Haine contre les pères...
La haine contre les pères- parfois partagée par certaines actantes du social- fait d'énormes ravages. Ceci s'atténue un peu depuis que les services sociaux n'ont plus un personnel essentiellement féminin, d'une pert et que, de l'autre, il y a tout demême des femmes conscientes... Bref, la vieille rancoeur anti-hommes, anti-pères en cas de séparation menace toujours: http://www.liberation.fr/societe/0101610434-enlevement-d-une-avocate-parisienne-deux-femmes-interpellees
Il va falloir s'y faire: les pères réussissent généralement mieux dans l'éduvcation et l'épanouissement des enfants! Pourquoi?Parce que l'habitude de confier systématiquement les enfants aux mères, fussent-elles défaillantes fait que, lorsque, rarement, le père en a la garde, il a du triompher de la suspicion constante et a dû présenter des garanties qui sont loin d'être demandées à l'autre sexe... Bref, il s'agit souvent d'hommes hors du commun.L'idéologie étant que les hommes sont forcément des brutes, des violents, des pédophiles en puissance... On a vu ça à Outreau et durant les centaines de "mini-Outreau" qui ont eu lieu grâce à la circulaire de Ségolène Royal dont l'ignominie s'est déclarée, bien grasse, lors de l'affaire de Montargis... Même Sarkozy ne ferait pas ça...
Car souvent, la vocation sociale de certaines assistantes et éducatricespeut être vengeresse!Ah! les hommes, tous des salauds! Ca change grâce aux associations de pères dont l'une est présidée par une "féministe historique", Evelyne Sullerot... Car justement, le désir d'égalité entre les sexe, sa nécessité, passe par la reconnaissance des pères...
Cette avocate molestée défendait le droit des enfants à avoir deux parents sans, crime abominable, stigmatiser les pères systématiquement, ce qui est encore la norme chez certains. En attendant, les mômes morflent...
D'autre part, il faut oser reconnaître qu'une femme n'est pas forcément "faite" pour être mère et que, come disait Winnicott, au lieu de s'acharner à le devenir, il suffit d'être "good enough" sans se forcer à un rôle qui ne convient pas! Vouloir abslmument que toutes les femmes soient obligatoirement "bonnes mères" est un sexisme répugnant. Nier que DES femmes peuvent être violentes, inadéquates, malhonnêtes ou démissionnaires est aussi sexiste et refuse aux femmes leur humanité... Ni mamans, ni putains... (et pourquoi pas Maman ET putain? Le rêve! Hi! hi!)..Femmes, quoi..
Vive l'exigence!