Ma Môme: merde à Jean Ferrat!
Je is maintenant sans femme, mais revenons à un certain passé:
Ma môme portait des lunettes de soleil. Elle aurait pu poser dans les magazines, mais ne daignait pas, même au pire du manque de fric. Elle refusait catégoriquement l'usine qui avait détruit son père et sa mère. Elle avait décidé de se battre, de faire des études, chose impensable dans les milieux où l'on cinbdamne les enfatns au même sort que leur parents: où on ne les aime pas. Pendant ce temps, certains ouvrier modestes se "saignent au quatre veines" pour la réussite de leurs enfants. Plus qu'on ne croit.
Ma môme a payé ses étude en travaillant; Un peu d'usine, mais pas trop: hôtesse, vendeuse, caissière (dur!), tâcheronne. Ele a même trouvé le temps de patiquer un sport de combat (refusant l'idée imbécile d' "art martial") en militante pour le droit des femmes et prête à se battre pour ça.
Ma môme avait conscience du fait que sa réussite ne serait pas seulement la sienne: civique, elle savait qu'elle poourrait encourager des autres femmes à sortir de l'ornière épiuvantable de l'exploitation. Mamôme prônait le devoir d'être heureux ou, du moin,s d'essayer, car ça fait du bien aux autres.
Ma Môme a choisi d'avor des enfants. Elle a attendu une certaine sécurité financière pour qu'ils aient au moins à manger et même du duperflu. elle leur souhaiterait même le lixe: elle les aime. Par choix. Pas par obligation.Par amour vrai!
Ma môme est passionnante parce que cultivée, elle dit des choses merveilleuses et m'enchante.
Ma môme en a bavé, mais radieuse, elle se dirige elle-même, n'obéit pas, se tient droite et vit la vie qu'elle a choisi. c'est un vrai combat politique, poétique, humain pour la liberté, pour l'égalité. C'est une intellectuelle que les pouacres trouvent "arrogante et prétentieuse" mais dont les travaux sont féconds, excellents, reconnus par la communauté scientifique.
Ma môme est belle de partout, corps et âme parce qu'elle ne pèse pas sur les autres en menant une vie de misère par soumission alors qu'on peut en sortir et qu'on se doit d'essayer. Ma môme est capable de crier "la liberté ou la mort" et d'agir en conséquence!
Ma môme m'aurait foutu son poing sur la gueule si je l'avais appelée "Ma môme"! Au moins deux fois: une pour le possessif "ma", elle n'appartient à personne, et l'autre pour "môme": ce n'est pas une enfant, mais une femme!
Ma môme a fait fort: on n'est pas obligée d'aller si loin. Mais il faut se battre pour la dignité, l'égalité. Ne pas subir et cogner! Des ouvrières le font avec courage dans des milieux sexistes!
L'inféodé Ferrat fut aussi l'auteur de Mon Vieux, ignoble chanson à la gloire d'un père indigne, incapable d'écouter son fils et de lui parler. Moi, mon père, , il fut tout d'abord un homme qui soignait sa mise, même fauché, et qui m'a beaucoup parlé, aimé, aidé... Et j'écoute mes fils comme j'ai écouté ma fille, plus âgée, car je les aime et je les repspecte, moi, pas commme le père larvaire sous-merdeux de la chanson répugnante que beuglait Guichard, qui est bien dans l'esprit d eFerrat et de ses raports humains pourris (du moins dans son oeuvre putassière). C'est dégueulasse! Ce n'est pas la peine de jouerle disident coco comme un vulgaire Montand pour être aussi vil! Flics et durés, tout ça!
N'en déplaise au stalinien borné à belle voix qui n'a jamais été libre! Il ne suffit pas de mourir pour être un brave type! Et de faire de belles chansons pour ne pas être un populiste macho!
Résistance!