Haruki.

Une saison en enfer?c'était l'heure du goûter! On avale son quatre-heure, on enfonce un seize-heures au profond de la glotte. J'ai rêvé de la glotte ou nagent les six reines. Avec des haricots princesse. A moins qu'il ne s'agisse de  murènes. Enfin, non, om mange plutôt des anguilles. Elles ne nagent plus guère car elles sont tronçonnées. Il faut d'abord les extraire de la botte de foin. Quant à la charité, voici l'heure du tronc!  Glissons-y la pièce aumonière. Ou alors pillons au gluau! Le fric change des oiseaux. Que l'on farcit de raisin. Quand c'est la saison. Y a pas de raison.sinon en Grèce, à cause des philosophe: les raisons de Smyrne valent ceux de Corinthe. Smyrne se trouve en Turquie. On s'en fout. Les philosophes grecs communiquaient grâce aux transports maritines.chacun connaît les relations de Cos à Ephèse.

En enfer, faut-il se faire une raison?  C'est de la folie, une  raison à l'envers! A l'ère du goûteur, ma soeur est à l'aise. Le thé, c'est à cinq heure. A midi j'ai mangé de la lotte. Poisson affriolant.  J'ai rêvérer la lotte en nage, mais sereine. Haruki en pince sans cesse pour le mérou. Il en mourrait d'un digestion. Je préfère la lotte.On la trouve à Rungis. La lotte à Rungis fit partie du partage des rois, fils de Louis le Pieux. J'ai rêvé de m'âge de la Lorraine. on ne prépare pas de la quiche aux murènes. Même à l'heure du thé, juste après le goûter. Quant aux oiseaux farcis, goûtons en donc la farce. Haruki, japonaise est légère de moeurs. Aussi arrive t-il que cetrains foutent la garce.

Une moisson en hiver? Ca me botte, le foin, avec toutes ces anguilles. Haruki, cependant est d'une tout autre espèce. Nippone mais rien à voir avec saint Augustin. Elle se maquille peu: son visage demeure au  juste teint. Mais ses cheveux sont rouge, comme ses auréole, quelle heure est-il? Celle  d'Oréal ce qui ne vaut pas mieux que d'avaler des murènes ou des couleuvres capillaires qui colorent les crins. L'écrin de la perle est huïtre, rien ne manque à l'appel, rien ne cogne à la vitre, ni l'écrin du cheval ni l'anguille qui lévite. On ne trouve pas beaucoup de Japonais à Hippone. Mais il y a des poneys au Japon. Des bonsaï de cheval. Ca fait des steacks à chier mi-figue mi raisin. Ou alors en sashimi arrosé de soyu. entouré de satellites: gingembre au vinaigre, chou: soyouz, dit on en russe.  Faut se faire une raison. En effet.

Une sévère prison. C'est la vie des oiseaux en cage. C'est l'avis des murènes en caque. Avec le thé de cinq heure on peut manger du cake. Le hareng, fût-il en cake  est aussi superflu que le sashimi dans ce cas. Dans cet en-cas. Haruki chercha trop d'anguilles dans le foin. Ou de mûres dans l'arène. alors vint le taureau. L'est à tort qu'elle l'adore. Et la voici enceinte. Elle attend des quintuplés. En prenant son quatre heures, elle songe à l'heure du thé. Elle n'est pas un mauvais cheval. A Jeumont, on trouve des juments! Du Nord. C'est ch'timi. De cheval.

Une réserve et paissons:  Il y a aussi des vaches. Elles ne courent pas pour le tiercé, pas de vaques hippiques! Pas de vagues non plus ou nagent les sirènes. Haruki fit la pute en Lotharingie. Racolant  le Lorrain, ou parfois, aguichant  la Lorraine (car elle avait un appétit lesbien, bien qu'elle ne fut pas grecque comme la raison, le raisin et les figues d'Izmir qui se trouve en Turquie, je vous l'ai déja dit, les sirènes qui s'y mirent, dans la tasse de thé ne sont pas mon quatre heure ni même mes oignons que l'on déguste hachés avec cheval-tartare. Ou filet de jument, sashimi de murène, ou bien du cabillaud salé  qui  se moque de la mort, morue tu ris, morituri n'a cure du riz, ou du taureau par les cornes lequel sera tué par un boucher à l'arène tandis qu'Haruki trouvera d'autre mâles pour bourrer à la chaine si j'ose cette inconvenance,  ou du cake aux raisons,

Réverbère à foison: Mehr licht, de la lumière, même si c'est goethe à goutte!  La merluche qui meurt se mange au riz salé, aux morilles sereines et de la livèche au,jus de  thym. Encore: un tiens vaut mieux que deux tuiles au riz ou deux  heures moins le quart quand on a faim et qu'il faut se faire du mouron pour les petits oisifs  en attendant le moment du goûter). Haruki s'en serait mordu la glotte! Ce qui n'arrive pas en mâchant de la lotte fût-ce dans la grotte ou languit la murène tandis qu'elle murmure la sirène lascive lessivée par l'oaritys avec une anguille bourrative cimme un taureau d'aréne avec une peau d'hareng rendant l'âpre service de préserver hâtif (certains veulent aller vite en chevauchant rapide  comme anguille sous roche)sans se faire de cheveux de bois même au teint naturel en couleur de réel. Moi, le veau, j'aime bien: l'amour ne dure pas. On se fabrique des tifs, on se fait des cheveux, mais c'est ainsi de suite. Haruki, la rouquine ne pensait pas encore à son five en cloque tea.  Ce que j'en dis c'est pour causer.