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orlando de rudder
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3 juillet 2010

Le droit contre nature!

Contre-nature.

Il existe des livres dont l'opposition à l'écologie est absolue. Ce sont des livres partisans, engagés, délibérément contre nature.Ils luttent énergiquement contre cequi est réellement naturel; Et même l'un d'entre eux condamne fermement les agissements habituels du monde de la nature.

Au-dessus de la bête.

Ces livres parlent de respect, de droit; Ce sont des livres de droit. Il n'existe pas plus de "droit naturel" que de "lois de la nature". La seule loi de la nature et celle du plus fort. Son quotidien c'est le meurtre, le,viol, l'oppression, l'esclavage, la pédophilie, le vol, tout ce que ces livres condamnent. Ce sont des livres humains. Imprafaits, certes. Mais qui montrent le génie de l'homme cherchant à sélever au-dessus de la bête. L'Homme: Celui qui cuisine, invente l'agastronomie aiu lieu de bêtement se nourrir. Celui qui invente l'amour au lieu de la reproduction, celui qui crée l'érotisme à la place du viol, le désir pour remplacer la pulsion: l'humain. Celui qui invente la musique, la poésie... L'anti-bête.

Marre de ces criminels!

Ces livres condamnent les conduites naturelles qui nuisent à autrui. Tente même de les punir (quand donc punira t-on les animaux? Marre de ces criminels) et d'instaurer la paix civile, malgré l'animalité de la droite. Ils se nomment Code civil, Code pénal, Constitution. Ils sont divers selon les nations, mais tous refusent la nature. La loi du plus fort. La trouille au quotidien qu'ils tentent de remplacer par la sécurité et la sanction du crime: ce que la plupart des bêtes font quotidiennement est banni pâr ces livres.

Trop bêtes.

Bien sûr, un livre ne peut pas tout et, dans le monde, on trouve encore des humains pédophiles, violeurs, assassins, guerriers... Des gens qui se conduisent comme des animaux. Des dégueulasses. Des bêtes. Mais ces livres combattent énergiquement ces pratiques bestiales et inhumaines. Avec, évidemment, des manquements, des imperfections. Mais on avance et la lutte pur les droits de l'homme cotinue.Il n'y a pas de droit des animaux: ces derniers sont trop bêtes pour créer un corps législatif. Ils ne voteront jamais une loi interdisant la prédation, le viol, l'esclavage, etc.

Rêve.

Un grand rêve humain, noble et beau erait de se passer de ces livres. De réussir à vraiment dépasser la bête ignoble. Il se nomme Anarchie. Il voudrait que l'harmonie du monde humain se fonde sur la raison, sur la conscience de chacun.qu'on n'ait pas besoin de droit. Hélas, ces rêveurs tournent mal, deviennent souvent des traîtres  plustôt droitiers et même, il y en a qui se disent écolos!  Honte! Ils aiment les animaux: moi aussi! En effet: j'adore le poulet rôti, le boeuf  bourguignon, le cervelas de cheval. Et je reconnais que les cris atroces de  labête qu'on tabasse ont quelque chose d'émouvant, sinon mélodieux. Je le vérifie à chaque fois que je flagelle un panda à grands coups de bébé-phoque.

Envoi: Le droit, c'est déjà de la poésie! C'est l'élan vital de celui qui est en devenir! De celui qui ne veut pas stagner veulement, ni tuer son prochain pour vivre. Viva Zapata!

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