Décidément, les familles...

Grande conversation à propos de mes deux posts, "une famille rigolote"(hier) et "Noël, fête de la déprime" (du 24 décembre). LEs gens vconscients d'eux-mêmes, décidemment apprécient: il faut se révolter contre sa famille, sortir de son rôle imposé puis la comprendre, mais sans la révolte, parfois violente, énergique, engueulatoire, on demeure dans l'hypocrisie. avant de comprendre ses parents,il faut les affronter... après, on devient adulte...Freud le disait "on est adulte quand on a compris ses paretns et qu'on leur a pardonné"...Pardonné quoi? de nous avoir infigé un rôle?

La famille et une structure politique;ele fonde une société.Mais on veut y voir de l'intime, du privé; Les "jeux d'enjeux" sont dangereux" et la révélation dans le monde extérieur, dans la polis des "sales petits secrets" fait mal alors qu'ils sotn d'unebanlité affligeante...La" famille rigolote" que ej décris est, semble t-il, pas très originale.DSa puissante saturation névrotique est répandue, me dit-on,;Mais c'est là que je m'amuse: des gens bien atteints psychologiquement, alcooliques, anorexique ou l'ayant été, des ragoteurs obsessionnels déclarent que telle autre personne est "folle" ou "déséquilibrée"! Mais jamais ces gens n'iront voir un psy pour guérir ou pour la raison la plus efficace: arrêter de nuire à l'entourage. La famille joue son rôle, ment, masque, triche: elle st dans le social même si elle est asociale (et ne reçoit pas d'amis, ou très peu, les seules "invitations", repas, fêtes  se déroulant "en famille", vase clos étouffant mais qui réconforte ceux qui ont peur du monde extérieur)...Heureusement car dès qu'un témoin arrive, il voit l'horreur que cache le bien-être affiché! Il devine les "cadavres dans leplacard" et les "sales eptits secrets" ou plutôt devine et perçoit qu'ils existent... Car ils existent.

A tel point qu'un ami généalogiste me dit que, parfois, il ment. Pour telle ou telle famille dont il retrouve les ancêtres, il "oublie" de mentionner l'oncle qui est parti avec la caisse, le cousin qui a engrossé la bonne, le beau-père collabo, la grand-tante criminelle, etc, etc... 

Moi, j'aime assez...Et je me régale de ce qu'on doit dire de moi chez certains..Car vraiment, ça fait mal, la révélation de l'évidence: l'amour n'est pas obligatoire! On ne saurait l'imposer et i lfaut, dans une famille que l'affection soit méritée.autrement c'est le lieu des haines et des jalousies larvées,b ien fétides et puantes, avec une visquosité sanieuse  saturée d'hypocrisie grasse. Si on n'a pas tapé une bonne fois du poing sur la table, on est foutu! Après, ou on s'aime, ou on rompt!

Et encore, je parle de familles "bien propres" bourgeoises ou fonctionnaire (quand on a démissionné de la vie, qu'on est inféodé, ça va toujours mal, à moins d'avoir une ckonscience civique à  la Javert!)...que dire des familles plus sportives, avec incestes, cognage, empoisonnemnt de la mémé qui a les sous, maltraitance du petit dernier et autres mise au jour des tensions ordinaires.

C'est à chacun de rendre sa famille tolérable. Et surtout, so on en crée une nouvelle, de rappeler au beaux-parents queleur temps n'est plus et qu'on est la famille, l'acruelle, la vraie; Alors, silence et respect! distance et courtoisie!