecte nos parents parce qu'ils sont là pour nous aider à comprendre et à apprendre de nos erreurs. Et les enfants cotoient partout, à l'école, dans la rue, des personnes différentes avec des mentalités différentes. Bien sûr certains parents peuvent se permettre de limiter les risques en plaçant le produit de leur égoïsme dans des établissements soi-disant sains de toute cette "maudite racaille" qui grouille. Ce n'est pas le cas de tout le monde, et pour ces derniers, l'éducation ne peut etre une question de dialogue seulement. Un enfant est un être humain certes, mais un être humain qui se forme, en prenant exemple sur son entourage. Un enfant de trois ans qui insulte ses parents, ça devient monnaie courante maintenant, et surtout dans les milieux aisés, allez savoir pourquoi. Un "c'est pas bien, ça" ne suffit pas, loin de là...
Mais vous avez raison, cher monsieur, continuez à garder votre opinion limitée sur le bien et le mal, après tout le manichéisme vous sied...
Mais en attendant, vous qui voulez absolument que votre enfant ne fréquente pas de personnes qui peuvent lui nuire comme vous dites, vous le gardez à votre botte, l'empêchez d'évoluer en faisant les erreurs, en ayant les déceptions qui vont lui permettre de grandir et de s'affirmer, et qui arrivent par ces gens là justement, ne croyez vous pas que c'est vous qui le considérez comme votre possession?

[ruru]

C'est quoi, l' "enfant roi"? Vous vous foutez du monde?
Apprenez qu'un enfat est un être humain et qu'il n'appartien pas à ses parents,ni à personne!Le frappez est une atteinte POLITIQue aux droits de l'homme!
De plus, ilse que devenus adultes, des enfants comencent à attaquer leurs pârents en justice pur de mauvis traitemetns ou des harcèlements! Il faut que la fessée puiçsse être condidérée ainsi.Comme ça des gens comme vous assumeront leurs responsabilitié et apprendront le dialogue, le respect et la non-possession d'autrui! Car, sans l'argument-baffe, on doit être à la hauteur!Là, c'est autre chose, souvent y a plus personne! La fessée, toute violence envers un enfnt est une démission du parent, incapable de l'être... Et si c'est une question de milieu, c'est une circnstance agravante: on reproduit, on nuit...
c'esr emmerdant la rigueur, hein... c'est plus facile le laisser-aller!

[ruru]

Ah! ça par exemple! Je ne l'aurais jamais cru! Eh oui, c'est bien ce que ej dis, les milieux coupables battent leurs enfants et les détruisent. Un enfant qui est aimé ne fréquente pas ceux qui nuisent. Une fessée est déjà monstrueuse... Et l'on ne voit pas pourqoui, si l'on bat un enfant, on ne battrait pas sa femme...sauf qu'hélas, ce sojt souvent les femes qui maltraitent les enfants... qunt à l'atteinte psychologique, comme pour,les femmes battues, on sait que les mots font plus mal que les coups. Et détruisent en profondeur... Merci pour vos banalités. Si j'ai écrit ce poste, c'est bien que je les ai dépassées.

Et je parle en cnnaissance de cause, non seulemetn par militaice maisparce que mon fils, d'une autre mère que ma fille, m'a été confié à cause de la violence desa mère, et de son harcèlemetn psychologique. J'en sais plus que vous sur le propos et je trouve très amusant votre discours pour magazine de salle d'attente. Si le sujet vouos intéresse, il y a des associations où vous pourriez consacrer un peu de temps à parler avec des mômes battus... Attention: on y laisse des plumes, ça fait mal...mais ça calmerait vos certitudes!

La violence familiale est à combattre sous toutes ses forme. Une fessée déshonore qui l'inflige! Femmes battues, enfants battus, même combat... bien sûr, otute personne qui frappe un enfant, qui OSE infliger une fessée doit être secouru: une aide pychologique est nécessaire pour soigner ce mal-être! Quand on va bien, on ne frappe pas! Et depuis 1789, on est responsable de son milieu!
respectez au moins votre interlocuteur: évitez de lui infliger vos balourdises! On n'est pas au Café du commerce, le sujet est grave!

[For blood's sake]

C'est navrant de voir que certaines personnes ne sont pas capables de différencier le fait de mettre une fessée à un gamin, et le fait de le battre.
Une fessée n'a jamais tué personne loin de là.
Bien sûr, il ne faut pas en abuser...
Le dialogue, l'éducation et l'autorité souriante ne marchent que dans les milieux dans lesquels l'enfant n'a pas ou peu de mauvaises influences extérieures.
Malheureusement, dans le monde réel, dans la rue, les parents n'ont plus l'autorité divine qu'ils avaient auparavant sur leur progéniture. Les copains sont là, et avec la suprématie de l'enfance, la politique de l'enfant roi, de plus en plus d'enfant sapent le peu d'autorité qu'il reste à leurs parents. Il faut savoir poser les limites, et dès le plus jeune âge...
Et surtout, il ne faut pas oublier que l'atteinte physique n'est rien comparée à l'atteinte psychologique. Combien d'enfants, non battus par leurs parents ont mal tourné suite à des mots, à des vexations, à des échanges conflictuels constants...
Il y a une différence entre une fessée et un coup de poing...